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Je me fais défoncer par mon oncle

Chapitre 13

Trash
Comme dans la saloperie que je lui avais exposée, je lui disais que je voulais me faire sauter par le curé, en pleine église, pendant qu’il me regarde me vautrer dans le vice. C’est ce qui m’a fait sourire en le voyant en train de se branler. Non seulement il me verra me faire défoncer par le curé, mais à voir son état, je crois qu’il participera lui aussi. Ça m’excite encore plus.
Je suis debout devant tonton Jacques, à environ 2 mètres de lui. Le curé se colle derrière moi, relève mon t-shirt et empoigne à nouveau mes nichons et les masse vigoureusement. Ma respitation s’accélère à nouveau. Il parle à mon oreille.
— Mets-toi à quatre pattes et suce cette grosse queue. Montre-moi comment tu suce ton tonton. Montre-moi combien tu es une petite salope.— Oui, mon père…
Il respire très fort. Il grogne presque. Il est très excité, le curé. Moi-même, je suis vraiment très cochonne en ce moment.
En me baissant pour me mettre à genoux, il retient mon t-shirt, je lève les bras pour le laisser passer et je me retrouve le haut du corps, nu. Je me mets à quatre pattes, comme demandé par M. le curé et je commence à me diriger vers la bite bien bandée de tonton Jacques. Mes seins se balancent doucement.
— Attends. Dit M. le curé.
Il s’approche et relève ma jupe jusqu’à ma taille, révélant ainsi mon cul prêt à être défoncé. Il le caresse et le claque légèrement.
— Tu as vraiment un joli cul, petite pute. Tu auras la fessée pendant que tu suce ton oncle. Et ensuite, j’élargirai ton petit trou. Je te purifierai de tes péchés.— Oui, j’ai été méchante et dévergondée, mon père… Je dois être purifiée.
À partir de ce moment, ma chatte coule littéralement, tellement je suis excitée. Tonton Jacques se branle en me voyant m’approcher de sa bite enflée.
— Approche-toi. Montre à M. le curé comment tu suce bien la queue de ton tonton. Tu aimes la sucer ma queue, n’est-ce pas, petite salope?— Oui… j’adore sucer ta grosse bite, tonton…
Je m’approche encore plus, comme une lionne vers sa proie. Tonton Jacques tient sa bite à pleine main. J’ouvre la bouche et la laisse glisser lentement à l’intérieur de mon trou à foutre. Ma langue s’occupe de son gland. Sa queue est brûlante et toujours aussi bonne.
Je commence un mouvement de va et vient qui fait toute la longueur de la bite que je suce avec ardeur. Je m’applique à sucer comme je sais le faire. À tout moment, je m’attends à sentir le gland de la bite du curé, forcer l’entrée de mon cul. Mais je dois d’abord recevoir la fessée.
— Ta bouche est chaude. J’adore quand tu me suce. Tu sais y faire… T’es vraiment salope…
En entendant le mot "salope" ça m’excite encore d’avantage et je pompe avec plus d’ardeur.
— Oui, c’est bien. Tu aimes te faire traiter de salope, hein? Je le sens sur ma queue.— Mmmm… mmmmm— Vous voyez M. le curé, comme ma nièce est salope? Ne devrait-elle pas être punie?— Oui… une sale petite pute… qui sera fessée.
Je sens sa main caresser mon cul et sans crier gare : vlan! Une puissante claque retentit sur mes fesses, ce qui me fait pousser un cri de surprise, étouffé par la grosse bite de mon oncle qui remplie ma bouche de suceuse affamée.
— Oui, tu as été vilaine… — Mmmm…mmmm...
Une autre formidable claque s’écrase sur mes fesses. Autre cri étouffé, mais la situation m’excite de plus en plus. Puis, il se déchaîne. Il claque mes fesses à tour de bras en m’insultant, pendant que je suce toujours tonton Jacques de plus en plus fort. Je couine comme une truie.
— Tu es une petite salope! Une dévergondée, une pute, une petite chienne!
Puis, essoufflé, il s’arrête. J’ai reçues une vingtaine de puissantes claques. Mes fesses sont en feu!
— Voilà. Ta punition est terminée. J’aimerais que tu voies ton cul. Il est tout rouge. Je t’enculerais bien tout de suite pour te purifier, mais nous allons procéder dans l’ordre.
En entendant cela, tonton Jacques se lève, comme s’il répondait à un plan préparé à l’avance, et se couche par terre au millieu du salon et m’invite à le chevaucher. Je retire ma jupe. Il tient sa grosse bite toute mouillée de ma salive et en m’installant, je l’introduis à l’intérieur de ma chatte dégoulinante. Il me tient les fesses et je me propulse sur son engin en me donnant du plaisir.
— Oui, c’est bien. Fourre-toi avec la bite de ton tonton. Elle te fait du bien sa grosse bite?— Oh oui, mon père! Elle se rend au fond de mon petit vagin…— Je vais bientôt te purifier à l’aide de mon sceptre salvateur… Mais avant…
Il s’installe debout devant moi, au dessus de tonton Jacques, il n’a plus sa soutane et c’est là, que je vit apparaître le monstre. La plus grosse queue "vivante" qu’il m’ait été donnée de voir en vrai. Je dis "vivante" car j’ai déjà vus des godes bien plus gros que cette bite qu’il agite devant mon visage ébahit, mais une vraie queue, de cette ampleur, c’était la première fois. Je suis horriblement excitée.
— Oh, mon père…— Tais-toi et suce…
J’empoigne l’engin, bien veineux, comme je peux. Si ma main ne fait pas le tour de la bite de tonton Jacques, avec celle du curé, c’est encore plus flagrant. Elle est énorme! Je salive juste en la regardant. Il faut que je la compare à quelque chose. En pliant mon bras et en le mettant à côté de cette monstrueuse queue, je m’aperçois qu’elle fait la longueur de mon avant-bras, du poignet au coude et elle fait un peu moins du diamètre de mon membre.
Le gland qui surplombe ce gigantesque manche, fait plus de la taille d’un très gros œuf de poule. Le calibre extra gros. Ses couilles sont gigantesques et bien pendantes et le tout est parfaitement épilé. Décidément, il est bien à la mode, M. le curé.
— Suce ma grosse bite, petite pute. Tu aimes les grosses queues, hein? Suce la bien, avant que je ne t’encule.
Je branle cette queue comme je peux et j’approche ma bouche du gland en regardant M. le curé dans les yeux. Tonton Jacques prend le relais dans ma chatte et propulse lui-même son engin en moi en me tenant bien par les fesses. Il ne ménage pas les efforts.
Ma langue lèche le gland tout autour. Je ne sais pas trop par où commencer. Le curé voit mon hésitation et en poussant derrière ma tête, me force à introduire le gros gland dans ma bouche. Je dois ouvrir bien grand pour pouvoir laisser entrer cette masse.
Je prends le gland en entier, mais pas beaucoup plus. Je m’applique à faire un mouvement de va et vient avec ma tête comme je peux et je branle le monstre de mes deux petite mains, pendant que tonton Jacques donne un mauvais traitement à ma chatte. Il me baise sauvagement comme j’aime.
Finalement, je décide de m’occuper seulement du gland. Je le sors de ma bouche et le lèche sur toute sa surface, je le mordille Je pousse mes deux mains vers le bas de la bite, ce qui fait se tendre la peau du gland et ainsi, le rend bien luisant.
Du bout de ma langue pointue, je chatouille le méat, par lequel ont dû s’écouler des litres de foutre. Puis, je pousse de plus en plus ma langue à l’intérieur du petit trou. Je pousse, je pousse et je pousse encore jusqu’à ce que ma langue soit entrée de deux ou trois centimètres.
— Ah petite salope!! Petite salope! On ne me l’a jamais faite celle là! Continue!
Encouragée, je pousse encore et me mets à faire un mouvement de va et vient comme si j’enfonçais ma langue dans une chatte ou un trou du cul. Cela semble plaire à M. le curé, car je l’entends jurer.
— Nom de Dieu de petite pute… espèce de petite salope!! Tu vas me faire perdre mon foutre!
Et il se retire de ma langue et il me prend par les cheveux et me parle tout près de mon visage.
— Et maintenant, je vais purifier ton joli cul. Oh oui, petit chienne! Je vais t’enculer comme jamais tu n’as été enculée de ta vie!
Ensuite, il caresse mon visage de toute sa bite, en me tenant toujours par les cheveux. Il se dirige alors derrière moi. Tonton Jacque redouble les coups dans ma chatte, ce qui, avec les paroles du curé, me font jouir et couler sur la queue de mon oncle.
Je regarde un peu de côté, vers l’arrière, et je vois l’homme d’Église, debout derrière moi, en train de branler son énorme bite, en admirant mon cul, comme fasciné. Il bave littéralement.
J’ai pris des objets bien plus gros que cette queue dans mon cul, je ne suis donc pas inquiète. Mon cul avalera tout. Mais le fait que ce soit une vraie bite, attachée à un être vivant et qui en plus, est très vicieux, m’excite terriblement.
Je me couche sur tonton Jacques, mon visage dans son cou, et de mes deux mains, j’écarte bien grandes mes fesses pour l’inviter à m’enculer au plus vite. Il s’agenouille derrière moi, claque mes fesses à quelques reprises et me frapppe même de sa bite. Il pose sa langue sur mon trou du cul pour l’humecter, il crache dessus et je sens son gland se promener de ma chatte à mon trou du cul et une seconde après, je sens son énorme gland commencer à forcer l’entrée de mon petit cul.
Suite bientôt...
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