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La famille d'Eric

Chapitre 3

Inceste
La vie s’organise au foyer. Eric est toujours aussi prévenant avec Marion, mais elle sait que lui et Julie s’envoient en l’air quand ils s’isolent dans la chambre de la jeune fille. Son mari l’a invité à les rejoindre mais elle a refusé. De son coté il prend soin de ne pas rentrer trop tôt lors que Loïc a un après-midi libre. Pourtant un jour…
Eric rentre de bonne heure. Il se réjouit de faire une surprise à sa Marion. Des gémissements l’accueillent dès son entrée. Ah, il avait oublié que Loïc avait une journée libre ! Il sourit, il doit être avec sa mère entrain de s’envoyer en l’air. Inutile de clamer son arrivée, ils se croiraient obligés d’interrompre la joute et il ne veut pas les priver de leur plaisir. Par contre il aimerait bien savoir comment son fils se débrouille. Il se dirige sans bruit vers la chambre. Par la porte entrouverte il découvre sur le lit Loïc et Marion nus, jouant à la bête à deux dos. Le couple inconscient d’être épié gémit à qui mieux mieux. Les fesses de son fils attirent l’attention d’Eric. Jusqu’ici il n’avait jamais eu de pulsions homosexuelles mais là, brusquement, le postérieur qui se démène devant ses yeux éveille un désir impérieux. Il faut qu’il se le paye ! Loïc lui doit bien ça lui qui ne se gêne pas pour baiser son épouse ! Il s’avance silencieusement dans la pièce. D’un geste il calme Marion qui l’aperçoit, lui intimant de ne pas révéler sa présence. La jeune femme le regarde baisser son pantalon et sortir le sexe qu’elle connait bien. Sa raideur confirme que son mari est en pleine forme. Que s’apprête-t-il à faire ? Une double pénétration ? Placée comme elle est sous Loïc c’est peu probable. C’est son fils qui va faire les frais du désir de son père ! Effectivement il s’approche derrière le jeune homme et chatouille autour de l’anus.— Oh ! Oui Maman ! s’écrie le garçon croyant à une initiative de Marion.Eric tout en faisant signe à sa femme d’empêcher le jeune homme de s’enfuir, introduit un doigt dans le petit trou et le tourne pour élargir l’orifice. Loïc pensant toujours que c’est sa mère qui lui procure cette caresse, approuve bruyamment.— Ouiii !… Continue !Quand deux doigts pénètrent dans son fondement il prend conscience de la présence de son père et veut se redresser. Marion que la situation amuse l’en empêche et le serre contre elle. Il reste coincé et la verge fichée dans la chatte de sa mère commence à ramollir.— Je croyais que cela te plaisait, dit Eric tout en pistonnant dans le cul.— Qu’est-ce… Aah !… Que tu vas… Mmmh !… Me faire… Aah !— Continue chéri, il apprécie ! s’écrie Marion qui sent la queue gonfler.— Je vais te faire découvrir les joies du sandwich fiston, poursuit avec ta mère pendant que je m’occupe de tes fesses.— Oh non ! Tu ne vas pas m’enculer ?— Chéri ! Fais quelque chose, il débande ! s’alarme Marion.Eric pistonne plus vivement.— Ah, ça va mieux ! Merci.— T’ai-je fait mal jusqu’ici ? demande le père.— Euh… No-non.— Fais-moi confiance, tu ne le regretteras pas.Il prélève de la mouille qui suinte de la chatte encombrée de Marion et en enduit son sexe. Il présente le gland face à l’anus.— Tu es prêt fiston ?— Euh… Oui.— Ne te contracte pas ! dit-il en poussant un bon coup qui fait entrer la verge jusqu’à la garde.— Aïe ! Tu fais mal !— C’est fini, là, c’est fini.Eric reste quelques secondes immobile, la queue fichée dans le cul de Loïc. Le temps que celui-ci s’habitue à la présence insolite dans son intestin.
— Ça va mon fils ?— Ou-oui.— Tu vois que ce n’était pas la mer à boire. Recommence à faire l’amour à ta mère.— Oui mon chéri, montre moi que tu n’as pas perdu ta vigueur.Le trio prend ses marques. Après la douleur initiale, la double sollicitation sur sa queue et dans son cul fait trembler Loïc. Jamais avec sa mère ou ses autres partenaires il n’avait ressenti une telle émotion.— N’est-ce pas… Han !… Que c’est… Han !… Bon ? interroge Eric.— Tu es encore… Aah !… Meilleur… Aah !… Que tout à l’heure, renchérit Marion.Ballotté entre son père et sa mère Loïc ne répond rien luttant contre la montée de la sève pour jouir au maximum des nouvelles sensations éprouvées. A la fin n’y tenant plus, il rend les armes.— Mmmmmmh !Eric le retire prestement et, pendant que le garçon recherche sa respiration, enfile Marion et, après quelques coups de rein, jouit dans le con encombré de sperme.— Han !… Han !… Aarrgghh !
Allongés tout les trois sur le lit, ils récupèrent. Loïc ne s’est pas rendu compte que son père l’avait remplacé.— Merci… Merci… C’était… C’était merveilleux.— Je suis heureux que cela t’ait plu, déclare Eric. S’il te plait laisse-nous seul maintenant. Va dans ta chambre t’habiller.Le jeune homme ramasse ses affaires et quitte la pièce en se tenant le derrière.— Je ne savais pas que tu étais homosexuel, persifle Marion.— Devant un si joli cul je n’ai pas pu résister et je pense lui avoir fait plaisir. Tu as vu comment il nous a remerciés. J’aimerais recommencer, et toi ?Elle reste songeuse. Elle aussi a apprécié cette étreinte où son fils était entre ses deux parents. Jouirait-elle autant si les rôles étaient changés et que son mari soit à la place de Loïc ? Elle sourit devant le sexe flasque d’Eric.— Tu devrais prendre une douche si tu veux être en forme quand ta fille arrivera !— Tu ne veux pas venir avec moi dans sa chambre ?— Non merci je ne tiens pas à assister à vos saletés.— Ce ne sont pas des saletés !— Fiche le camp te laver !
Deux jours après, Eric s’apprête à rejoindre Julie rencontrée sur le seuil en revenant du travail. S’échappant de ses bras elle lui avait demandé quelques minutes pour se préparer. Au moment d’entrer dans la chambre de sa fille, il a la surprise de rencontrer Loïc qu’il croyait à la faculté. — Que fais-tu là ? Tu n’es pas avec ta mère ?— Euh… Maman est sortie tout l’après-midi faire des courses. — Pauvre brimé ! Et tu te disais que vu ce qui s’était passé avant-hier nous pourrions, toi et moi, passer un moment intime ensemble ?— Euh…— Désolé mais j’ai à faire. Ta sœur m’attend.— Pourquoi faire ?— Comme si tu ne savais pas ! Je fais avec elle ce que tu fais avec ta mère. Je ne m’en cache pas.— Euh… Je… Euh…— Tu veux me parler ? Fais vite je suis pressé.— Je… Euh… Tu… Euh…— Laisse-moi deviner. Ta sœur qui est devenue une jolie nana, te fait fantasmer.— Euh… Oui.— Et tu aimerais toi aussi lui faire l’amour ?— Euh…Sur le coup choqué, Eric réfléchi. Vu les relations incestueuses que Marion et lui ont avec leurs enfants, au nom de quoi interdirait-il que le frère et la sœur baisent ensemble ? Il décide d’aider son fils.— Je peux arranger ça. Vas te déshabiller et reviens nous rejoindre. Je laisserai la porte entrouverte et quand je te ferais signe tu entreras. Tu as compris ? Tu attends que je te fasse signe !— Oui Papa, j’ai compris. Loïc se dépêche d’aller déposer ses vêtements. Eric pénètre dans la chambre dont il prend soin de ne pas fermer complètement la porte.— Que faisais-tu ? Je t’attendais, l’apostrophe Julie allongé nue sur les couvertures.— Excuse-moi ma chérie, j’ai été retardé… Tu es de plus en plus belle ! ajoute-t-il en se dévêtant.Elle se lève à sa rencontre et se love dans ses bras.— Embrasse-moi !… Oh ! On dirait que je te fais un drôle d’effet ! dit-elle en frottant son pubis sur la queue raidie de son père.Elle le pousse pour qu’il s’assied sur le lit et s’agenouille entre ses genoux écartés.— On dirait qu’elle était impatiente de me voir cette petite chose, dit-elle en prenant la verge droite à pleine main.— Petite, petite ! Un peu de respect, mademoiselle !— D’accord, d’accord, elle n’est pas si petite que ça. Elle mérite un baiser pour qu’elle me pardonne !Julie dépose des bisous sur la hampe puis englobe le gland.— Mmmh !— Ça va Papa ? interroge-t-elle avant de reprendre la verge entre ses lèvres.— Aah !… Tu es merveilleuse !Par la porte entrouverte il voit Loïc. Le garçon émoustillé par le spectacle de sa sœur suçant son père, caresse une queue déjà raide. Eric lui fait signe d’attendre. Au bout de quelques instants, ne voulant pas cette fois éjaculer dans la bouche de sa fille, il la redresse.— J’ai envie de toi tout de suite !Elle veut enfoncer la verge dans sa chatte.— Non pas comme ça !Elle le regarde surprise.-Appuis-toi sur le ventre contre le lit… Oui comme ça… Ecarte les jambes.— Oh tu veux m’enc…— Mais non, je veux te prendre en levrette.— En quoi ?— En levrette, c’est comme ça que ça s’appelle.Du bout du gland il recherche l’entrée du vagin et s’enfonce d’un seul coup.— Aaaah !… Ouiii ! ajoute-t-elle quand il décapuchonne le clitoris.Sans cesser ses coups de rein il fait signe à son fils d’entrer en silence.— Ouiii !… Aaaah !… Mmmh !… Papaa ! clame Julie.— Han… Bouge pas, je reviens.Eric se retire, invite son fils à le remplacer.— Voilà, je suis là, annonce-t-il pendant que Loïc s’enfonce dans le con dégoulinant de mouille.— Aah !… Papa !… Aah !… C’est bon-on… Je t’ai-ai-aimes… Oh !Eric a fait le tour du lit. Julie est toute surprise de le voir prendre sa main alors qu’elle le croyait dans son dos entrain de la baiser.— Mais… Aah !… Qui ?… Aah !— Ton frère ma chérie, ton frère qui t’aimes aussi et te le prouve.— Mais je ne… Aah !… Je ne l’ai… Aaah !… l’aimes pas… Mmmh !… Aaaah !… Ouiii !… Ooooh !… Mmmmmmmh !— Aarrgghh ! éructe Loïc en déversant sa semence…Le frère et la sœur reprennent bruyamment leur souffle.— Vous m’avez joué un tour de cochon ! tempête Julie.— N’est-ce pas qu’il fait bien l’amour ton frangin ?— Vous devriez avoir honte !— Ne nie pas qu’il a su te faire monter aux rideaux.— Je croyais que c’était toi !— C’est faux ! Tu as joui même après t’être rendu compte de la substitution.Julie ronchonne encore un peu puis, se tournant vers son frère, lui caresse le sexe flaccide.— Tu fais bien l’amour va. Je te permets de revenir.Tout content il l’embrasse sur la joue.— Laisse-nous maintenant, ordonne Eric… C’est que je n’ai pas eu mon content, moi, ajoute-t-il quand Loïc les a quitté.— A qui la faute !— S’il te plait.Elle se laisse embrasser. Il l’allonge sur les draps, monte sur le lit et pénètre d’un sexe vainqueur la chatte encore pleine du sperme de Loïc…
— Tu as eu ce que tu voulais, tu es fier de toi ! reproche Marion lors que le soir dans le lit Eric lui raconte son après-midi.— Oui, il ne manque plus que tu fasses l’amour avec ta fille pour faire le tour des possibilités entre nous quatre.— Ça va pas non ? Je n’ai pas refusé à plusieurs copines trop câlines quand j’étais adolescente pour succomber à mon âge ! De toute façon qui te dit que Julie serait d’accord ? — Ça ne coûte rien d’essayer. — Il n’en est pas question ! — Tant pis, n’en parlons plus. « Pour le moment… » pense-t-il, ne désespérant pas de la faire changer d’avis— De toute façon on aura plus besoin de se cacher, ajoute-t-il.— Je ne te suis pas.— Ben on pourra s’aimer les uns devant les autres maintenant.— Parle pour toi ! Ce n’est pas par ce que je sais que tu baises avec ta fille et que les enfants s’envoient en l’air que j’ai envie de vous voir copuler… Et je suis incapable de faire l’amour en public, ajoute-t-elle oubliant la séance à trois de l’avant-veille. J’ai besoin d’intimité moi ! De toute façon les enfants et nous ça ne durera pas longtemps. Bientôt ils vont découvrir une âme sœur et quitter la maison. Profites-en tant qu’il est temps !— Comme si tu n’en profitais pas aussi ! grogne-t-il de mauvaise humeur.Oui il le sait bien que Loïc et Julie trouverons chaussure à leur pied et s’en iront… Mais ce n’est pas demain la veille se rassure-t-il. il a encore le loisir de jouir de ses deux femmes et, à l’occasion de son fils… Et puis, si nouveaux venus il y a, ils ne seront peut-être pas contre les échanges familiaux… Il s’endort sur ces pensées réconfortantes…
Fin
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