Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 57 J'aime
  • 1 Commentaire

La famille de ma femme

Chapitre 3

Inceste
Le soir Nicolas mon beau-frère, m’appelle. — Oui ? — Viens, suis-moi. Bien que cela ne me dise rien de me faire enculer, je n’oublie pas que je suis au services de tous et je l’accompagne dans sa chambre. — Suce-moi, me demande-t-il en sortant une verge droite. J’hésite, je ne l’ai jamais fait ! — Alors qu’est-ce que t’attends ? Je m’agenouille devant lui et pose la langue sur son sexe. — Prends-le en bouche ! J’introduis le gland. Je maîtrise un réflexe de nausée quand il touche la glotte. Tout compte fait ce n’est pas désagréable cette grosseur douce. Je sors la queue, la lèche sur toutes ses faces, la reprend en bouche. — Tu suces comme une professionnelle. Tu es un vrai jouet sexuel. Je m’efforce de le faire gémir de plaisir et me dévoue à ma tâche. Tout à coup des jets de sperme inondent ma bouche. — Theu !… Theu !… Theu !… Theu !… Je me précipite aux toilettes cracher le foutre. Il me regarde goguenard. — Ça surprend la première fois hein ? Tu verras la prochaine fois ça ira mieux. Tu peux t’en aller, tu m’as bien fait jouir, tu es un bon jouet sexuel ! Le sale type ! Dire qu’il a mon âge. J’ai encore moins de scrupule de baiser sa femme ! Le soir, comme la veille, Laura exige le compte rendu détaillé. Elle rit de bon cœur lorsque je lui raconte ma mésaventure avec son frère. — La prochaine fois tu me reprocheras pas de ne pas avaler ton foutre quand je te suce ! — Et toi qu’as-tu fait ? — Je suis sortie avec ma sœur et ma belle-sœur. Elle est charmante Aurélie. Quand je pense que je la snobais parce qu’elle avait épousé mon frère !
Le samedi est pour moi la répétition des jours précédents. Me balader nu ne me pose plus aucun problème. Marie et Sylvie m’accaparent dès le petit déjeuner. Je les fais jouir par mes caresses. Tout à coup Sylvie me bouscule sur un fauteuil et vient s’empaler sur ma queue. — Aah ! J’en avais envie ! Elle danse sur mes cuisses. Je happe ses tétons quand ils passent à portée de ma bouche. — Ouiiii !… Je jou…. Je jouiiiiiis !
Elle s’affaisse sur moi. Sans me désunir, je la retourne et la pilonne avec vigueur. — Aah !… Oooh !… Ouiii !… C’est boooon !… Ooooh !… Ouiiiii !… Aaaah !… Mmmmh ! — On dirait que tu prends ton pied, dit en souriant Marie. Il est si bien que ça ? — Tu… Aaaah !… Tu ne peux pas savoir… C’est Aaaaah !… Je jouiiiiiis… C’est trooooooaarrgghh !Je la libère après ces orgasmes multiples et la laisse reprendre haleine. — Tu devrais essayer Maman, je t’assure que c’est autre chose qu’avec Philippe ou ton mari, et même Nicolas ! — Non merci. — Tu as tort. — Je préfère rester sur le regret de ne pas l’avoir fait plutôt que déplorer de ne plus pouvoir le faire quand il ne sera plus là, argumente-t-elle avec un sourire. Dans l’après-midi j’ai eu droit au grand-père et au père qui m’ont de nouveau enculé. Qu’ils m’ont fait mal ! Je ne m’y habituerai jamais, dire que parait-il il y a des hommes qui aimes ça.
Le Dimanche matin je m’apprête à sortir de la chambre en tenue d’Adam. — Tu n’y penses pas ! rouspète mon épouse. — Mais c’est ce qui m’est demandé. — Plus aujourd’hui, ton rôle de jouet sexuel est terminé, habille-toi. Je commençais à prendre l’habitude, moi ! — C’est vrai c’est le jour de la fête à Camille. En attendant le soir j’emmène ma femme dans la campagne environnante où nous passons une excellente journée. Quand nous réintégrons la maison, la famille est réunie autour d’un buffet. — Nous n’attendions plus que vous, dit Marie en me présentant du saucisson. André entouré de Philippe et de Nicolas, s’avance vers Camille. — Ma chère petite, te voilà autorisé maintenant à jouer dans la cour des grands. Permets-moi d’être le premier à t’accueillir… Bien que quelqu’un ait eu l’audace de me précéder, ajoute-t-il en me lançant un regard noir. Camille baisse les yeux. Elle frémit quand son grand-père déboutonne son corsage. Son père s’empresse et lui ôte le vêtement qu’il pose sur une chaise. Nicolas s’approche et dégrafe le soutien-gorge et le fait glisser sur les bras, découvrant la poitrine que la jeune fille cache de ses bras. André dézippe la jupe. Camille nous fait face en petite culotte que son père fait glisser sur les cuisses. La jeune fille regarde devant elle avec un regard vide comme si cela ne la concernait pas. André la prend dans les bras et embrasse sa poitrine. Elle le laisse faire, et ne réagit pas lorsqu’il la porte sur le canapé où il l’installe jambes écartées. Il baisse son pantalon sur les chevilles sort sa queue et s’avance entre les cuisses. Je vois Camille effacer la grimace qui déforme ses traits lorsque la verge se fraye un chemin dans le vagin. Heureusement qu’elle n’était plus vierge, il lui aurait fait horriblement mal. Son père et son frère entourent la jeune fille et la cajolent. Tout à coup Aurélie me prend par le bras : — Y a pas de raison qu’ils soient les seuls à s’amuser ! Elle m’entraîne dans un coin près d’un fauteuil sous l’œil réjoui de ma femme. Du coup Nicolas, jaloux que son épouse prenne du bon temps, délaisse momentanément Camille et par vengeance se jette sur Laura. Philippe s’assied entre sa femme et sa mère. Je devine qu’il attend avec impatience que son père en finisse avec Camille pour prendre sa place. Ma belle-sœur m’embrasse goulument. Elle tente d’ôter ma chemise. Je regarde autour de moi. Les participants, ma femme en tête sont à demi nus. Je laisse Aurélie me déshabiller et lui rends la pareille. Elle me pousse dans le fauteuil et s’assoit sur ma verge. — Aaah ! J’en avais envie ! Elle danse sur mes cuisses. Je soutiens ses seins qui virevoltent. Dans le coin opposés ma femme se fait prendre en levrette par son frère. Sylvie a eu raison des réticences de son mari qui la baise pendant que sa mère la caresse. Le premier il s’effondre sur son épouse. André éjacule avec un grand cri. Je suis fier de résister plus que Nicolas qui laisse mon épouse insatisfaite. Aurélie sur mes cuisses clame sa jouissance, ce qui rend jaloux son mari. — Tu n’as pas encore fini ? — Je…Aaah !… Je m’éclate… Aaah !… Je jouis tu ne… Aaah !… Tu ne sais pas comment… Aaaaaaaah ! A la fin je lâche la purée et elle s’écroule sur moi. Son mari l’empoigne et la relève. — Reprenons des forces, invite André. Nous en avons besoin la soirée n’est pas terminée. Pour le deuxième round, Philippe s’occupe de sa fille Camille. Moi je m’empresse auprès de mon épouse faisant fi du regard noir que me lance André. Vexé il se laisse entraîner par sa femme. Nicolas tourne le dos à Aurélie et s’empresse auprès de sa mère. — Fais-moi jouir toi, me demande Laura.— Ton frère n’as pas été à la hauteur ? — Tais-toi ! Elle m’embrasse. Je m’efforce de lui donner toutes satisfactions et réussi à la faire rugir. — Ouiii !… Aaaah !… Mmmmmmh !Je me déverse en elle déclenchant un nouvel orgasme. Je réalise brutalement que tout le monde nous contemple. Je suis fier de déceler de l’envie dans certains regards. Après une nouvelle collation Nicolas s’avance entre les cuisses de Camille. Il n’est pas très vaillant le beau-frère mais un sursaut de fierté lui permet d’embrocher sa jeune sœur. Sylvie et Marie me monopolisent. — Fais-nous jouir comme tu sais le faire ! Puisqu’elles le désirent ! J’embrasse leur sexe et leur prodigue les caresses qui leurs ont faits tant plaisir les jours précédents. Du coin de l’œil je surprend André qui s’excuse auprès de ma femme de n’avoir plus les ressources pour la baiser. Enfin mon tour arrive avec Camille. Vu l’état des hommes présent je devine que personne ne me disputeras la jeune fille. Je m’enfonce dans le vagin dégoulinant de sperme. — Aaah !… J’attendais ce moment depuis le début de la soirée, me dit-elle en me serrant dans les bras. — Ton père et ton grand-père ne t’ont pas fait jouir ? — Ni mon frère ! Je n’ai pu les supporter qu’en pensant que ton tour viendra. Après une telle déclaration je dois me surpasser pour ne pas la décevoir et je crois avoir réussi… — Oh que c’était bon ! me dit-elle lorsqu’elle reprend haleine. Tu es le meilleur… Dis… Tu crois que je peux venir à Paris chez vous ? Ça sera plus facile pour poursuivre des études. Drôle de moment pour une telle confidence. — Je veux bien mais il faut que Laura soit d’accord. Furieux que Camille ait manifestement plus joui dans mes bras que dans les siens, André me tire en arrière. — Il est temps pour toi ma petite-fille de te reposer, tu as eu une rude soirée. Il la remet entre les mains de Marie qui l’emmène hors du salon. Mon épouse et moi rejoignons notre chambre : — Alors ? La fête de ta sœur a été à la hauteur de tes espérances ? — Tu t’es pas mal amusé toi aussi, me dit-elle avec un sourire.
Le lendemain, Nous faisons nos adieux à la famille de ma femme. Autant les hommes me battent froid, autant Aurélie et Camille nous embrassent chaleureusement. Sylvie et Marie nous accompagnent à la gare et nous étreignent sur le quai en nous remerciant de notre visite. La mère menace sa fille pour rire. — Ton mari est un homme précieux, conserve le bien et ramène nous le bientôt ! — On peut dire que tu as fait une sacrée impression aux femmes de la famille, me dit en souriant Laura dans le train. Tu sais pas ce qu’elles m’ont demandé sans se concerter ? — Non comment veux-tu que je le sache ! — Chacune, sous le sceau du secret évidemment, voulaient savoir si elle pouvaient loger chez nous quand, en cachette de leurs maris, il leur arrive de passer deux ou trois jours dans la capitale. Les hôtels sont si chers m’ont-elles donné comme excuse. Tu es d’accord ? — Tu sais que aussi bien ta mère, ta grand-mère et ta belle-sœur ont cherché… Euh… Non, ont trouvé avec moi un dédommagement à l’indifférence de leurs époux. — C’est ce qu’elle m’ont toutes dit. — Ah bon, si tu n’y vois pas d’inconvénients… Et Camille ? Elle n’a rien demandé ? — Oh celle-là ! Ce culot ! Elle a prétexté des études qu’elle ne pouvait faire qu’à Paris pour me supplier de l’héberger à la maison, tu te rends compte ! — Qu’est-ce que tu lui as dit ? — Ben… Euh… Que voulais-tu que je réponde ? Qu’on l’accueillerai avec plaisir, pardi. — T’as pas peur qu’elle essaie de me séduire ? — C’est déjà fait, non ? me dit-elle avec un sourire. Puis moi aussi je l’aime bien ma sœur.
Régulièrement nous recevons la visite de Marie, Sylvie ou Aurélie à qui nous nous efforçons, Laura et moi, de donner un peu du bonheur que leurs maris leur mégottent. Sachant qu’elle peut me revoir, Marie ne refuse plus l’étreinte. A chaque rencontre elles nous répètent que leurs époux ne les font pas jouir autant que nous et félicitent ma femme d’avoir un tel mari ! Camille fait parti de la maisonnée et vient souvent le soir nous rejoindre dans notre lit. Nous lui faisons une petite place entre nous…
Je l’aime bien la famille de ma femme… Euh… Pas les éléments mâles.
Fin.
Diffuse en direct !
Regarder son live