Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 27 J'aime
  • 0 Commentaire

La famille, la punition

Chapitre 1

Divers
J’ai carte blanche. La salope est moitié nue sur la moquette. Fabio regarde, je shoote la gonzesse et lui dit ‘ C’est pas bien ce que tu as fait, tu vas être punie. Je n’ai pas les moyens de te faire punir par la justice française mais la mienne est plus expéditive et moins regardante. ‘.
Fabio se charge la meuf sur l’épaule et la balance dans le coffre de la Mercos. En cours de route il récapitule mon idée et les moyens de la mettre en œuvre.
‘ Paolo, nous allons en Normandie. ‘‘ Béné et é ? ‘‘ Nous avons des frères là-bas. ‘‘ Et ? ‘‘ Il faut que tu sois le Don, le Patron et persuasif. ‘‘ Molto béné, Io fa. ‘
Arrivés dans une espèce de ferme, je suis en contact direct avec le fermier … Pas un fermier, un éleveur de chevaux. Je lui explique que je suis contrarié et que j’envisage une punition pour une fille. Il me rétorque que ça ne le concerne pas mais la grimace de Fabio le calme. Fabio sort la morue du coffre proche du carré des étalons. Il la jette sur la paille puis explique à l’éleveur qu’une pute peut prendre n’importe qui et n’importe quoi y compris une bite de cheval. Le mec est horrifié mais ferme sa gueule, c’est l’idée d’un chef de famille.
Je ne sais toujours pas le nom de la fille que nous positionnons sur une table pour la punition et je regarde Fabio la ligoter serré.
Elle est nue, à plat ventre, un peu dans les vapes et ne s’attend pas à ce qui va lui arriver. L’éleveur nous amène un étalon tout noir qui trépigne. Il est derrière la conne que je vais punir pour avoir humilier la famille.
— ‘ Faites le bander ! ‘.
Fabio et l’autre ne bougent pas. Je m’adresse à l’éleveur ‘ Tu es sourd ? ‘. Il va chercher une jument, probablement en chaleur et la fait sniffer au bourrin. Je choppe un chiffon , torche la jument et frotte l’autre connasse. Le cheval trique comme un malade.
On le positionne tant bien que mal, il sniffe notre punie et hennis. C’est moi le boss, je le guide entre les cuisses de la fille, je me penche à son oreille ‘ c’est quoi ton prénom salope que ton nouvel amant puisse le prononcer en te baisant ? Il aura fallut cinq baffes pour qu’elle murmure Joëlle.
Le bourrin, bien guidé est à l’entrée du sexe de Joëlle. L’éleveur est derrière son cheval et d’une tape il lui fait donner un coup de reins. La bite ne rentre pas, elle est trop grosse pour cette femme.
‘ Fabio, prépare cette pute s’il te plait ! ‘
Fabio couvre du regard l’endroit, s’empare d’une fourche et plante le manche dans le sexe de Joëlle. Puis il avise un truc plus gros et reproduit la manipe.
‘ Fabio ? Anche il culo ! ‘.
Le cul aussi ça ne lui avait pas effleuré l’esprit. Il défonce la meuf avec le manche de la fourche puis avec l’étrange outil.
On ramène le cheval, l’autre conne couine comme une truie. Le bourrin s’installe et Fabio guide la bitte au bon endroit. Je tape le cul du cheval et il empale Joëlle. C’est rapide et fort, la fille hurle à la mort, le cheval s’enfonce le plus loin possible puis éjacule. Son sexe se retire et le sexe de la nana dégueule de foutre.
Je regarde l’éleveur …
Il ramène son cheval dans ses quartiers et amène une second bourrin, beige, superbe. Le deuxième étalon n’a pas besoin d’explication, à l’odeur il bande, il suffit de guider le gland énorme sur l’anus de la gonzesse. Une tape au cul du cheval et il force, l’autre beugle, pleure, puis se tait, l’engin est à moitié dans son cul et le cheval la ramone rapidement avant de la laisser se vider d’un flot de merde et de foutre. Un peu de sang s’échappe de l’anus explosé.
‘ Joëlle, c’est juste une punition, la prochaine fois c’est Fabio, lui il ne te baisera pas il te plombera la tronche. ‘
Fabio me regarde de travers, il y a un truc qui colle pas … je dis ‘ Bhen quoi?‘.
Il ouvre sa braguette et baise Joëlle pendant vingt minutes.
‘ Y a rien Don ‘.
La fille est ruinée, baigne dans le foutre et dans la merde.
Fabio la grimpe dans le coffre de la bagnole et me regarde. C’est à moi de parler.
‘ Ecoute truie, ce que tu as fait est mal, tu es punie. J’ai hésité entre la punition corporelle et te mettre à l’amende … Tu aurais fait le tapin, à l’abattage pour rembourser la dette d’honneur. Nous allons payer pour ton mec mais tu ne bouges pas une oreille, c’est lui qui décidera si tu es libre ou non. ‘.
Sur le chemin du retour Fabio m’explique que j’ai été bon sur ce coup là. C’est pas mon avis, je suis plus homme d’affaire que voyou de bas étage. Il reste que c’est aussi ça que l’on attend de moi.
Ma seconde épreuve est pire, négocier avec un banquier qui a mis une entreprise de la famille en porte à faux pour quelques 100 000 unités. Le banquier sait que la structure peu absorber la somme en pertes mais a fermé le robinet. L’entreprise d’importation de charcuterie italienne est étouffée et au bord du dépôt de bilan.
Nos affaires ne se traitent pas dans un bureau, c’est dans les salons du Lutétia que je rencontre le petit bonhomme de banquier.
La discussion vire au surréel : ‘ Vous lâchez la somme et récupérés sous 4 jours avec intérêt, ça vous va cher Monsieur ?! ‘
— ‘ Non, nous avons fait assez d’effort ! ‘.
En garantie j’offre le compte d’une de nos entreprises beaucoup plus solide. Il refuse … Je me dandine sur mon siège … ‘ Fabio, j’ai besoin des 100 K tout de suite, c’est possible ? ‘ – ‘ J’essaye Monsieur. ‘ dit-il en décrochant son téléphone. Je me tourne vers le petit bonhomme et lui assène ‘ Vous allez perdre des clients. ‘ Il souri.
Vingt minutes plus tard j’exige un reçu contre la valise blindée de talbins. Le suspicieux compte toutes les liasses, signe un reçu et se barre.
Fabio me regarde et lance que j’aurais pu le faire rectifier et récupérer les sous. Je lui demande s’il me croit malhonnête … Il se marre …‘ Fabio, le petit banquier va me payer son comportement mais les affaires sont les affaires et je suis honnête. ‘.
Une heure plus tard cinq comptables d’entreprises vident leurs comptes de l’agence du petit bonhomme. Il parait qu’il gesticulait et hurlait que ces entreprises étaient maffieuses. Son procès un an et demi plus tard lui donna tort et il se retrouva à la rue.
Deux boulots cet après midi m’avaient tenu en haleine, j’avais besoin de décompresser. Un verre sur les champs, un dîner à Montparnasse puis Fabio me laisse devant une boîte tenue par la famille. Le videur m’interdit l’entrée, Fabio lui glisse un mot à l’oreille et le type me laisse entrer. Fabio me fait signe Chao.
Dans la boîte je vais au bar et commande un Gin tonic, le serveur s’exécute et je paye. Je vais squater une banquette ou deux nana splendides suçotent leurs coupes de champ. J’entame la conversation, elles en profitent pour me demander d’offrir une autre coupe. Je commande une bouteille et casque cash.
Deux heures plus tard, je traîne une des deux nanas dehors, nous prenons un taxi pour rejoindre mon studio.
Nanou, ma conquête, est un peu éméchée et je n’ai aucune difficulté à lui ôter ses frusques. Elle est nue, souriante, sur le lit, ne portant plus que ses sandales très cambrées. Son sexe est finement ourlé de poils bruns, le ventre est plat, le sein haut et ferme, elle est plutôt pas mal.
Je la caresse découvrant chaque partie de son corps et déposant de temps à autres, de doux baisers.
J’écarte les deux superbes jambes, enfile une capote et entreprend de baiser cette jolie petite biche.
Elle n’est pas très exubérante, ça ne remue pas beaucoup même si elle gémie un petit peu.
Je lui lève les jambes plus haut et ignorant ses protestations la sodomise … Après une agitation maîtrisée à la force des bras, elle s’abandonne et se donne presque inerte jusqu’à ce que je jouisse.
C’est pas un grand pied, mais bon, je l’ai tiré.
Nous dormons jusqu’à ce que Fabio sonne au petit matin.
Dès qu’il est entré il détaille Nanou. Elle, sans pudeur se lève pour déjeuner des croissants encore chauds amenés par mon ‘ collègue. ‘ .
Fabio me regarde interrogateur, je lui fais signe que oui, il prend la petite, l’assois sur ses genoux et la tripote un peu. Elle rigole. Cinq minutes plus tard le beau Fabio lui met un coup de seringue sans se préoccuper de ses cris. C’est pas du viol, elle est consentante.
Elle le chevauche et il m’invite à la fête. Une double pour la gentille Nanou. Elle a jamais connu ça et se fait démonter par deux ritals.
Dès que le foutre a jailli elle est virée du studio.
Fabio n’est pas un bavard, il lance : ‘ Picolo tu fais dans la tradition, Tonio m’avait dit que tu étais un dingue, je veux bien le croire. Tcho fratello nous avons du travail. Viens ! ‘.
Mon escapade parisienne prend une drôle de tournure.
Est-ce que je suis déjà chef de famille ?
Diffuse en direct !
Regarder son live