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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Famille, je vous aime !

Chapitre 7

Inceste
Chapitre 7 : Un cinq à sept de fille à papa
Toute la famille s’est réunie chez les grands-parents pour fêter leur anniversaire de mariage.
La veille au soir tout le monde s’est retrouvé dans la grande maison des grands-parents Pierre et Juliette.Leur fils Eric avec sa femme Sylvie et eux-mêmes ont dormi au premier étage. Leur fille aînée, Annie ainsi que les enfants d’Eric et Sylvie, Béatrice et Marc, accompagné de sa petite amie Claude, ont, quant à eux, dormi au second étage. La nuit, au premier étage, a été assez mouvementée.Le lendemain matin, Annie a initié ses neveux Marc et Béatrice aux joies du triolisme. L’après-midi, Sylvie et son fils Marc sont partis en voiture à la ville. De leur côté, Eric, Annie, Béatrice et Claude, l’amie de Marc, sont allés se promener dans la campagne avoisinante, en compagnie de Dick, le chien. Ils viennent de rentrer après avoir essuyé un bel orage. (voir les chapitres précédents)

Il est environ 17 heures. Toute la petite famille est rentrée. La maison se remplie d’un énorme brouhaha. Tout le monde parle, personne ne s’entend ! Béatrice est allée directement à la cuisine pour que sa grand’mère lui prépare un goûter.
Marc tient tendrement son amie Claude par la taille. Eric et Sylvie sont assis dans un des canapés, perdus dans leurs rêveries, la tête pleine de leurs aventures de l’après-midi. Le sexe de Sylvie est encore poisseux du sperme de son fils, mais elle décide de ne pas faire, dans l’immédiat, sa toilette intime. Elle en réserve l’exclusivité à la langue de son mari, après qu’elle lui aura raconté son aventure de l’après-midi, avec leur fils Marc ! Elle veut voir la tête qu’il fera, quand il saura qu’elle a sucé et avalé le jus des couilles de son fils après qu’il l’ai enculé comme une chienne ! Toute émue à cette pensée, elle en frissonne encore ! Elle le cherche du regard et lorsqu’elle le voit enlacer sa petite amie Claude, elle se sent frustrée et presque jalouse. Eric, lui aussi, ne cesse de penser à son après-midi et à cette première expérience avec sa ? belle fille ? ! Il sent le désir monter en lui. Ah s’il pouvait prendre la place de son fils et tenir Claude dans ses bras !
Indifférente à leurs états d’âme, Annie s’éclipse discrètement pour rejoindre la bibliothèque. Elle referme sans bruits la porte derrière elle et s’avance vers son père, assis à son bureau. Elle se penche pour voir ce qu’il fait. Ses énormes seins s’écrasent sur les épaules de Pierre. Il ressent la lourdeur et la chaleur de ces mamelles affalées. Elle l’embrasse tendrement dans le cou.
— ? Alors, Papa tu fais quoi ? ?—  ? Pas grand chose, je lis. C’est gentil de venir me voir. Tu sais que tu nous manques beaucoup depuis que tu es partie loin de la maison.— ? Je sais bien, mais je ne peux pas venir vous voir aussi souvent que je le voudrais. Toi aussi, Papa, tu me manques.?
Il fait pivoter son fauteuil et tout naturellement, elle vient se blottir sur ses genoux comme lorsque, petite fille, elle aimait à se faire câliner. Elle a bien changé, tout au moins morphologiquement ! Elle, si gracile à sa puberté ! Son père a maintenant un tas de viande sur les genoux !Néanmoins le contact de ces grosses fesses, sur ses cuisses, ne lui déplait pas. Sa fille est grosse, certes, mais cela l’émeut. C’est tout naturellement qu’il fait glisser sa main sur les mollets, remontant jusqu’aux cuisses, en soulevant la robe au passage. Il aime le grain si fin de cette peau blanche de l’intérieur des cuisses. La chair marbrée de fines veinules bleutées est souple et grasse à souhait, comme il aime. Annie tressaille sous ces caresses. Lui a une envie folle d’y mordre à pleines dents, comme dans la pulpe d’un fruit juteux !
— ? Mon Dieu, ce n’est plus la petite fille d’autrefois ! Tu n’es pas comme ta mère, tu as pris du poids, tu me ressembles ! ?— ? Oui, j?ai grossi, je sais. Mes amants me traitent souvent de grosse vache ou même de grosse truie ! Mais au fond, je sais qu’ils adorent, et j’aime bien me sentir avilie ! Je dois être un peu détraquée ! ?
Annie se blottit contre lui et dépose un baiser sur les lèvres de son père. Elle s’abandonne lascive, jambes écartées, comme une invite à l’exploration de son sexe. Son père pose sa main entre ses cuisses ; elle ne porte pas de culotte ! Il touche l’énorme vulve qu’il branle doucement, écartant les lèvres pour aller titiller le clitoris, enfouit dans cet amas de chair. Ces cuisses charnues, ce ventre relâché, cette cascade de bourrelets retombant sur le bas-ventre, ces mollets, plus gros que ses propres bras : un gros tas de viande ! Voilà ce qu’elle est ! Il fouille le vagin trempé et dilaté. S’il savait que c’est dans le sperme de Dick, son chien, que ses doigts barbotent...
— ? Te voir là, sur mes genoux, me rajeunit de vingt ans. Putain, qu’est-ce que j?ai pu l’aimer ton petit cul, alors ! Et tu me fais toujours le même effet : j’ai le gourdin ! Tu sais, avec ta mère, on fait l’amour, un peu moins souvent, bien qu’elle devienne encore plus vicelarde en vieillissant. Elle m’étonnera toujours ! Tiens, pas plus tard qu’hier soir...— ? Papa, continue de me toucher. Vas-y, fais du bien à ta petite fille, fourre moi un doigt de plus dans la chatte. Branle moi ! Attends, je vais m’installer sur le bureau, ce sera plus facile pour me tripoter. Et puis tu seras plus à l’aise pour me bouffer le cul, j’en crève d’envie ! Déshabille-toi pendant que je fais de la place sur le bureau. Ta fille est une vicieuse, elle veut voir et toucher la bite et les grosses couilles de son papa chéri !— ? Tu te souviens, ma chérie, c’est cette queue qui t’a prise pour la première fois. Mon Dieu, que c’est déjà loin ! Tu étais insatiable ! Il fallait que je te baise tous les jours ! Et encore, tu en redemandais ! ?
Les souvenirs de cette défloration remontent à la surface, magnifiés par le recul du temps.
— ? Oui Papa, je me souviens. C’est toi qui m’as tout appris. Je voulais être ta petite femme. Tu te rappelles, c’est quand j’ai eu mes premières règles ! Nous n’étions que tous les deux à la maison, maman était partie chez ses parents. Je ne savais pas comment te dire ce qui m’arrivait.— ? Oui, je sais, et quand tu m’as montré le sang qui coulait sur le haut de tes cuisses, je t’ai expliqué c’était normal à ton âge. Tout se bousculait dans ma tête, je ne voyais plus ma petite fille mais une femme qui exposait son sexe !— ? C’est vrai et je me revois, dans la salle de bain, assise sur le bidet, volontairement impudique, cuisses ouvertes, alors que tu me lavais délicatement la chatte. C’est quand je me suis relevée, pour me sécher que j’ai vu la bosse dans ton pantalon. Tu triquais ! Quand je t’en ai fait la remarque, tu étais gêné et c’est moi qui ai pris ta main pour que tu poursuives ta caresse au bas de mon ventre. ?— ? Tout s’est enchaîné très vite, et, quand j’ai posé ma bouche sur ta vulve, tu t’es abandonnée sans réticence. J’étais à genoux, et tu tendais ton ventre pour que je te lèche ! Je perdais tout contrôle, toute retenue, devant le caractère incestueux de la situation !— ? Arrête, Papa, rien que d’y penser, je suis toute mouillée ! Tu m’as fait l’amour toute la nuit ! Putain que ta queue était bonne dans mon ventre ! ?— ? Oui, je me souviens, nous sommes allés dans ta chambre et c’est toi, petite salope, qui m’a déshabillé. Je me suis allongé sur le lit, la trique en l’air et tu es venue t’asseoir sur moi. Tu es descendue tout doucement sur ma queue et tu as frotté ton sexe longuement sur mon gland. ?— ? Tu bandais rien que pour moi, Papa, et j’étais fière de te faire autant d’effet ! Lorsque je me suis empalée, j’ai ressenti comme une brûlure mais très vite une sensation nouvelle m’a envahit. Mon ventre était plein de ta tige chaude et dure. Je me suis laissée aller et le plaisir est monté très lentement. J’ai très vite mouillé comme une chienne, ça coulait sur ta queue ! ?— ? T’étais déjà une petite professionnelle ! Ton vagin coulissait le long de ma bite, ton petit cul s’écrasait sur mes couilles. Et cette façon de me fixer dans les yeux ! Un regard vicieux de petite fille consciente de commettre quelque chose de sale ! Je me retenais pour que tu atteignes ton plaisir et lorsque j’ai senti ton vagin se contracter et se resserrer, je t’ai agrippé par les fesses et je me suis vidé entièrement, comme une bête, dans ton ventre. C’était ta première giclée de sperme ! ?— ? C’est vrai, j’étais sur un nuage, jamais je n’avais été aussi bien, ton foutre chaud au fond de mon ventre ! J’aurais voulu que ça ne finisse jamais ! ?—  ? Et toi, petite sale, lorsque je me suis retiré, tu as pris dans ta main ma bite rougie de ton sang ! Lorsque je t’ai demandé de la sucer, tu n’as manifesté aucune résistance ou dégoût, tu l’as avalée et caressée amoureusement. Déjà, rien ne te dégoûtait ! Tu as toujours aimé ce qui était sale ! ?— ? Oui c’est vrai Papa, j’aime la débauche. Puis, pris par la fatigue nous nous sommes assoupis. J’ai gardé ta queue dans la bouche comme une sucette ! ?— ? Que tu étais belle ! Quand j’ai voulu me dégager, tu t’es réveillée et tu as voulu recommencer !— ? Oui, Papa, je me souviens. Tu t’es couché sur moi, tu m’as fourré à nouveau ta queue dans la bouche pour que je te fasse rebander. C’est alors que tu m’as dit que tu allais me faire découvrir encore autre chose ! Tu m’as bouffé le cul avec ta langue et tu as commencé à me forcer le petit trou ! ?— ? Tu ne voulais pas trop car tu avais peur d’avoir mal mais ça te plaisait car tu trouvais sale que je te fourre la langue dans le cul ! Tu as vite cédé. Tu t’écartais même les fesses pour qu’elle y pénètre plus profondément !— ? Quand ton gland a forcé mon anus j’ai bien cru défaillir sous la douleur ! Ca me brûlait et j’ai crié ! Heureusement qu’il n’y avait personne ! ?— ? Tu t’y es vite faite à la bite dans le cul ! Je me souviens t’avoir limé le fion, sale petite dévergondée et quand je me suis lâché dans tes reins, tu as joui comme une folle. Tu vibrais de partout, Puis tu t’es affalée sur le ventre, comme une femelle repue et pleine ! ?— ? Oui, on s?est encore une fois endormis et ce n’est que le lendemain matin qu’on s’est aperçu des dégâts ! Les draps étaient pleins de sang ! Nous avons été obligés de faire une lessive ! Enfin ça ne risque pas d’arriver aujourd’hui ! Vas-y, prends-moi vite, j’ai le feu au cul !
L’évocation de ces souvenirs a exacerbé leurs sens. Annie se redresse et déboutonne rapidement sa robe, libérant ses deux énormes mamelles. Elle se renverse sur le bureau, les talons en appui sur le bord, exposant ses cuisses ouvertes comme un quartier de boeuf sur un étal de boucherie.Son père est fasciné par autant de viande et de gras ! Le pubis recouvert par les bourrelets, la chatte énorme et béante sous son nez, encadrée par les cuisses pleines et flasques. La vue de cette grosse truie avachie déclenche des soubresauts à sa queue. Il triquait. Entièrement nu maintenant, il se tripote frénétiquement la bite et les couilles, les yeux fixés sur sa fille qui s’offre, impudique. Ils partagent le même moment de bonheur intense, conscients de son caractère incestueux. Ils savent qu’ils vont encore commettre l’interdit. Le savoir est presque meilleur que le faire ! Leur perversité est sans borne. Se vautrer dans le stupre, voilà ce qui les excite ! Il faut que ce soit sale ! Il bande comme un malade. N’y tenant plus, il fourre sa tète dans cet amas de chair. Sa langue avide fouille tous les replis, titille le clitoris turgescent, glisse le long de la raie pour tarauder l’anneau boursouflé de l?anus. Les poils, imprégnés, autant par sa salive que par les sécrétions odorantes qui suintent du rectum, collent à la peau, à l’intérieur des fesses. La forte odeur qui se dégage lui envahit les narines.
— ? Je suis devenue une grosse vache, Hein ? Dis-moi que tu aimes ! Imagine que tu fais l’amour avec une bête. Oui, c’est ça, soit bestial ! Allez pourlèche partout, gros cochon et n’ai pas peur de me fouiller le ventre. Tu peux y entrer toute ta main, si tu veux. Oui, c’est ça, défonce-moi avec ta main. Fourre la jusqu’au fond !— ? Petite salope, t’es pire que ta mère ! En plus, tu pues du cul !! ? — ? Oui, dis-moi des obscénités, j’adore ça ! ?
Il fait pénétrer sans difficulté trois puis quatre doigts, roulant le clitoris avec le pouce, puis toute la main. Annie est trempée, elle ruisselle de partout. Sa grosse moule poilue sent fort, encore imprégnée de l’odeur du chien qui l’avait saillie au cours de l’après-midi. Son père la branle violemment. Annie jouit : ce poing dans son ventre, qui la secoue, lui procure un plaisir intense. Son père ressort son poing de ce cloaque, se penche et lèche avec délectation le vagin béant de sa fille. Il frotte son nez dans la fente, humant la très forte odeur de femelle en chaleur. Qu’elle sent bon, sa petite fille ! Il relève son visage, luisant de sécrétions, et la contemple. Les yeux dans le vague. Elle lui sourit, reconnaissante. Son ventre tressaute à chaque orgasme.
— ? Tu prends ton pied, petite cochonne ? ?— ? T’arrête pas, continue, défonce-moi de partout ! ?—  ? T’as pas changé ! Toujours aussi pute ! ?
Elle ne répond pas, tétanisée par l’orgasme. Il s’attaque maintenant à l’anus. Ses doigts glissent dans la raie et distendent, sans ménagement, la rondelle déjà bien relâchée !
— ? C’est ma main que je vais enfoncer dans ton gros cul, ma salope. Faut pas faire de jaloux, je vais te défoncer le fion, comme si tu prenais une bite de cheval. Je vais te faire jouir, petite salope, tu vas voir ! ?—  ? Oh Oui ! Je suis ta femelle soumise. Bourre-moi le cul. Tu sais, je ne me suis pas lavée, ça risque de sentir !—  ? Et alors ? Tu crois que c’est ça qui va me retenir ? J’ai bien senti que tu puais du cul ! Ca m’excite encore plus. Putain tu me fais bander ! Tu vois, petite sale, tu fais triquer ton père ! ?
Avec l’index de chaque main, il distend la rondelle en tirant au maximum sur le sphincter. Annie ne peut s’empêcher de crier sous la douleur. C’est comme s’il la déchirait. L’anus dilaté s’ouvre sur le gouffre rectal. Une caverne ! La main entière puis le poing disparurent à l’intérieur : un récipient dans lequel il touille ! C’est monstrueux. On entend le clapotis obscène des muqueuses baignées de jus. Sa main dans le cul distend le vagin. Il y fait pénétrer son autre main sans trop de mal. Il la fiste de ses deux poings !Annie est au bord de l’évanouissement. Elle ne sait plus distinguer la douleur du plaisir. Elle est remplie !Son père debout, sent battre sa queue raide contre son ventre. Ses deux poings pistonnent sa fille comme un forcené. Bourrée et branlée comme elle ne l’a jamais été, Annie hurle son plaisir. Une femelle en chaleur qui rugit et beugle sous les assauts !- ? Tais-toi, salope, tu vas ameuter tout le monde ! Fais toi mettre en silence, sale truie ! Oh putain, tes mamelles qui pendent ! Tire sur les bouts, fais les ballotter, allez ! Tu sais ce que je voudrais, c’est te voir te faire saillir par un animal, un vrai, je sais pas, un chien ou mieux encore, un cheval !— ? Oh Papa, continue de dire des saletés ! Tu m’excites ! Pourquoi pas avec un chien, pour te faire plaisir.— ? C’est bien, tu es une fille obéissante ! Mais alors, en présence de ta mère. Tu crois qu’elle accepterait ?
Annie jouit sous les insanités, les obscénités que proférait son père, en plein délire, elle pensait à son après midi avec Dick, le chien ! Si son père savait...
Il ressort ses deux mains gluantes qu’il lui fit lécher. Sa vulve et son anus ne sont que deux énormes trous béants. Il ne peut se retenir d’y fourrer son nez tandis qu’elle prend en bouche la queue paternelle et la pompe. Son excitation est telle qu’i l crache presque immédiatement une longue et épaisse giclée de foutre sur son visage. Annie contemple le gland gonflé et rouge d’où gicle ce sperme chaud et gluant qui emplit sa figure. Elle embrasse alors son père à pleine bouche, dans un mélange de salive et de foutre paternel.
— ? Putain, ma fille, t’es vraiment une pute. Mais une petite pute que son Papa adore! ?— ? Mieux que maman ? ?— ? C’est pas pareil ! Je vous baiserai bien toutes les deux ensemble ! Tu te rappelles, lorsqu’elle a su que nous avions fait l’amour pendant son absence ! Ce n’était pas le caractère incestueux qui l’avait choqué, mais le fait de ne pas avoir participé à ton dépucelage ! Elle était folle de jalousie ! ?— ? Oui, pour la calmer, il a fallu que tu la baises devant moi ! Putain ! La nuit que nous avons passé tous les trois ! Elle était déchaînée ! ?
Son père ne répond pas, il enfouit sa tête au creux du bas-ventre de sa fille, au milieu de toute cette viande étalée, pour s’enivrer, une dernière fois, de la forte odeur qui monte du cul de sa fille.— ? Putain, que tu sens bon ! ?— ? T’en veux encore ? Tu pourrais m’enculer si tu veux, j’en crève d’envie ! ?— ? C’est pas l’envie qui me manque mais je n’ai plus vingt ans et il faut me laisser le temps de recharger ! Viens, soyons raisonnables et allons rejoindre les autres !
Ils se rhabillent et retournent au salon. La famille est là, au complet, prête à fêter dignement l’anniversaire des grands-parents.
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