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Fanny

Chapitre 1

Erotique
Mon copain Patrick passait le week-end seul chez nous en été, et on regardait tranquillement la télé tard le soir, avachis en bons mâles que nous sommes… Remarquant l’absence de ma femme, je me lève et par curiosité pars à sa recherche. J’arrive devant notre chambre, entrouvre la porte, et je la vois endormie. Malgré la pénombre, je sais que par cette chaleur elle est nue sous le léger drap qui la couvre à peine… Je retourne dans le salon et fais signe à Patrick de me suivre sans faire de bruit. J’ouvre doucement la porte de la chambre et je m’agenouille à coté du lit, Patrick en faisant autant à coté de moi, amusé par la situation et le spectacle qu’il devine… Je tire lentement sur le drap et découvre petit à petit le corps de Fanny, étendue sur le dos, la jambe gauche repliée et ouverte. Je la surveille du coin de l’œil et m’arrange pour me trouver entre elle et Patrick afin de le cacher au cas où elle ouvrirait les yeux… J’aperçois le visage radieux de mon copain, ravi de l’aubaine. Je remarque aussi à la bosse dans son bermuda qu’il apprécie la situation !Je prends sa main gauche et la pose lentement sur le sein de Fanny, effleurant à peine la peau. Je lui fais faire des cercles légers autour du mamelon qui ne tarde pas à pointer pour manifester son plaisir. Je lui fais presser toujours avec douceur le sein objet de notre attention, puis lui pose la main sur l’autre sein et lui fais faire les mêmes caresses. Le second téton pointe à son tour… La vue de ces deux bouts en érection est très excitante et ce n’est pas l’envie qui me manque de les prendre dans la bouche et de les sucer ! (et Patrick est sûrement dans le même cas que moi…). Je fais glisser lentement sa main vers le nombril et continue l’exploration vers le pubis. Nous commençons à sentir le début de sa toison bouclée et soigneusement taillée sous nos doigts… Je lui fais parcourir quelques cercles parmi ces boucles délicieuses et comme je ne constate aucune réaction de la part de la chatte que nous caressons, je m’enhardis et poursuis doucement la descente vers l’entrecuisse, avec toujours la main de Patrick entre la mienne et le corps de la belle endormie… Je le fais jouer avec douceur avec les grandes lèvres et les lui fais parcourir avec ses doigts obéissants et aveugles. Au bout de quelques instants de ce manège, nous nous apercevons que le taux d’humidité locale a fortement augmenté ! Je constate également que sa cuisse repliée semble plus écartée que tout à l’heure, signe que nos caresses portent leur fruit et que la chatte, maintenant entr’ouverte, attend de nous des caresses plus précises et plus intimes… Je m’empare du majeur de mon copain et le fais glisser de haut en bas entre les lèvres, le fais doucement jouer avec le clitoris, puis le présente à l’entrée du vagin… Je n’ai pas besoin d’insister beaucoup pour le sentir s’enfoncer, comme aspiré à l’intérieur de la chatte trempée !Je lâche sa main et le laisse explorer à sa guise l’intérieur de la chatte de Fanny, moi ravi du spectacle, et lui de sa chance inespérée… Après quelques minutes à ce rythme, je devine les hanches de Fanny qui ondulent très légèrement, preuve que les caresses intimes que lui prodigue Patrick ne la laissent pas indifférente… La belle bouge sa main et la déplace vers nous. Je me suis écarté pour admirer le spectacle et c’est donc le bermuda de Patrick qu’elle rencontre sur sa route (pensant sans doute que c’est le mien !) Elle palpe la bosse, la pince doucement, soupèse les bourses remplies et joue un peu avec, puis tire sur le bermuda et parvient à le baisser suffisamment pour faire dépasser une bonne partie de la queue de Patrick… Elle la caresse du bout des doigts, effectuant de légers et lents aller-retours… Patrick de son coté continue son exploration du vagin en fusion, et le tableau de mon copain et ma femme se caressant mutuellement m’excite énormément. Patrick se penche entre les cuisses de Fanny et entreprend de l’explorer avec sa langue. Il la lèche avec précaution, faisant le tour de la fente, puis introduit délicatement la pointe de sa langue dans l’orifice en fusion et essaie de l’enfoncer le plus profondément possible afin de profiter au maximum du nectar de la belle… Cette caresse intime lui arrache un soupir de plaisir suivi d’un « oui… » Patrick joue a retirer sa langue puis la passer à nouveau sur les lèvres. D’abord les petites, puis les grandes, et enfin il s’attarde sur le clitoris, qu’il se met à sucer avec délectation. Les reins de Fanny ondulent de manière désordonnées tandis qu’elle continue d’émettre des soupirs et des « oui… » de moins en moins discrets. A chaque fois qu’il enlève sa langue pour reprendre sa respiration et admirer le fruit de son travail, elle émet un léger cri de frustration de se sentir « abandonnée » et je peux apercevoir furtivement des reflets à l’intérieur de sa chatte , preuve s’il le fallait qu’elle était complètement trempée d’excitation.Soudain elle arrête et se retourne en chien de fusil, la croupe tendue vers Patrick, mais sans pour autant lui avoir lâché la queue qu’elle continue à agacer. Il replonge à nouveau ses doigts entre les fesses de Fanny et la fouille activement, méthodiquement. Maintenant il a profité de la position cambrée de la belle pour glisser non plus un mais deux doigts, sans rencontrer la moindre résistance devant tant de hardiesse… De temps en temps il enlève ses doigts et joue avec les lèvres puis le clitoris avant de les replonger à l’intérieur, bien au chaud, ce qui provoque à chaque fois un discret soupir de satisfaction de la part de la femelle qui offre son intimité à celui qu’elle croit être son mari. Il profite d’un instant de répit pour saisir sa queue, tendue à l’extrême et la présenter à l’entrée de l’orifice désormais abondamment lubrifié… Il en frotte le bout sur les lèvres et appuie doucement. Le gland s’enfonce, puis après un temps d’arrêt, disparaît tout entier, comme avalé entre les cuisses de Fanny ! Je le laisse s’immiscer seul dans l’intimité de ma femme… Elle reprend alors ses soupirs qui semblent appeler une pénétration plus profonde. Il est immobile, enfoncé jusqu’à la garde et savoure un instant son bonheur. Elle déclenche les hostilités en accélérant ses ondulations, plus marquées et plus rapides que tout à l’heure. Il répond en donnant à son tour des coups de reins lents et réguliers, se maitrisant parfaitement. Il prend son temps et ne veut pas gâcher son plaisir, il domine la situation. Il a une main posée sur la cuisse de sa maitresse d’un soir, et l’autre sur un sein qu’il malaxe avec avidité. Petit à petit les coups de boutoir se font plus rapides, Fanny laisse parfois échapper des gémissements qui trahissent la montée du plaisir. Elle doit se retenir de gémir trop fort car elle pense à Patrick qui doit dormir dans sa chambre et ne veut pas éveiller ses soupçons… Elle est loin de se douter que c’est lui qui est en train de la ramoner et qui s’apprête la faire jouir ! Elle ne se retient plus et maintenant, à chaque fois que Patrick enfonce sa queue et qu’elle sent ses bourses battre contre ses fesses, elle pousse un petit cri. Il s’emballe à son tour, son pieu s’enfonce rapidement, à chaque fois qu’il le recule je vois qu’il est luisant de la mouille de Fanny, et la chatte émet des bruits qui indiquent clairement son état… Maintenant les mouvements de Patrick sont saccadés et il reste à chaque fois un peu plus longtemps plongé au fond de la chatte, je devine qu’il est en train de se vider longuement à l’intérieur car les « ouiiii » de Fanny semblent accompagner chaque giclée du liquide brulant… Il finit par ne plus bouger et rester collé contre elle, la gardant solidement emmanchée, à sa merci. Il reste un bon moment ainsi puis se retire à regret, laissant une coulée de sperme s’échapper de la chatte rassasiée, comme preuve de leur jouissance mutuelle. Elle s’essuie avec sa culotte qui trainait par là et se retourne à plat ventre pour s’endormir, pendant que lui s’éloigne discrètement vers sa chambre après m’avoir remercié d’un clin d’œil complice…Le lendemain matin il nous rejoint pour le petit déjeuner et Fanny, en chemise de nuit ultra courte, lui dit en souriant et en le regardant droit dans les yeux « Bonjour Patrick, tu as bien dormi ? ».Il répond qu’il a passé une super nuit et fait de très beaux rêves, ce que semble confirmer une très discrète bosse dans son short…Fanny sourit et répond qu’elle aussi a passé une très bonne nuit, tout en me faisant un clin d’œil, et là je m’interroge : me fait-elle ce clin d’œil en souvenir de la nuit qu’elle croit avoir passé avec moi, ou bien avait elle deviné depuis le début que les doigts et la queue qui avaient honoré son corps étaient ceux de mon copain et non les miens ? Bizarre…Nous passons la journée tranquilles, sans plus évoquer la nuit précédente (pour autant je ne pensais qu’a ça et les autres aussi sans doute !), et le soir venu elle retourna se coucher avant nous, comme la veille. Je me dis que c’était louche, et je décidais de retourner voir discrètement dans la chambre. Elle était à nouveau dans la même position que la veille, nue sur le dos, une jambe repliée, et le drap baissé laissant deviner le haut de sa toison soigneusement taillée… Je retourne chercher Patrick et lui montre la scène, il me fait un clin d’œil de connivence et je comprends qu’il est partant pour remettre ca comme hier… Nous approchons doucement et nous agenouillons devant la belle « endormie ». Je descends complètement le drap et lui fais signe d’en profiter. Il ne se fait pas prier et tend la main vers le corps offert de Fanny. Il parcourt les seins, à nouveau s’amuse à les faire pointer, puis descend vers le ventre et la chatte qui attend son dû. Il joue avec la toison, glisse ses doigts dans les belles boucles brunes, puis continue sa descente vers le sexe humide de ma femme. Il caresse avec précaution les lèvres entrouvertes et, encouragé par l’absence de réaction, tente d’introduire un doigt inquisiteur dans l’orifice échauffé par ces préliminaires. J’observe le manège et remarque que Fanny n’a pas perdu de temps et a déjà plongé sa main dans le bermuda de Patrick, comme par inadvertance… Deux soirs de suite la même scène, je trouve ça de plus en plus étrange… Après s’être laissée longuement et profondément doigter, elle se retourne à nouveau pour présenter sa croupe à Patrick, espérant être honorée comme hier soir. Il ne se démonte pas et profite de l’aubaine, baisse complètement son bermuda pour dégager sa queue au bord de l’explosion, et enfile Fanny en douceur. La pénétration se passe facilement car la chatte est trempée et attend ce moment depuis longtemps… Il la ramone avec régularité et prend son rythme de croisière, pendant qu’elle ondule son bassin et laisse échapper par moment des soupirs qui ne trompent pas… Il joue avec elle et par moments sort complètement sa queue et la laisse immobile à l’entrée de la chatte béante, ce qui force Fanny à reculer ses hanches pour se faire pénétrer à nouveau, à d’autres moments il reste enfoncé sans bouger et attend qu’elle ondule ses reins… Je suis sûr qu’elle fait semblant de dormir et décide la prendre à son propre piège : pendant que Patrick la bourre tranquillement, je dépose sur l’anus de Fanny une noix la crème Nivéa qui traîne sur la table de nuit… Je joue avec sa rondelle, puis j’introduis un doigt dans l’anus, j’entre et sors sans relâche mon doigt de son orifice afin de le préparer à la suite que j’imagine… Une fois que j’estime son anus suffisamment assoupli, je fais signe à Patrick de changer de crèmerie et lui indique la nouvelle route à prendre… Il comprend immédiatement où je veux en venir et se retire de la fente de Fanny, présente son gland à l’entrée de la grotte et pousse fermement. Elle résiste mais comme elle était censée dormir, elle ne peut pas protester sans avouer qu’elle était réveillée depuis longtemps et qu’elle s’était laissée enfiler par Patrick en toute connaissance de cause… Il insiste et au bout de quelques minutes il a déjà introduit une bonne partie de son gland. Elle finit par céder malgré elle et pousse un petit cri (étouffé car elle se mord les lèvres…) au moment où Patrick réussit à introduire son gland en entier dans l’anus de Fanny… Elle est coincée et sait déjà comment ca va finir ! Elle est prise à son propre piège ! Patrick continue de pousser lentement mais fermement, et réussit à introduire la queue toute entière dans le cul de ma femme, jusqu’à ce que ses couilles touchent les fesses tant convoitées… Il reste ainsi et savoure sa victoire sans bouger et en arborant un large sourire de vainqueur ! Elle donne le coup d’envoi en bougeant les hanches et il se met à bouger au même rythme qu’elle, il va lui donner ce qu’elle mérite ! Elle respire de plus en plus fort et je sens qu’elle ne va pas faire trainer les choses. Patrick aussi semble prêt à exploser, sa queue semble encore plus énorme que tout à l’heure ! Je les vois accélérer d’un seul coup et étouffer difficilement des gémissements de plaisir, elle jouit pendant qu’il se vide dans son cul… Patrick reste planté dans l’anus de ma femme et attend patiemment qu’elle relâche sa queue, laissant échapper par la même occasion le trop plein de sperme, car il a mis la dose ! Pendant qu’il se retire dans sa chambre et qu’elle s’endort épuisée, je me demande si elle osera encore le provoquer et lui demander au petit déjeuner s’il a bien dormi…
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