Depuis que Rita Skeeter l’avait diffamée en affirmant dans la Gazette du Sorcier qu’elle courait après les sorciers célèbres, les deux derniers en date étant Viktor Krum et Harry Potter, Hermione Granger souhaitait ardemment rendre la monnaie de sa pièce à la journaliste. La jeune sorcière en avait déjà parlé à Harry qui lui avait tout de suite proposé son aide car lui aussi avait été calomnié par Rita Skeeter qui disait de lui que ses deux reflétaient les fantômes du passé.
Ron lui en voulant encore pour le Tournoi des Trois Sorciers, Harry avait demandé à Hermione de ne pas lui en parler. La jeune sorcière avait accepté sans hésiter, affirmant que leur ami était trop stupide pour comprendre.
Les deux Gryffondor décidèrent de sauter le petit-déjeuner afin de mettre leur plan au point. Avant qu’ils n’entrent chacun dans leur dortoirs respectifs, Harry donna à Hermione l’un des deux miroirs que Sirius lui avait donné en lui disant qu’il la contacterait par ce biais lorsque tous ses condisciples seraient partis manger.
Plus tard, le moment que Harry attendait avec impatience arriva. Comme il l’avait dit à Hermione, il regarda son miroir et y vit le visage de son amie. Les deux sorciers se retrouvèrent dans la salle commune et discutèrent rapidement de leur stratagème. Sachant que Rita Skeeter devait aller interviewer Fleur Delacour qui logeait dans la salle commune de Serdaigle, Hermione proposa à Harry d’attendre que la journaliste sorte de la salle commune pour la prendre par surprise. Le jeune sorcier eut une mine dubitative.
— Tu sais bien qu’elle est toujours flanquée de son équipe de photographes et de reporters. Comment tu veux la surprendre ?— J’y ai pensé. On n’aura qu’à les pétrifier lorsqu’ils sortiront. Lorsqu’ils seront pétrifiés, tu jetteras ta cape d’invisibilité sur eux et on s’occupe de Rita Skeeter. — Très bien, je marche.
Hermione consulta sa montre à gousset.
— Dépêchons-nous. L’interview de Fleur va commencer.
Les deux Gryffondor coururent jusqu’à la salle commune de Serdaigle et attendirent patiemment dans le noir que Rita Skeeter pointe le bout de son nez. Harry et Hermione n’eurent pas à patienter longtemps : un quart d’heure plus tard, ils virent la journaliste sortir de la salle commune, accompagnée de deux photographes.
— Petreficus totalus !
Un rai de lumière violette toucha l’un des photographes en pleine tête. L’homme tomba lourdement sur le sol. Avant qu’ils ne puissent comprendre ce qu’il se passait, Rita Skeeter et l’autre photographe furent à leur tour frappés d’un rai de lumière violette.
Comme ils l’avaient convenu, Harry jeta sa cape d’invisibilité sur les deux photographes et les deux sorciers emmenèrent la journaliste.
— Tu as pensé où on pourrait faire ça, Hermione ?— Evidemment. Tu peux toujours ouvrir la Chambre des Secrets ?— Bien sûr.
Sans s’échanger le moindre mot, Harry et Hermione parvinrent devant l’entrée de la chambre. Harry l’ouvrit en lui parlant en Fourchelang et les deux Gryffondor emportèrent le corps de la journaliste toujours inconsciente.
Lorsqu’ils l’eurent allongée sur le sol, Hermione sortit un foulard de la poche de sa robe et le passa sur les yeux de Rita Skeeter. Sans se gêner le moins du monde, la jeune sorcière commença à se déshabiller.
— Mais qu’est-ce que tu fais, Hermione ?!— Tu ne veux quand même passer à côté de la formidable occasion de te vider les bourses sur cette garce ?
Séduit par l’argument de son amie, Harry l’imita sans discuter, arborant une verge longue et dure qu’Hermione jaugea avec un sourire ravi.
— Passons aux choses sérieuses.
D’un mouvement de baguette circulaire, Hermione déshabilla Rita Skeeter qui revenait peu à peu à elle. Craignant que la journaliste ne parvienne à les identifier en ôtant le foulard, la jeune sorcière lui lia les poignets avec des cordes qu’elle fit apparaître par magie.
— Maintenant, on peut commencer. Oppugno !
Une ribambelle de petits oiseaux apparut en virevoltant autour d’Hermione. Aussitôt, la jeune sorcière les transforma en phallus aussi longs qu’épais et les envoya combler les orifices de Rita Skeeter qui poussa un cri de surprise et de peur.
Pendant que la journaliste essayait de se dérober aux assauts de ses nombreux partenaires, Harry et Hermione regardaient le spectacle en riant. Les deux sorciers laissèrent durer le plaisir durant quelques minutes puis Hermione fit exploser ses oiseaux-verges dans une mare de sperme qui recouvrit tout le corps de Rita Skeeter.
— À nous de profiter, maintenant.
Hermione se dirigea d’un pas décidé vers sa victime et s’assit sur son visage.
— Lèche-moi bien le cul, petite garce.
Harry fut à la fois surpris et excité d’entendre son amie parler aussi crûment. Le moment de surprise passé, il rejoignit les deux femmes. Arrivé aux pieds de la journaliste, le jeune sorcier s’agenouilla et enfonça d’une seule poussée son engin dans le petit orifice de Rita Skeeter qui hurla de douleur.
Plus excité par les insultes qu’Hermione proférait à l’encontre de la journaliste qu’attendri par les hurlements de douleur de cette dernière, Harry la pilonnait sans relâche à un rythme effréné.
Tandis qu’il s’amusait à alterner ses pénétrations entre l’anus et le sexe de Rita Skeeter, Harry sentit la jouissance le gagner et en informa de suite Hermione, pensant que celle-ci pouvait avoir une idée de la façon d’utiliser sa semence de manière optimale. Il constata avec plaisir qu’il ne s’était pas trompé.
— Ejacule dans ma bouche.
Sans se faire prier, Harry se vida les bourses dans la bouche offerte de son amie qui recracha aussitôt son sperme sur le visage de Rita Skeeter.
Satisfaite du résultat de son action, Hermione se releva et lança un nouveau sort qui pétrifia la journaliste.
— Il faut qu’on la remette là où on l’a prise.
Les deux jeunes sorciers se rhabillèrent et prirent soin de rhabiller Rita Skeeter afin de lui compliquer la tâche de raconter le rapport violent qu’elle venait d’avoir. Harry et Hermione ramenèrent la journaliste auprès des deux photographes toujours inconscients et Harry récupéra sa cape d’invisibilité.
Heureux d’avoir pris leur revanche sur Rita Skeeter, Harry et Hermione regagnèrent leur salle commune en espérant sincèrement que ce qu’ils venaient de faire à la journaliste la dissuade une bonne fois pour toutes d’écrire des articles diffamatoires sur qui que ce soit.
