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Fanny en week-end à Paris

Chapitre 1

Divers
Au bout d’une quinzaine de jour, Pierre me rappelle et me dit qu’il n’arrête pas de repenser au week-end passé chez nous et qu’il a trop envie de Fanny. Il me demande si je serais d’accord pour lui prêter pour le week-end. Surpris et amusé par la proposition j’accepte, mais à la condition qu’il me raconte tout et fasse des films ou des photos…J’explique à Fanny que le l’envoie en avion passer le week-end chez Pierre, elle me demande des explications, tente de refuser, mais je ne lui laisse pas le choix. Je la laisse à l’aéroport de Bordeaux Mérignac, à la porte d’embarquement, elle disparait dans le sas de sécurité.Elle embarque dans l’A320 du vendredi soir et s’installe prés du hublot. Un homme s’assoit sur le siège à coté du sien, elle le trouve plutôt pas mal et distingué, sans doute un homme d’affaire qui rentre sur Paris. Après le décollage, la lumière baisse dans la cabine et les passagers peuvent se reposer un peu avant la procédure d’atterrissage à Orly, qui aura lieu dans une quarantaine de minutes. Elle n’arrive pas à dormir, elle ne cesse de penser à ce que Pierre lui avait fait quinze jours avant et à ce qu’elle avait dû promettre pendant qu’elle avait perdu le contrôle d’elle-même… Et qu’allait-il encore lui faire durant ce week-end chez lui à Paris ? Soudain elle sursaute : son voisin à posé la main sur le genou de Fanny et remonte tranquillement vers sa cuisse ! En plus il eu le culot de remonter l’accoudoir qui les séparait… Elle n’ose pas faire de scandale de peur de se faire remarquer par les autres passagers et choisit de faire semblant de dormir… l’homme s’enhardit et caresse sa cuisse avec douceur, sa main est chaude. Fanny rajuste la couverture légère afin de cacher ses jambes et ce qui s’y passe au cas où une hôtesse passerait dans le couloir… la main continue sa montée et passe maintenant sous la jupe. Fanny écarte légèrement la jambe droite pour être plus à l’aise et la main comprend que la voie est libre. Des doigts curieux parcourent maintenant la couture de sa culotte, à la recherche d’un passage pour s’y glisser. Ils y parviennent facilement et se promènent maintenant sur les bords sa toison puis caressent ses grandes lèvres. Elle est de plus en plus excitée par la situation et sa chatte est trempée, les doigts le sentent et caressent maintenant son clitoris puis ses petites lèvres. Les doigts sont maintenant à l’entrée de son vagin, l’un d’eux entre et fouille son intimité humide… il fait des allers retour lents et parcourt chaque recoin de la chatte de plus en plus brulante. Ses hanches commencent à onduler discrètement pour encourager les doigts de l’inconnu. D’ailleurs un second doigt vient de se joindre au premier et lui écarte les lèvres, les deux compères entrent et sortent comme chez eux, Fanny se mord les lèvres et tourne la tête vers le hublot pour que l’homme ne le voit pas prendre du plaisir. Il ne la voit pas mais ses doigts sentent qu’ils sont sur la bonne voie et que la femelle va jouir dans peu de temps… Elle se cambre et laisse échapper un soupir discret, elle espère que personne d’autre que son voisin ne l’a entendue… Elle ne sent plus son corps, uniquement des picotements dans son ventre, et sa chatte qui trempée qui coule sur les doigts violeurs… elle voudrait que le temps s’arrête et rester ainsi le plus longtemps possible, caressée par un inconnu, les doigts restent un peu au chaud puis repartent lentement, comme ils étaient venus… Elle reprend ses esprits et décide de s’amuser à son tour, elle glisse sa main vers l’homme, cherche la poche de son pantalon sous sa veste, et y pénètre. L’intérieur de la poche est fin et soyeux, sans doute du satin, doux au toucher. Sa main fouille dans la poche et fini par atteindre ce qu’elle était venue chercher : la queue de son voisin… il bande fort, ayant toujours en tête ce qu’il vient de faire à Fanny, elle caresse le membre gonflé, les bourses qui semblent bien pleines, elle joue avec le gland et le décalotte à travers le tissu. Elle le caresse avec ses ongles pour l’agacer un peu, puis l’empoigne fermement et le caresse lentement. Elle a toujours la tête tournée vers le hublot, elle ne regarde pas l’homme et elle ne veut pas qu’il la regarde. Sa main s’active de plus en plus vite, la queue de l’homme est de plus en plus dure et chaude, elle devine qu’il va bientôt gicler dans sa main… son voisin ne tarde pas à se rendre, elle sent le corps se cambrer discrètement et lâcher sa semence en plusieurs jets brulants à travers le tissu de satin. Le commandant de bord annonce la descente sur Orly, elle enlève a main, sent ses doigts discrètement pendant que son voisin se rajuste et est bien embarrassé avec son pantalon tout poisseux ! Ca lui apprendra, et avec son odeur de mâle, il va se faire remarquer… L’avion atterrit enfin et se gare, elle descend avant son voisin, non sans avoir été obligée de se frotter contre lui pour pouvoir quitter son siège. Elle sourit en sentant la queue toujours un peu dure et le pantalon toujours humide… Elle passe les contrôles et Pierre est là qui l’attend, souriant. Elle n’a qu’un grand sac avec elle, pas de perte de temps au tapis à bagages, Pierre l’embrasse avec fougue, lui prend son sac et l’emmène au parking pour prendre sa voiture. A peine installés, il se penche vers elle, déboutonne le chemisier de la belle et lui caresse les seins à travers le soutient-gorges en dentelle blanche. Il passe une main dans le dos de Fanny, arrive à défaire les bretelles de manière relativement adroite malgré son empressement, et libère enfin la poitrine. Il jette sa bouche sur le téton le plus proche et sa main sur l’autre… les deux bouts sont déjà durs… la bouche toujours collée sur le sein gauche de Fanny, sa main descend entre les cuisses, trouve la culotte humide, et tire dessus pour l’enlever. Fanny soulève ses reins pour lui faciliter la tache et Pierre peut enfin enlever le bout de tissu qui le gêne dans son exploration. Il le porte à son visage et le sent et poussant un « hummm » de satisfaction. « Eh bien » lui dit-il, « tu es déjà toute trempée ? Moi aussi j’ai très envie de toi… ça fait longtemps que j’attends ce moment, si je m’écoutais je te prendrai sur place… tu ne perds rien pour attendre, je t’ai préparé un week-end spécial…». Sa curiosité féminine lui faisait se demander ce que Pierre avait bien pu prévoir…
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