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Famille reconstituée, 3ème épisode

Chapitre 1

Inceste
Nous sommes au matin de notre toute première nuit ensemble.
La fatigue de mes heures de conduite additionnée à celle des rapports sexuels dispensés en moins de 5 heures, j’ai dormi comme un bébé.
Je me réveille et constate que je suis seul dans le lit. Quels ont été mes rêves durant mon sommeil, je ne sais pas, toujours est-il que je me réveille avec une queue raide au possible et je ne peux m’empêcher de me masturber un peu tant elle me fait presque mal d’être aussi raide.
Je ne vais quand même pas me masturber alors que je suis dans le lit d’une superbe salope qui a et qui m’a tant fait jouir en si peu de temps... Je me lève donc pour aller faire pipi et prendre une douche réparatrice. Elle entend l’eau couler et vient me dire : "Tu es réveillé mon chéri ? Je t’ai laissé dormir ! Retourne te mettre au lit après la douche je viens m’occuper de toi".
Bigre ! On va déjà recommencer ? Elle est insatiable cette femelle là !
Je me sèche un peu et retourne donc me mettre au lit..... Ce n’est pas vraiment ce à quoi je m’attendais car elle arrive avec le plateau du petit déjeuner. Elle se souvient de ce que j’avais dit lors d’une communication téléphonique et si pour elle c’est du café, pour moi j’ai un bon cacao... Je bois effectivement beaucoup de lait et cela depuis toujours. Tartines beurrées sur pain grillé sentant délicieusement bon ; confiture aussi.... Je m’en souviens, c’était de la confiture à l’orange... ça aussi elle l’avait enregistré lors de nos échanges mails au début et téléphone ensuite, mes confitures préférées, celles anglaises à l’orange et au citron...
Une salope, mais aussi une délicieuse femme.... Je me dis en moi-même : "pourvu que ça marche entre nous, je me vois bien vivre avec une telle femme !"
Pour tout vêtement elle n’a qu’une veste de pyjama laissée ouverte et rien d’autre. Je savais, toujours de la même façon, que chez elle, dans son intimité, c’est sa tenue de prédilection et que sa fille a elle aussi pris l’habitude d’être dans la même tenue... Je me mets d’ailleurs à imaginer mère et fille dans cette tenue, et moi au milieu...... Je ne sais pas comment cela va être quand nous vivrons ensemble car sa fille sera nécessairement avec nous et moi j’aime être chez moi en tenue décontractée aussi, en caleçon ou boxer et chemisette.
Mais revenons en au petit-déjeuner. Je m’assois, me calant le dos à l’oreiller. Elle fait de même à côté de moi et pose le plateau sur nos genoux. Quelle délicieuse petite femme j’ai là, c’est la première fois que l’on me porte le petit-déjeuner au lit..... D’habitude c’est moi qui le porte et non le contraire. Bien sûr, nous ne pouvons éviter d’en faire tomber dans le lit et lorsque le plateau rejoint le sol à côté du lit des miettes de pain sont là.....
Pas seulement des miettes de pain, mais aussi le pot de confiture qu’elle a pris soin de garder à la main.
Je m’en doutais, et vous aussi le sentez venir... Le pot se vide soudain sur mon torse, sur mon sexe, sur le haut de mes cuisses. Elle me masse de partout avec la confiture, ote sa veste et vient s’allonger de tout son long sur mon corps. Elle se frotte jusqu’à ce que nous soyons collés l’un à l’autre. Nous roulons sur le lit, les draps sont eux aussi collants de confiture.
Elle se retrouve sur le dos, ouvre ses cuisses en grand et je m’enfonce en elle, la queue enduite de confiture servant de lubrifiant si besoin était..... Du lubrifiant avec elle ? Allons donc nous n’en avons jamais utilisé et je l’ai toujours pénétrée sans problème autant dans le vagin que dans le cul... Je trouvais même qu’elle lubrifiait naturellement de ce côté là aussi.
Outre la confiture, rien de spécial dans notre coït, juste la position du missionnaire et nous avons fini en 69... Nous avons ensuite pris une douche ensemble, changés les draps et m’a demandé dans quelle tenue je voulais qu’elle soit pour préparer les fameuses carbonnades.flamandes..... N’étant pourtant pas de nature sadique je lui demande si elle accepterait les pinces à seins qu’elle m’a fait voir hier soir.

Sans problème, elle accepte et m’en fait voir le fonctionnement : "Tu vois, on peut en régler la force de serrage... Tu peux même les resserrer d’un cran toutes les heures quand on s’est habitué à la douleur... Il y a quand même une limite à ne pas dépasser, ça dépend où tu les mets".
ET la voilà parée d’une pince à chaque téton et d’une autre au clitoris... Je n’ai pas osé les trop fermer et c’est elle même qui serra un peu plus celles des tétons et y accroche à chacune des trois de petites clochettes qui tinteront à chaque mouvement.J’accepte qu’elle reprenne sa veste de pyjama et elle m’informe que je pourrai l’enculer quand bon me semblera si j’en ai envie, qu’elle se fera un plaisir de se pencher sur la table afin de m’offrir sa croupe.
Elle prépare donc les carbonnades flamandes dans cette tenue et autre chose aussi.
Pendant la cuisson c’est elle-même qui m’invite à venir l’enculer et même à un moment elle disparait un court instant dans la chambre et revient avec le martinet, me demandant de la frapper sur les fesses et de les lui marquer. Ne me déchires pas la peau me prévient-elle mais tu peux me frapper fort pour zébrer et faire rougir mes fesses et mes cuisses, tes caresses ensuite n’en seront que meilleures......
C’est à partir de ce jour que j’ai découvert les délices du sadisme en compagnie d’une très jolie femme totalement masochiste.
Je découvrais ainsi une autre de ses facettes.
Les terminaisons nerveuses de la douleur étant les mêmes que celles de la jouissance, elle a même joui sous les coups de martinet.... Je lui en ai d’ailleurs très peu donné, préférant la fesser tant son cul rond m’excitait et je lui ai retiré les pinces. C’est donc comme hier soir couchée sur la table, les jambes maintenues grandes ouvertes par ses mains, que je me suis agenouillé devant elle pour lui lécher cette fente, ce clito endolori et cette grotte s’ouvrant d’elle-même et d’où ruisselait déjà un abondant liquide. Me relevant je l’ai embroché avec vigueur lui arrachant de nouveaux cris de plaisir....
Pour ma part les burettes étaient vides... Jouir et décharger trois fois de suite c’est déjà très bien mais il faut ensuite quelques jours de repos pour reconstituer le stock. Ce que je lui dis et elle me répond que le sperme elle s’en fout. Il y en a, même beaucoup, tant mieux, elle avale tout et peut même le tartiner sur une tranche de pain d’épices pour s’en délecter. Il n’y en a pas ou très peu c’est bien aussi elle a surtout besoin d’un homme qui bande et qui lui demande de faire toutes sortes de choses. Elle précise qu’elle n’est pas véritablement soumise mais elle aime qu’on lui demande de faire telle ou telle chose en matière sexuelle.
Nettoyage de la table et nous dressons le couvert. Ses tétons sont magnifiquement dressés à la fois par le plaisir qu’elle a prouvé et aussi par le port des pinces durant deux bonnes heures.
Elle me demande si j’aime visionner des cassettes pornos et lui réponds "seul, non ! en compagnie d’une salope, oui!".Elle me dit qu’elle en a quelques unes mais qu’elle les a prêtées à une de ses nièces qui est elle aussi assez portée sur le sexe et me propose d’aller les chercher dans l’après midi, sa nièce habitant un immeuble à peu de distance du sien. Je dis oui, ça nous fera prendre l’air, nous irons à pied.
Savez-vous ce qu’on dit d’une femme qui fait très bien la cuisine ? Qu’elle fait aussi très bien l’amour.
Ayant découvert chez Mado d’abord l’amour, j’ai pu constater que le contraire existe aussi car sa cuisine est délicieusement bonne. Moi qui suis à la fois gourmet et gourmand elle m’a gâté et chaque repas a par la suite été un délice.
J’aime toujours terminer un repas par un bon café et le sien est lui aussi un des meilleurs que j’aie bu.
Après cela, digestif sensuel sur le lit refait. Sagement, juste en position dite du missionnaire et léchouilles de sa part pour nettoyer le tout et nous nous habillons pour aller chez sa nièce.
On ne se connait pas encore très bien mais à l’avenir ce sera toi qui décideras de la manière dont je dois m’habiller pour sortir. Pour le moment tu découvres ma garde-robe mais plus tard nous choisirons mes vêtements ensemble.
Je constate malgré tout que sa tenue choisie est très sexy et qu’effectivement elle aura l’air d’une pute. Bas résilles noirs avec porte-jaretelles rouge ; un string rouge lui aussi et entièrement transparent. Elle me demande si elle doit mettre le soutien-gorge assorti ou si je préfère qu’elle soit les seins nus. Puisque le soutien-gorge constitue l’ensemble trois pièces, je consent au soutien-gorge. Une jupe noire moulante non pas à mi cuisses, plutôt à tiers de cuisses, des escarpins à talons fins très hauts et un pull, moulant lui aussi, rouge. Nous ne sommes qu’au tout début du printemps et il fait encore un peu frisquet. Elle prend un manteau long, prenant soin de le laisser ouvert depuis son pubis, ce qui fait que l’on voit ses jambes à chacun de ses pas.
D’un coup Mado est presque à ma hauteur. Je fais 1m97 et elle 1m72 et avec ses talons de 15 cm elle arrive à 1m87.
J’adore cette tenue, une jupe très courte portée avec de très hauts talons. Je le lui dis et elle sait que les hommes apprécient cette tenue et que pour moi, si je le lui demande elle fera encore plus me révélant pour la première fois qu’elle m’appréciait déjà beaucoup à travers nos échanges mais qu’elle se sentait tomber irrésistiblement amoureuse de moi, se disant qu’elle avait enfin trouvé l’homme qui lui convenant, à la fois intelligent et vicieux.
Je lui confirme que je me sent très bien avec elle car au delà de ses vices et de sa luxure elmle est elle aussi très intelligent et que nous avons topujours des conversations très agréables sur divers sujets. Bref, comme elle le voulait elle-même, le sexe est primordial dans son couple, mais il n’y a pas que ça.
En cours de route je constate qu’elle attire tous les regards. Des admiratifs et des réprobateurs. D’hommes et de femmes. Nous devisons et elle me renseigne sur sa nièce. Agée de 25 ans, ayant connue deux ou trois hommes dont elle était très amoureuse mais qui l’ont faite souffrir, elle a décidé de se détourner de la gente masculine et choisi de vivre seule. Elle a des amis hommes et femmes mais plus d’amant. Pourtant très portée sur le sexe et ne pouvant en parler ouvertement avec ses parents, c’est vers sa tante qu’elle s’est dirigée et elles ont pris l’habitude de visionner ensemble des vidéos pornos et de faire les sex-shops où elles achètent de concert godes et vibros pour leurs plaisirs réciproques.
Je demande donc à Mado si elle se gouine avec sa nièce et elle me répond qu’elle a essayé une fois avec une femme mais qu’elle n’a pas aimé, préférant faire l’amour avec un homme ou avec plusieurs à la fois. Par contre elles se masturbent souvent en présence l’un de l’autre.
Nous arrivons chez la nièce, Lydie... Très jolie jeune femme, un peu moins grande que sa tante et de très longs cheveux de jais lui descendant jusqu’au bas du dos. Sa tante quant à elle est blonde, plus clair que les blés. avec des cheveux au milieu du dos.
Mado me présente à Lydie et lui dis que malgré que nous ne nous sommes rencontrés physiquement que depuis moins de 24 heures que je serai son futur oncle par alliance. Elle lui raconte même nos exploits sexuels et tout le plaisir qu’elle en a retiré..... Pour ma part je ne sais quelle contenance tenir, me sentant un peu gêné de ses révélations devant une inconnue.
Je ne vous ai pas encore dit que Lydie était en tenue décontractée elle aussi, elle n’attendait personne. Nuisette verte presque transparente et très courte avec déshabillé assorti mais un peu plus long.
J’ose lui dire que sa tante m’a renseignée sur elle quant aux rapports malheureux qu’elle a eu avec les hommes et que pour ma part je le trouve fort appétissante et que je ne comprends pas les hommes qui l’ont faite souffrir et j’ose aussi lui demander si elle s’est tournée vers le lesbianisme ce à quoi elle me répond que non et que si elle n’a plus de rapports avec les hommes autre que simplement amicaux elle a un merveilleux amant qui la fait jouir tous les jours.
Devant mon étonnement elle va ouvrir une porte et appelle son amant : ..................... un superbe labrador mâle.
Comme ma tante je suis très exhibitionniste et ça me procure beaucoup de plaisir, si vous voulez, je peux me faire saillir devant vous, je sais que ma tante adore me voir ainsi et qu’elle se masturbe en me regardant.
Mado lui dit alors qu’elle n’osait pas le lui demander par rapport à moi car nous n’avons jamais abordé ensemble le sujet de la zoophilie.
Pour ma part j’ai toujours voulu voir ça, mais juste voir pour me faire une idée. Je sais que cela a toujours existé et même dans la Grèce ancienne d’où viennent les légendes des centaures tant les grecs croyaient que de l’accouplement d’une femme avec un animal un être mi homme mi animal naitrait. Pour eux, à cette époque, il n’y avait aucune perversité, mais un culte aux dieux, tel un temple dédié au dieu des enfers et où les femmes s’accouplaient à un bouc.
En un instant voilà Lydie qui se débarrasse de son déshabillé et de sa nuisette. Je la découvre donc nue, voyant de jolis seins ronds bien plantés et une toison de jais au niveau du pubis mais délicatement rasée au niveau des lèvres. Lydie flatte le chien qui ne tarde pas à bander, se met à quatre pattes et le chien la monte et la pénètre instamment..... Le rapport ne dure pas très longtemps mais le chien se retournant je peux constater que comme avec les chiennes il reste solidaire de sa femelle un long moment à cause de la boule s’étant formée sur son sexe et qui reste coincée dans le vagin de la femelle..... Lydie hurle sa jouissance et Mado rapidement à quatre pattes, la jupe relevée m’a demandé de la prendre en levrette.
Ensuite Lydie est restée nue et entamer une discussion tout en se caressant la fente et les seins......
Excité par ce que j’avais vu je demande à Mado si elle s’est faite elle aussi prendre par le chien ce à quoi elle me répond que non et que si elle voir voir LYdie, sa nièce, se faire prendre par le chien, elle-même n’est pas attiré par ce rapport....
Pourtant je lui dis que ça me ferait plaisir qu’elle le fasse devant moi.
Contre toute attente de ma part et de celle de sa nièce, la voilà qui se met nue et qui demande à sa nièce comment il faut faire et de lui amener le chien....... Ce dernier a donc laissé sa semence dans deux femelles ce jour là.
Tout le monde rhabillé, le chien ayant rejoint son panier dans une autre pièce, notyre conversation tourne indiscutablement autour du sexe sous toutes ses formes.... Mado lui demande les vidéos et Lydie lui en rend 3 sur les 5 prêtées car elle n’a pas encore regardé les deux autres et me dit que je peux venir la voir quand je voudrai, qu’elle se fera un plaisir de me recevoir si sa tante accepte que je vienne seul chez elle. Mado n’y voit aucun inconvénient.
Nous revenons donc lentement au domicile de Mado qui en cours de route me dit qu’elle n’a pas particulièrement appécié le rapport avec le chien mais qu’elle était malgré tout très excitée et heureuse de se faire saillir parce que c’est moi qui le lui ai demandé... Pourtant ce n’était pas un ordre, juste une demande et c’est bien ainsi qu’elle l’a pris, non pas pour un ordre à une chienne soumise, mais un simple désir d’un homme à sa femme et elle me rappelle que je peux tout lui demander et elle se fera un plaisir de recommencer avec n’importe quel animal si c’est moi qui le lui demande.
C’est donc un couple heurux d’être ensemble et avec un amour naissant l’un pour l’autre que nous rentrons où une surprise nous attend.
Elodie, la fille de Mado est là. Elle s’est disputée avec son copain et n’ayant pas d’autre endroit où aller elle est revenu chez sa mère, s’excusant d’être là alors que sa mère avait souhaité passer ces quelques jours seule avec moi pour faire plus amplement connaissance et nous découvrir physiquement puisque nous nous connaissions déjà amplement mentalement.
Elodie est comme sa mère me l’avait dit ce matin, en veste de pyjama, mais elle a pris soin de la boutonner et de garder un soutien-gorge et un mini-slip.
Ce soir là nous n’avons donc pas fait l’amour sur la table ou dans le salon. Nous sommes restés sages. Elodie s’"est retirée tôt dans sa chambre pour nous laisser tranquilles.
Elodie ? Aussi blonde que sa mère avec des cheveux presque aussi longs. Un peu plus grande. Des seins moins volumineux mais de très jolies jambes bien galbées comme celles de sa mère.
Que voulez-vous, même si je n’ai pas eu d’envie sexuelle de sa fille je n’ai pas gardé mes yeux dans ma poche et j’ai regardé et aussi apprécié.
Mado avait gardé sa tenue vestimentaire, juste remplacé le pull par un léger chemisier et supprimé le soutien-gorge. Nous avons sagement regardé la télévision et pas du tout visionné une des cassettes.
Lorsque nous allons au lit il n’y a qu’une trentaine d’heures que nous nous sommes rencontrés physiquement, bien que cela fasse plusieurs mois sur internet et nous sommes déjà fort complices et épris l’un de l’autre.
La suite est encore à venir car avec elle je ne suis pas au bout de mes surprises
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