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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Famille & sexe

Chapitre 2

Inceste
Au lycée durant toute la journée, je n’avais qu’une envie, pouvoir enfin rentrer ! De plus des flaches me revenez des plaisirs de la veille, le moment où Eva joui sous met coup de langue, ma première pénétration, et puis ce corps, doux, magnifique, cette poitrine qui défie les lois de la gravité, ces téton qui durcisse avec l’excitation. Je n’arrivais pas à me concentrer sur les profs, mes pensées était uniquement dirigé vers la nuit dernier et celle à venir.Puis à midi, je reçois un texto d’Eva qui me dit : ’ Pour ce soir, met moi dans l’ambiance et surprend moi ! ’ Je suis resté bouche baie. La surprendre... La mettre dans l’ambiance... J’avais l’après midi pour trouver. Après le court, de physiques, j’avais mon idée, il fallait juste que je fasse quelques courses. J’avais décidé de lui faire passer une soirée romantique et sensuelle.A la fin des cours, je fonce à l’hypermarché du coin. Arrivé à la maison, j’ai un message sur le répondeur d’Eva : ’ Je rentrerai à 20h pile. ’ Cela me laisse deux heures pour tout préparer. Avant tout, tout ranger, tout nettoyer et puis mettre en place, enlever les lumières, mettre les bougies, fermer les rideaux, mettre de la musique, monter le chauffage préparer le lit ! Mettre la table, j’avais prévu japonais donc : set de table, bol, baguette, et enfin moi, me laver de la tête au pied en passant par le principale pour cette soirée : ma bite. Puis me faire beau, et le petit truc essentiel pour la soirée choisir mon plus beau boxer, car ce sera un repas japonais au bougie et en sous-vêtement !Dans l’ambiance et la surprendre... J’espère que ce sera bien. Voilà tout est prêt et je suis nerveux c’est mon premier rendez-vous ! Et pourtant, je sais comment cela vas finir ! Mais je ne peux m’empêcher de me poser mille et une questions. Je la guette pour l’arrêter dans le hall. La voila, elle monte les quelques marches du perron, ouvre la porte, c’est partie :’Bonjour ma belle, avant d’aller plus loin, il faut que tu sache que ce soir dans cette maison les seules vêtements qui sont toléré sous les sous-vêtements, comme tu peux voir moi je ne porte qu’un boxer.’ Eva me regarde droit dans les yeux et doucement retiré ses chaussures puis ses chaussettes, son pantalon, son chapeau et enfin son body. Elle se retrouve de nouveau face à moi avec uniquement comme repart ente ses attribue féminin qu’un string ficelle à dentelle rouge et un soutien gorges assortie qui entrave ses deux seins un peu trop à l’étroit, je ne peux détacher mon regard du sillon que forme ses deux globes imposant avec l’envie d’y mettre ma grosse queue.Maintenant ferme les yeux et laisse toi guider. Au moment de lui prendre la main, je la sent frissonner. Je la fais rentrer dans la salle a manger, la met face à la table basse et lui permet d’ouvrir les yeux. A ce moment je lit sur son visage toute la surprise. J’étais fier de moi, j’avais réussie une partie de ma mission. Il ne restait plus qu’à la mettre dans l’ambiance. Pour moi, c’était déjà le cas. Je bandais dure, mon sexe sortais de mon boxer, Eva le remarqua et elle vient sournoisement se collais à mon en me susurrant dans l’oreille : ’ alors gamin, on n’arrive pas à ce contrôler ’ et là je lui répondis du tac o tac ’ bientôt tu verras ce que le gamin vas te mettre et qui n’arrivera pas a ce contrôler. ’ elle se décolle de moi, un sourire aux lèvres. ? J’ai faim ? me dit-elle. On s’assoie en tailleur devant la table basse en verre, je vois son intimité juste caché par la dentelle de son string. J’essaie de la servir de sushi comme si de rien n’était.— Comment c’est passé cette journée, mon petit frère ?— Bien, malgré le fait que je n’avais qu’une idée en tête, toi !— Moi aussi tu sais, j’ai eu du mal à me concentrer, je suis un peu resté sur ma faim avant de te quitter ce matin, j’ai du me soulager à deux reprise dans la journée, mais cela n’a pas remplacé mon envi pour ta grosse bite tu sais.— Il y a des choses qu’il faut savoir désirer au plus au point.Elle se leva, me frôla, et s’assit dans la chauffeuse du canapé, une jambe sur chaque accoudoir, doucement sa main se caressa les seins, en les faisant passer au dessus de son soutien gorge, puis descendit vers son entre jambe. Un doigt passa sous son string et s’activa sur son clitoris. A ce moment, je décidais enfin de me lever, je passa dernière le fauteuil, et l’embrassa sur le front, le nez, le cou et enfin la bouche. Mes mains viennent se coller au sienne, et le contacte m’électrisa de nouveau. Mon doigt rentra facilement entre ses petites lèvres, j’y joins rapidement un second, tout en massant avec la paume de ma main son clitoris. Ses mains se détacha des miennes pour agripper mes accoudoir de fauteuil, tout son corps se tendit, ses ongles rentraire dans l’accoudoir et elle haleta de plaisir. Je continuais doucement à la caresser, pendant que petit à petit elle reprenait son souffle. Puis en se leva, et me sauta dessus, nous nous échangions un baisser passionner pendant qu’elle serrai ses cuisse autour de ma taille. Le contacte de son opulente poitrine qui s’écrasait contre moi violemment était un vrai bonheur. Elle s’arrêta de m’embraser et me mordit l’oreille. ?tonné, je la regardais intriguer. Et là, elle me dit : ? Prend moi violemment, baisse moi comme un homme, montre moi ce que tu sais faire avec le monstre que tu as entre les jambes. ?Je l’embrasse passionnément et me dirige vers le mur ou je la colle sans ménagement. La sensation de froid la fait s’arc-bouter, ce qui met dans l’alignement ma bite. De toute ma longueur, je la pénètre. Elle crie de surprise et de plaisir. Je passe mes bras sous ses jambes et pose mes mains contre le mur, cela me permet de la tenir sur élever et d’avoir une plus grande liberté de mouvement. Je commence à faire de grand aller retour en tapant au plus profond de ma soeur à chaque fois. Je la prends la contre le mur de toute ma force. Je lui mordille ses tétons, le lobe de ses oreilles. Je commence à fatiguer alors je la pose au sol, la retourne et me renfonce en elle. Dans cette position, je suis encore plus serré, c’est un vrai bonheur. Eva cambre ses reins pour que je puisse rentrer au plus profond d’elle et moi je la prends par les anches pour mieux la contrôler. Je vois ses seins s’écraser contre le mur ce qui m’excite au plus au point. J’accélère mes mouvements et la défonce littéralement. Aucun mot ne sort de sa bouche, seulement des râles, des ’ah.’ Je sens que je vais bientôt venir alors je passe une main entre ses jambes et titille son clitoris et de l’autre main attrape ses cheveux et tire dessus ce qui la fait cambré encore plus, et me permet aussi de venir buter un peu plus sur son col d’utérus. Toutes c’est sensations et se sentiments de dominations m’amène au bord de la jouissance. C’est à ce moment qu’Eva a son second orgasme. Je me retire alors d’elle est lui éjacule sur ses fesses et son dos. Sans se retourner, elle m’embrasse à pleine bouche et me dit : ’ mon salop ce que tu m’as mis. C’était trop bon mais maintenant prend moi le cu j’en ai trop envie. ’N’aillant pas débander, je me suis réintroduit en elle. Eva poussa un ? oh oui ! ? en se mordant la lèvre supérieur, et tout en la liment de toute la longueur de mon sexe, je récolte un peu de mon sperme sur mon pouce, puis posse ma main sur sa fesse et mon doigt sur son petit trou. Je commence doucement à masser son cu et s’entend un peu moins de résistance, y introduit ma première phalange. Les seuls mots qui sorte de la bouche d’Eva sont : ? Oh oui ? ? Que c’est bon ?. Petit à petit mon pouce rentrer en elle, je sentais les mouvements de ma bite dans sa chates mais aussi je me sentais plus à l’étroit. Cette sensation nouvelle pour moi était un vrai délice. Commençant à me fatiguer, je me suis enlevé d’Eva, l’ai pris pas la main et je l’ai emmené sur la vieille table en bois de la salle à manger, elle posa ses fesses sur le rebord, on s’embrassa à pleine bouche et posa mon gland sur son petit oeil brin. ? Doucement, me dit-elle, tu es tellement gros et long, ne me fais pas mal ? Loin de moi l’envie de lui faire du mal. Alors sans bouger, je me mis à lui embrasser ses seins, à lui mordre ses tétons et d’elle-même, en se tortillant sous mes dents et ma langue, je sentais ma bite se caller et s’enfoncer tout doucement dans son anus. Eva, haletant de plus en plus me demanda de la prendre. Alors doucement je commençais à forcer pour la pénétrer. Puis, je fis de tout petit mouvement de vas et viens rapide. Doucement, je rentrais en elle. ? Oh oui... encore... c’est trop bon... Tu m’éclate le cu... Oh doucement... ? M’accompagne dans ma pénétration. Pour moi, cette pénétration était vraiment différente. Je retrouvais la chaleur de son corps mais je sentais que j’étais en train de la perforer. Je n’arrivais pour l’instant à n’y faire pénétrer que mon gland, mais déjà je sentais que ce conduit était vraiment très étroits, ou moi beaucoup trop gros. Au moment, où je bloquais contre ses sphincters. Eva se mordant la lèvre me cria dans un ralle de la prendre d’un coup. Alors, j’ai placé mais main sur ses hanches et pris un peu de recule, puis d’un coup sec, j’ai rentré ma bite dans son cu. Eva cria de douleur mais aussi je l’appris par la suite de plaisir. Je continuai ma progression dans son fondement. C’était merveilleux, j’étais pris dans un étroit fourreau, chaud et tellement serré. De son côté, Eva avais agrippé la table en bois avec ses deux mains. Elle n’avais plus que ses fesses et ses épaules qui touchaient la table, la bouche grande ouverte, et les yeux révulsés. Et une longue plainte sortait de sa bouche a en réveillé tout le quartier. Je venais de donner mon premier orgasme par voie annale. Quand mes couilles toucheraient enfin ses fesses, j’avais l’impression d’avoir embroché ma soeur de part en part. Eva redescendit sur terre quand je commençais à reprendre mes mouvements de piston, je me retirer jusqu’à mon gland puis me réintroduisit de tout ma longueur. ? C’est trop bon, me dit-elle, J’ai-je n’ai jamais été au t’en remplie, tu vas si profond en moi, c’est merveilleux tu sais, je vais encore jouir. ? Et elle joui une nouvelle fois, puis dans la foulé une seconde fois et quand elle hurla son plaisir pour la troisième fois, je me suis enfin déversé en elle, en halant moi aussi mon plaisir. N’en pouvant plus, je me retirais doucement.Nous sommes ensuite prendre une douche, il était plus de 22h et tout le sport mais aussi les puissants orgasmes que nous avons eu nous avait épuisés. Nous nous sommes tous les deux couchés dans le lit d’Eva.— Eva, tu sais que demain, pa et mam rentre. Que vas-t-on faire ? — Pour moi, c’était merveilleux, je n’avais jamais autan jouie avant tu sais. Tu ai un amant merveilleux. Alors, l’on pourra recommencer quand tu en auras envie et que ce sera possible. Mais par contre, sache bien une chose, ce que nous faisons tous les deux c’est simplement de la ? baise ?, ne t’attend pas à de l’amour entre nous à part celui de frère et soeur.— Oui, je sais, je t’aime mais ce n’ai pas le même amour— Tu sais, j’ai des copines qui serai vraiment heureuse d’avoir autan de plaisir que tu viens de me donner. J’ai vraiment envie d’essai des choses avec toi. Et puis, ce serai injuste que mes copines ne profite pas de la bite de cheval que tu as, c’est un vrai fantasme pour certaine fille tu sais.Sur ceux, nous nous sommes blottis dans les bras de l’un et l’autre et avant passé une merveilleuse nuit.

Si la suite vous intéresse, alors dites le moi. J’ai eu le plaisir de connaître intimement plusieurs de ces copines mais aussi, nous avons eu ma soeur, ma mère et mon père des expériences ensemble ou non.

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