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Je me fais défoncer par mon oncle

Chapitre 12

Trash
Je marche jusque chez-moi, toute excitée du projet de la soirée. Je crois que le curé Émile me défoncera comme j’aime. Je l’ai bien excité et j’ai hâte de sentir sa bite pousser sur mon anus pour le forcer à s’ouvrir et ainsi infiltrer le pardon en moi.
Je me demande s’il a une grosse queue? J’espère qu’il n’a pas un petite bite toute rabougrie que je sentirai à peine dans mes trous. J’aime les grosses bites. J’aime les sentir écarter et distendre mes orifices pour ensuite, me ravager sauvagement les canaux.
Une fois rentrée, je congédie "la baby-sitter". J’aurais bien aimé sucer tonton Jacques avant qu’il ne quitte, mais il était pressé. Un appel urgent sur son cellulaire. J’aurais bien aimé avoir ma dose de foutre, mais je devrai patienter jusqu’à ce soir et m’abreuver à la Sainte source. Enfin, j’espère…
Je prends un long bain chaud et je m’habille sensiblement de la même manière que cet après-midi, la jupe noire, toujours sans culotte mais je change le chemisier par un t-shirt rouge, ajusté et j’oublie le soutient-gorge. Ma grosse poitrine se tient bien toute seule et ça plaira sûrement à M. le curé.
J’arrive au presbytère à 18:55h. C’est un bâtiment assez vieux mais très bien conservé. Je sonne à la porte et j’attends, fébrile, qu’on vienne m’ouvrir.
Madame Lucie, la servante du curé, m’accueille avec un large sourire. C’est une dame bien en chair, dans la soixantaine, très charmante et toujours joviale.
— Eh bien! Regardez donc qui voilà!— Bonjour madame Lucie! — Bonjour ma belle Sandrine! Allez, allez, entre!
On se fait la bise. Elle se recule en me tenant par les mains :
— Comment vas-tu? Tu es toujours aussi jolie! Et comment va la belle petite Mia?— Je vais bien et Mia aussi. Comment allez-vous?— Bien, bien! Tu viens voir M. le curé?— Oui, il m’a demandé de passer ce soir. Quelques questions à régler.— Rien de grave, j’espère?— Non rassurez-vous, tout va bien!— Il est bizarre M. le curé ce soir…

Tu parles! Il a hâte de me sauter, oui!
— Ah oui?— Oui, il semble tendu ou préoccupé… je ne sais trop.— Il a peut-être des soucis. J’espère qu’il ira mieux après ma visite. Parfois, parler et se détendre avec des personnes plus jeunes, ça change un peu la routine.— Tu as bien raison. Il n’a que moi à qui parler de toute la journée, une vieille folle!— Je ne disais pas ça pour vous…— Je sais bien, va! Je te taquine! Il arrive.
Le curé Émile arrive dans les vestibule, où nous nous trouvons, madame Lucie et moi. Il porte sa soutane. C’est peut-être bien pratique pour cacher une érection! Il est d’une stature imposante.
— Eh bien madame Lucie! Allez-vous laisser cette enfant passer toute la soirée dans le vestibule?— Oh vous, vieux grognon! Je serai dans ma chambre, si vous avez besoin de moi.— Ce sera tout pour ce soir. Je n’aurai plus besoin de vous. Bonne soirée, madame Lucie.
Madame Lucie quitte en me faisant un clin d’œil.
— Tâche de lui rendre sa bonne humeur!
Je lui rend son clin d’œil :
— J’essaierai! Bonne soirée!
Nous regardons tous deux madame Lucie monter à l’étage. Aussitôt hors de vue, M. le curé devant moi, prend mon sein gauche dans sa grande main et le malaxe et le tripote avec vigueur.
— Tu sais que tu m’as excité cet après-midi, petite salope?— Ah oui?— Tu le sais très bien…— Ce n’étais pas mon intention…
Je le regarde avec des yeux "pleins de remords". Je joue le jeu de la jeune innocente, comme me l’avait conseillé tonton Jacques.
— Dis-moi, tu t’es touchée depuis cet après-midi? Tu as eu des pensées impures?— Oui, mon père… dans le confessionnal… J’imaginais votre pénis entre mes fesses… dans mon petit trou.— Je vois. Tu as péché encore une fois. Je devrai te punir.— La fessée, mon père?— Oui, une bonne fessée. Tu as été vilaine.
Il remonte brusquement mon t-shirt jusque sous mon menton et malaxe maintenant mes deux obus dénudés. Je le regarde droit dans les yeux. Je lèche mes lèvres. Il est vraiment très excité. Il respire de plus en plus fort.
— Oui, je suis une vilaine petite fille. Vous avez dit, cet après-midi, que vous alliez devoir purifier mon cul… — Oui. Je n’ai pas d’autres solutions pour sauver ton âme, pécheresse. — C’est avec votre pénis que vous allez purifier mon cul?— Tu aimes te faire enculer n’est-ce pas, petite cochonne?
Je commence à être sérieusement excitée. Ma chatte s’humidifie.
— Oui mon père, beaucoup. — Dis-le moi. Je veux t’entendre dire que tu aimes te faire défoncer le cul. — Et madame Lucie, elle peut nous entendre?— T’occupes. Relève ta jupe et dis-moi que tu aimes te faire enculer.
Tout doucement, en le regardant dans les yeux, je relève ma jupe, pendant qu’il manipule toujours mes gros nichons. Il leur donne des claques. Mes tétons sont désormais bien dressés Sa respiration est haletante. La mienne s’accélère. Je lui dis, en gémissant doucement :
— J’aime me faire enculer. J’adore sentir une grosse bite défoncer mon petit cul. Vous voulez bien défoncer mon cul, mon père? Pour me purifier… S’il-vous-plaît?— Tu l’auras petite pute, tu l’auras. Tu demanderas pardon…
Je gémis toujours doucement, en respirant de plus en plus fort.
— Et votre pénis… il est dur en ce moment? Il faudra qu’il soit bien dur pour m’enculer…— Tu crois qu’il est dur?— Eh bien, quand tonton Jacques touche à mes seins et mes fesses, son pénis devient tout dur et très gros, mon père. Et ensuite, il défonce mon cul bien fort. Et j’adore ça. Tonton Jacques, il aime bien me prendre par le cul. — Tu aimes les gros pénis? Les grosses bites dans ton petit cul?— Plus elle sont grosses, plus je les aime. Elle est grosse votre queue, mon père?— Tu seras servie, petite chienne…
Son dernier indice, m’indique qu’il est bien monté, question bite. Il me retourne face au mur et me force à m’y coller. Est-ce qu’il va m’enculer ici? L’excitation monte. Il me parle à l’oreille en respirant très fort.
— Relève ton cul… Écarte les cuisses… Je vais détruire ton cul, petite salope.
J’obéis. Une de ses mains palpe mes fesses, l’autre masse toujours mes nichons. Il pince mes tétons qui sont bien dur et bien dressés. Ses doigts s’insèrent dans ma raie et caressent mon trou du cul avant de descendre à ma chatte déjà trempée. Il les remonte à mon trou du cul pour le lubrifier de ma mouille. Je gémis plus fort. Soudain, un bruit à l’étage.
— Tout va bien M. le curé?— Oui, oui, madame Lucie, vous pouvez retourner dans votre chambre.
On l’entend refermer la porte.
— Suis-moi.
Haletante, je rebaisse ma jupe et mon t-shirt et suis le curé dans un petit salon, bien aménagé. Mon visage s’éclaire d’un sourire cochon.
Nu, assis sur un canapé et astiquant son magnifique manche, se trouve…
— Tonton Jacques?— Bonsoir, petite salope.
Suite bientôt...
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