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Fantasme professionnel

Chapitre 9

Trash
Le lendemain matin, Rosalie se leva de bon pied. En effet, l’acceptation de sa proposition par Georges la laissait dans un état d’excitation qu’elle n’avait jamais ressenti auparavant.
Comme à son habitude, la jeune avocate se prépara un petit déjeuner simple et alla prendre une douche. Pourtant, cette fois-ci, elle ne se caressa pas. L’image de sa patronne obligée de faire la pute pour rapporter de l’argent au cabinet était très plaisante à visualiser, mais son idée allait-elle être acceptée par Charlotte Pittet ? Rien n’était moins sûr. Au sortir de la douche, Rosalie choisit un string et un soutien-gorge assortis puis enfila une robe sobre. La jeune femme sortit de chez elle et prit la direction du cabinet d’avocats.
À son arrivée, Georges l’accueillit d’un simple bonjour et l’invita à le suivre dans son bureau. Là, se trouvait déjà Charlotte, assise sur l’un des fauteuils de cuir de la pièce. Sans un regard pour sa patronne, Rosalie prit place à la table de réunion. Quelques minutes plus tard, la sonnette du cabinet retentit et Emmanuelle entra. Georges alla l’accueillir et l’invita à rejoindre les deux autres. Après qu’Emmanuelle eut pris place, Maître Pittet entra dans le vif du sujet.
— Tout d’abord, bonjour à vous. Bon, comme vous le savez, cette réunion a pour but de réorganiser les méthodes de travail de notre cabinet ainsi que le rôle que chacun y tiendra. Ma chère Charlotte, ce que vous m’avez montré hier m’a beaucoup impressionné. Par conséquent, j’ai décidé que nous pourrions utiliser vos aptitudes pour accroître nos bénéfices. Je vous propose de jouer un rôle de Maîtresse ; très dominatrice, évidemment. Par les temps qui courent, ce business marche plutôt bien. Qu’en pensez-vous ?L’épouse de Georges vit dans cette proposition plutôt insolite la possibilité d’augmenter sensiblement ses revenus tout en exerçant le penchant pour la domination qu’elle s’était découvert, qui lui permettait de compenser l’état de quasi-soumission dans lequel son mari la maintenait.
— Quand il s’agit des affaires, tout est bon à prendre… Soit : vous avez mon accord. — Parfait. Allez vous préparer et installez-vous dans notre appartement de la Basse-Ville. Faites ensuite publier une annonce dans "Le Matin" ; les clients devraient affluer rapidement.
Charlotte quitta la pièce, alla rassembler son équipement et sortit du cabinet. Georges poursuivit :
— Maintenant que cela est réglé, je vais vous dire pourquoi je vous ai fait venir, Mademoiselle Perrin. La raison est simple : j’ai une proposition à vous faire. Souhaitez-vous l’entendre ?— Oui, Maître. — Très bien. Voilà ce que je vous propose : je vous défendrai gratuitement dans votre affaire et, une fois le procès gagné, je financerai la construction et les équipements de votre propre clinique. Bien entendu, j’en serai propriétaire. Mais en qualité de président du conseil d’administration, je vous en confierai la direction générale avec, à la clé, un salaire intéressant ; vraiment "très" (il appuya sur ce mot) intéressant… Toutefois, en échange, vous devrez – comme votre amie ici présente – m’accorder quelques faveurs et, bien sûr, me confier la gestion de vos capitaux.— Je vois... Eh bien, cette proposition me semble honnête. Je l’accepte avec plaisir, Maître. — Parfait ! Eh bien, nous allons fêter cela comme il se doit. N’est-ce pas, mademoiselle Frei ?
Sans répondre, Rosalie prit son amie par la main et l’invita à s’agenouiller avec elle devant Maître Pittet. La jeune assistante fit coulisser la fermeture Éclair du pantalon de son employeur et dégagea du caleçon la verge dure et noueuse qu’elle adorait déjà tant. Elle commença par lécher avec application le gland violacé de Maître Pittet, mais l’avocat ne fut pas long à en réclamer davantage :
— Enlevez-moi tout ça !

Instinctivement, Emmanuelle retira elle-même les vêtements de son amie, préférant la laisser continuer à sucer son patron. Une fois Rosalie nue, la jeune infirmière se dévêtit également et alla rejoindre l’avocate aux pieds de Maître Pittet. Devinant ce que Georges allait leur demander, les deux femmes se placèrent de part et d’autre du sexe érigé et le léchèrent de bas en haut puis de haut en bas avec une synchronisation parfaite.
Après trente secondes, Rosalie laissa Emmanuelle sucer la verge de son employeur et se mit à lui lécher les bourses avec gourmandise. Le duo opéra ainsi quelques minutes durant avant que Maître Pittet n’ordonne, d’une voix sèche :
— Assez ! Mademoiselle Frei, branlez-moi. Mademoiselle Perrin, gardez votre bouche ouverte.
Les deux jeunes femmes obtempérèrent et, après quelques secondes de masturbation, Georges éjacula dans la bouche d’Emmanuelle, qui déglutit bruyamment en ronronnant de plaisir.
Rosalie nettoya le gland de son employeur qui ne tarda pas à se rhabiller pour reprendre place à son bureau.
— Passons aux choses sérieuses : pour le moment, nous ne pouvons rien intenter contre vos collègues, Mademoiselle Perrin, car nous manquons de preuves. Par conséquent, je vous propose l’aide de mon assistante pour obtenir des preuves ; photos, enregistrements audio, etc. Vous comprenez ?— Oui, Maître. — Bon, vous savez ce que vous avez à faire, et sans plus tarder. Je vous accorde votre après-midi, Mademoiselle Frei ; faites-en bon usage.— Merci, Maître ; nous allons de ce pas rassembler des preuves pour étayer le dossier d’Emmanuelle. Allez, Manu, allons nous équiper : j’ai ce qu’il faut à la maison.
Ayant pris congé, les deux amies se rendirent au domicile de Rosalie.
— Dans le temps, j’avais un enregistreur de minidisques. Où l’ai-je rangé ? Ah, le voilà. Tu vois, c’est plus volumineux qu’un simple dictaphone numérique, mais le son est d’excellente qualité. Ton smartphone est chargé ? Tu en auras sans doute besoin pour faire des photos ou enregistrer des séquences vidéo. Maintenant, allons chez toi pour nous équiper ; tu as bien une blouse de médecin à me prêter ? Comme ça, je n’attirerai pas l’attention.— Oui, j’ai tout ce qu’il faut, Rosalie. Je te passerai aussi un pantalon médical.
En tout début d’après-midi, les deux amies franchissaient l’entrée de l’hôpital ; elles se rendirent aux vestiaires où elles revêtirent des tenues de médecin.
—Tiens, accroche l’enregistreur à ta ceinture de pantalon ; sous ta blouse, il est invisible. Et le micro, là, sur le revers ; il est tellement petit qu’il est pratiquement indétectable. Tu as ton smartphone ?— Oui, dans ma poche.— Très bien ; sois prête à t’en servir. J’enclenche l’enregistrement du minidisque. Voilà.
Poursuivant le plan ourdi par Rosalie, les deux amies se rendirent aux toilettes du personnel. La jeune avocate s’enferma dans une cabine.
— Je reviens bientôt ; attends-moi sans faire de bruit. Je vais passer devant la salle de garde des infirmiers ; il y aura bien un de ces salauds qui me remarquera et qui me suivra.
Emmanuelle s’éloigna. Rosalie, un peu nerveuse, attendit son retour. Quelques minutes s’écoulèrent avant qu’elle n’entende le pas de son amie qui, pour justifier sa présence en ces lieux, entreprit de faire quelques raccords de maquillage devant le grand miroir qui surplombait les vasques. Bruit d’une porte qui bat…
— Mais comment osez-vous ? Ici, c’est réservé aux femmes !— Allons, Docteur, ne fais pas ta pimbêche… L’autre jour, tu nous en as montré bien plus que ça ; assez pour me faire comprendre que, sous tes grands airs, tu n’es qu’une petite chienne assoiffée de sexe. Et du sexe, nous pouvons t’en donner, moi et mes copains…
Le minidisque enregistrait la moindre de ses paroles ; mais il s’agissait d’une preuve uniquement sonore. Afin d’obtenir un document plus probant qu’une bande-son qui aurait pu résulter d’un montage, Rosalie entrouvrit silencieusement la porte de sa cabine et entreprit de filmer la scène qui se déroulait à quelques pas d’elle.
— Et si tu refuses, toubib, tu vas te faire virer : j’ai des photos compromettantes qui pourraient être transmises au directeur du centre hospitalier. Alors, qu’en penses-tu ? Le marché te convient ?— C’est ignoble ! C’est du chantage !— Peut-être ; mais si tu refuses, tu iras exercer tes talents sur le trottoir ou sous les ponts. Allez, quoi, juste une petite pipe et je te laisse tranquille…— Salaud ! Tu veux me faire renvoyer ? Je ne peux pas me permettre de perdre mon poste.— Ah, tu acceptes… C’est beaucoup mieux comme ça ; autant pour moi que pour toi.— Ce sera la seule et unique fois, alors. Et je vous préviens : je n’avale pas. C’est ça ou rien.— Il faudra bien que je m’en contente : c’est pas tous les jours qu’on se fait sucer la queue par un docteur en médecine lorsqu’on est un simple infirmier ; d’habitude, c’est plutôt par les filles de salle… Alors, voyons si tes études t’ont servi à quelque chose, Docteur Perrin !— Suivez-moi, sale pervers !
Emmanuelle ouvrit la porte de la cabine adjacente à celle qu’occupait Rosalie et s’assit sur la cuvette.
— Dépêchez-vous, infâme individu ; nous n’allons pas y passer la journée. Sortez votre pénis !
Impressionné par la détermination de sa victime, par le terme anatomique qu’elle venait d’utiliser pour qualifier sa verge, mais surtout par sa position dans la hiérarchie hospitalière, l’infirmier n’arrivait pas à bander. Il se mit à tripoter son misérable engin sous les regards courroucés d’Emmanuelle et, progressivement, le membre flasque prit un peu d’ampleur.
C’est à ce moment-là que Rosalie jaillit de sa cabine pour réaliser un enregistrement vidéo qui ne laisserait plus aucun doute sur l’identité du maître-chanteur et sur le forfait qu’il s’apprêtait à commettre.
— Mais, mais…
L’infirmier, frappé de stupeur, restait là – sa verge molle toujours à la main – incapable de bouger ni de s’exprimer.
— Fini, le chantage ! Je vais calmer vos ardeurs viriles, et vous allez comprendre ce qu’il en coûte de s’attaquer à moi ! Vous aurez bientôt des nouvelles de mon avocat.— Allez, Emmanuelle, viens ; maintenant, nous avons tout ce qu’il nous faut pour faire inculper ce salopard !


[ à suivre ]
Note : ce chapitre a été rédigé par Lioubov et moi-même (StormX)
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