Je suis une femme sportive. Je mesure 1m65 et je pèse 60 kg. J’ai de grandes jambes bien bronzées. J’ai un beau corps musclé et un ventre bien plat. Je prends grand soins de moi. Mes seins ronds sont encore bien fermes. J’ai une longue crinière blonde et des beaux yeux bleus perçants. Je m’entraîne au gym plusieurs fois par semaine et j’aime bien y aller tôt le matin, vers 4 ou 5 heures, alors qu’il n’y a que quelques personnes. J’ai la même routine depuis plus d’un an et j’en suis venue à fantasmer sur ce qui pourrait se passer dans le gym, à cette heure matinale. L’employé du gym s’appelle Francis. Il est de taille moyenne, cheveux et yeux bruns. Il est mignon. Il est 4:27. Je suis en tenue de sport: short court et bien moulant et camisole sport bien ajustée. Je suis prête pour mon entraînement. Fabien est déjà arrivé. C’est un homme de race noire, pas très grand mais bien musclé. Chaque matin, il me reluque le cul et me fait la conversation dès qu’il en a la chance. Je sais que je l’attire. En me voyant, il me fait un sourire que je lui retourne avec une touche sensuelle. J’aime bien l’allumer et je sais qu’il ne déteste pas non plus. Je débute par un exercice des jambes qui m’oblige à me sortir le derrière. Celui-ci est bombé, juste ce qu’il faut pour attirer les regards. Il est musclé aussi et bien ferme, tout comme le reste de mon corps d’ailleurs. Je suis debout, fesses sorties, genoux fléchis et je me regarde dans le miroir. En soulevant des haltères, je lève les yeux et y vois Fabien qui me reluque le cul comme à son habitude. Je me penche un peu plus afin qu’il puisse l’admirer à sa guise. 4:51, Jonathan arrive. Il s’agit d’un homme avec qui je couchais que j’avais perdu de vue depuis plusieurs années. Je sais qu’il m’a reconnue, mais n’a jamais osé m’adresser la parole. La trentaine, il mesure environ 1m75 pour 72 kilos. Il est encore un très bel homme même s’il a pris de l’âge depuis nos nuits d’ébats. Comme à son habitude, il passe près de moi faisant mine de ne pas me voir. Mon entraînement se passe bien. J’enchaîne les mouvements de muscu en leur présentant bien mon décolleté et mon cul. Fabien salive et Jonathan me regarde du coin de l’œil. 5:23, mon entraînement terminé, je file vers le vestiaire des femmes, non sans avoir lancé un regard aguicheur à Fabien. Un à un, je retire mes vêtements trempés de sueur. Je retire tout et enroule une serviette autour de mon corps. En arrivant aux douches communes, un bruit me fait sursauter. Je me retourne pour apercevoir Francis, l’employé, qui me regarde avec désir. Il me fait un clin d’œil en disant: — Fais voir ce que tu as en dessous. J’en rêve depuis des mois. Tu fais exprès de nous exciter. T’es une salope. J’obéis docilement, excitée par ses propos. J’ôte la serviette qui cache ma nudité et me retrouve nue devant Francis qui me regarde, figé sur place, la bouche ouverte, stupéfait. — Oh la vache! — Tu veux toucher mon chéri, lui dis-je en lui faisant signe d’approcher. Ne soit pas gêné. Francis s’empresse de venir me rejoindre et empoigne mes gros seins de ses deux mains. Il me complimente sur leur beauté. Il les palpe, les masse, il titille le bout pour les faire durcir. Il les aspire dans sa bouche pour les sucer. Je commence à mouiller. J’aime qu’on joue avec mes seins. Ensuite, Francis me fait mettre à quatre pattes. Il m’ouvre la chatte à deux mains pour bien voir mon sexe. Il écarte les chaires roses et y insère un doigt. Il me doigte un moment puis y insère un deuxième doigt. Avec l’index et le majeur, il me prépare pour sa bite déjà toute dure et prête à m’enfiler. Je mouille de plus en plus. Je suis tout près de l’orgasme lorsqu’Il s’arrête. Il vient se poser derrière moi. Son gland vient se frotter sur l’entrée béante de mon vagin et y glisse à l’intérieur. Je décolle rapidement. L’orgasme m’atteint de plein fouet; Une sensation de chaleur intense m’envahit. Mon corps est secoué de spasmes violents. Francis ne s’arrête pas pour autant. Il me pénètre avec vigueur. Sa queue entre et sort de mon vagin à une vitesse folle. Je crie de plaisir. Les orgasmes se succèdent et sont toutes plus fortes les unes des autres. Quand j’ouvre les yeux, je réalise que Fabien nous a rejoints. Il est déjà nu et bien bandé. J’attrape son gros sexe noir et commence à le branler pendant que Francis s’agite toujours en moi. Je branle la grosse queue et la met dans ma bouche. Je suce Fabien avec force, ma langue passe sur ses couilles et tout au long de sa tige qui doit bien mesurer 23 centimètres. Je l’enfonce au fond de ma gorge. Elle est chaude et dure. Je salive. Nous sommes en actions depuis plusieurs minutes lorsque M. Muscle dont j’ignore le nom, entre dans le vestiaire. Il semble stupéfait. Je lui offre de se joindre à nous. En quelques secondes, il est nu, son membre en main et se branle pour le faire durcir. Il a envie de me le mettre. Il s’approche pour me malaxer les seins. Les trois hommes sont maintenant bien bandés. Francis se retire et Fabien se recule un peu pour s’étendre sur le sol dans les douches communes. Je me place au dessus de lui, le dos collé à son torse musclé. Sa queue, lubrifiée par ma salive s’approche de mes fesses. Il met une pression et son gland entre dans mon anus. Étant une enculée, sa queue entre toute seule dans mon cul. Il fait de légers va-et-vient le temps que mon anus s’étire et se forme à son membre énorme. Cela me fait un peu mal, mais j’aime ça. Lorsque je suis bien dilatée, il accélère la cadence. Il me transperce les entrailles à toute vitesse. — Que tu es bonne! S’exclame-t-il. Tu es toute chaude et toute serrée. Il me pénètre le cul sans ménagement. Je sens ses couilles frapper contre mon anus à chaque coup de rein. M. Muscle s’approche et vise mon vagin avec sa queue. Il me pénètre d’un coup. Je me sens bien remplie. Les deux sexes vont et viennent dans mes deux trous. C’est la première fois que j’essaie la pénétration double et j’adore la sensation. Je suis bien pleine et bien étirée. Mes chaires sont étirées à leur maximum. Je ne tarde pas à jouir de nouveau. Francis s’approche de moi pour que je puisse le sucer à son tour. J’empoigne son pénis et le prend dans ma bouche. Tous mes trous sont bien remplis maintenant. Je suce Francis pendant que les deux autres hommes s’occupent de me mettre comme une salope. Je me sens comme une chienne et je crie sans retenue. Je jouis encore et encore. Les spasmes qui envahissent mon corps sont violents. Je suce de plus en plus vite sans m’arrêter. Finalement, je sens un liquide chaud se déverser au fond de mon palais. Je m’empresse de tout avaler. Le goût amer me fait jouir de plus belle. Fabien jouit à son tour. Il déverse tout son foutre dans mon cul. Ne reste plus que M. Muscle. Il fait encore quelques va-et-vient tandis que Fabien reste immobile dans mon cul. Enfin, il éjacule une quantité phénoménale en moi en lâchant un soupir satisfait. Je suis bourrée.Quand les trois hommes se retirent, je sens leur sperme me couler de tous les trous. Je suis épuisée, rassasiée comme jamais. Je me sens bien. Je tremble. Je me relève péniblement pendant que les hommes quittent le vestiaire. Lorsque je retrouve mes jambes, je prends une longue douche chaude. Lorsque je passe près du clito pour me laver, des frissons parcourent mon corps sensible. Je tiens à peine debout. J’ai hâte de retourner à la maison pour tout raconter à mon mari qui est aussi pervers que moi. Je sais qu’il voudra me mettre lorsque je lui aurai raconté mon histoire. Je me prépare donc mentalement pour un nouvel assaut. Je suis une salope et j’aime bien me faire mettre dans tous les trous. Je ne me lasse jamais de jouir! Quelle aventure!
