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De fantasme à réalité

Chapitre 4

Hétéro
Je me réveille. Je suis encore habillée. Je regarde l’heure. Presque midi.Pfff. Je me force à me lever. Houuuula... Mal au ventre, au dos... Je me dirige tel un zombie dans la salle de bain et me déshabille.
Je regarde les marques sur mes seins... J’ai de sales bleus et aussi sur les cuisses. Hé ben dit donc.....Je frôle les marques du bout des doigts en me remémorant mes ébats d’hier. Mon ventre se tord agréablement.Je prends une douche rapide qui fait un bien fou à mes muscles. J’enfile un peignoir, vais prendre un café et vois sur la table un mot de mon père "Sommes allés chez mamie. Nous rentrerons dans la soirée".Je prends mon portable. Texto de Manu.
"Hello ! Je n’ai pas trop compris ce qui s’est passé hier avec J. Besoin qu’on parle de notre soirée, appelle-moi."
Je lui réponds : "Coucou ! Passe chez moi aujourd’hui si tu veux. Bises"
Qu’est-ce que je vais lui dire ? Que Jérémy (qui, je vous le rappelle, est en couple avec ma meilleure amie) m’a baisée et maintenant se comporte comme s’il avait tous les droits avec moi... Ça risque de passer moyen. Et en prime, je n’ai pas envie de me priver du beau Manu... D’autant plus que ça enrage Jérémy, et ça, ça me plait beaucoup !!Manu arrive vers 14h. Je n’ai pas pris la peine de m’habiller. Je l’accueille en peignoir. Pour bonjour j’ai droit à une bise... OK super, ça commence bien. On s’installe à la table de la cuisine. Je lui propose un café qu’il accepte. Je m’assois en face de lui."Tu m’expliques ce qui s’est passé hier soir ?" Commence-t-il
— Bah on a couché ensemble...
Il lève les yeux au ciel.
— Je te parle de Jérémy.
Je passe ma jambe entre ses mollets, histoire de détourner son attention.
— Je ne sais pas... Tu lui demanderas.

Ils sont bons copains les deux-là... À voir s’il lui dira la vérité.Il sert ses mollets autour de ma jambe et passe sa main sous la table pour la saisir. Il la remonte jusqu’à son entrejambe et appuie mon pied nu sur lui.Je le regarde en souriant.
— Que ce soit clair, je ne veux pas d’une relation sérieuse. C’est juste pour s’amuser.
Il paraît presque soulagé et acquiesce.Je caresse la bosse que je sens sous mon pied. Il soupire et se mord les lèvres. Je lui souffle :
— J’ai très envie que tu me maltraites là.
Ni une ni deux, il balance son bras au-dessus de la table et empoigne mes cheveux coiffés en chignon négligé. Je ne m’attendais pas à une telle réaction de sa part. La petite flamme qui jouait avec mon excitation se transforme d’un coup en brasier et inonde mon corps entier. Je lâche un cri de surprise.
— Tu aimes être secouée hein ?!
Il me fait me lever et en fait de même sans me lâcher, il n’a aucun mal à me faire faire le tour de la table et à me tirer vers lui. Il me colle contre lui et tire mon visage vers l’arrière. Je passe ma main sous son t-shirt et je griffe sa hanche. Il respire vite, ses yeux brillent. Il me maintient tellement fort que j’ai du mal à lui répondre. Je chuchote :
— Baise-moi.
Il me relâche et commence à déboutonner son jean. Je prends son poignet et lui dis qu’on monte dans ma chambre, juste au cas où mes parents auraient "la super" idée de rentrer plus tôt.Il me suit. J’ai presque honte de le laisser entrer dans la pièce. Une chambre d’ado, peluches sur le lit, posters aux murs... Mais il n’a pas l’air d’y prêter attention. Il se déshabille. Je laisse tomber mon peignoir au sol. Il fixe les bleus que j’ai aux seins et sur l’intérieur des cuisses.
— C’est moi qui ai fait ça ?
Je hausse les épaules, lui tourne le dos et caresse mes fesses en les tendant vers lui.
— Tu m’en feras d’autres ?
Il attrape mes hanches et vient coller sa queue contre moi. Il caresse ma fesse droite et me dit :
— Par contre celui-là n’est pas de moi.
Gros tilt. La fessée de Jérémy a laissé des traces aussi.Je rigole ne sachant pas quoi répondre."Tu es vraiment une salope" dit-il en me claquant la fesse avec sa grande main. Je pousse un petit cri et me cambre.

Il attrape à nouveau mes cheveux, me tourne face à lui et sans me lâcher me balance assise sur le lit. Il se rend compte qu’il est un peu grand (ses couilles sont au niveau de mon front) du coup il prend ma place sur le lit et me fait me mettre à genoux entre ses jambes. Cette situation me fait penser à un de mes rêves récurrents.*Sonnerie de mon téléphone dans la poche de mon peignoir. Je n’y prête pas d’importance*
J’ai d’un coup très envie de faire ma prude. De jouer avec son excitation. De voir si mes fantasmes peuvent se réaliser.Je prends mon air le plus enfantin et innocent et le regarde.
— Je suis censée faire quoi ?
Il me regarde, incrédule.
— Joue le jeu...
Il réfléchit et lâche mes cheveux. Il pose sa main à plat sur mon crâne et me caresse doucement.Il prend sa queue dans les doigts, la redresse sur son ventre et me dit.
— Pose ta langue dessus
Je souris et me mords la lèvre inférieure. Je m’approche, sors timidement ma langue et la pose à la base de sa queue. Il soupire. "Oui ! Comme ça. Remonte maintenant."Je pose mes mains sur ses cuisses et lentement remonte sur son pieu.
— Ouiiiii ! Comme ça. Redescends
J’obtempère. Je m’apprête à remonter ma langue quand il appuie sur ma tête.
— Non descend plus bas
Je me laisse guider et descends ma langue sur ses couilles. Il se tend légèrement. Tiens, encore quelque chose que j’apprends sur le plaisir masculin. Je suis ravie.Je laisse glisser ma langue sur ses bourses, les lape. J’aime les sentir sur ma langue.
— Huuummm ! C’est bien ! Remonte maintenant. Et prends-la dans ta bouche.
Je suis ses instructions. Quand j’arrive sur le gland je lève les yeux vers lui et ouvre ma bouche pour l’y faire glisser.Je le fais coulisser en moi lentement. Je le prends à moitié, il frôle l’entrée de ma gorge et je remonte.
— Plus loin !
Je le regarde interrogatrice et redescends. Je feinte de ne pas avoir envie d’aller plus loin en remontant aussitôt. Il serre ses doigts dans mes cheveux. De toute évidence il prend goût au jeu. Il retire mon visage de sa queue.
— Ouvre la bouche
Je fais non de la tête.Il attire mon visage sur sa queue et frotte son gland sur mes lèvres closes. De sa main dans mes cheveux il secoue ma tête.
— Ouvre la bouche pétasse !
Je le supplie des yeux, enfonce mes ongles dans sa cuisse. J’entrouvre les lèvres et il s’introduit dans ma bouche. Il me l’a fait avaler jusqu’à la garde. Ma gorge, mon ventre se contactent, j’ai un terrible haut-le-cœur suivit d’un horrible bruit de gorge. Il me maintient planté sur lui tandis que de mes bras je tente de le repousser.Au bout de quelques secondes il me relâche enfin. J’en profite pour tousser et reprendre mon souffle avant qu’il ne recommence.
— Si tu veux que je m’arrête, frappe-moi la cuisse.
Il prend mon visage et pénètre à nouveau ma bouche. Ses mouvements sont lents et profonds. Très profonds. La salive ne tarde pas à couler sur mon menton. Je crois plusieurs fois que je vais vomir, mais parviens à me contrôler plutôt facilement. Il lâche mon visage et me demande de continuer. Je me redresse sur mes genoux et continue à l’enfoncer en moi. Je sens sa queue se contracter lorsqu’elle se retrouve coincée dans ma gorge. Et en fin de compte je commence à trouver ces sévices plutôt agréables. Je suis trempée. Il m’arrête. Me fait grimper sur lui. Il attrape la boîte de mouchoir sur le bureau à côté de mon lit, avec douceur essuie ma bouche, ma poitrine pleine de ma salive.*Téléphone qui sonne à nouveau*
— Je regarde juste si c’est ma mère.
Je vais prendre mon téléphone dans mon peignoir qui est par terre. Je regarde l’écran... "Jérémy"... Il avait promis de m’appeler. Je raccroche. Et retourne auprès de Manu en posant mon téléphone sur le bureau. Il s’est levé, me prend par les hanches et m’embrasse. Sa longue queue collée contre moi. Je fais bouger mon ventre de gauche à droite la faisant rouler entre nous. Il me fait basculer sur le lit et se jette littéralement sur moi. Sa bouche dans mon cou, sur mes seins qu’il ne manque pas de mordre encore. Je me cambre en les lui offrant et criant ma douleur et mon plaisir. Il descend sur mon ventre, mes cuisses, mes mollets et remonte, frôlant ma peau avec sa langue. Puis il se jette sur ma chatte. Je passe mes doigts dans ses cheveux, tiens sa tête sur moi, fais des mouvements de bassin sur sa langue qui en explore chaque recoin. Quel plaisir !! C’est autre chose que mes doigts !
Je tire son visage vers le mien, s’il continue je vais jouir. Je passe ma langue sur ses lèvres. J’adore mon goût. L’odeur du sexe, du plaisir. On s’embrasse.Il se redresse.
— Retourne-toi
Je me mets sur le ventre. Il pose ses mains sur mes fesses et les écarte doucement. Mon cœur fait un bon. Je tourne mon visage vers lui.Il se penche et vient poser sa langue sur mon anus. Le contact m’électrise. Encore une première pour moi. Mais je ne lui en dirais rien.*Sonnerie de téléphone*

Il me lèche avidement. Je laisse échapper mes cris sans retenue. Le plaisir est tout à fait différent. Il glisse sa main entre mes cuisses et de ses doigts, titille en même temps mon clito.
— Oh ouiiiiii !!!!
Il ajoute son index à sa langue. Je me contracte. Il continue de lécher. Puis doucement il insère son doigt en moi. Je serre ma couverture et y enfonce le visage en poussant mes fesses vers lui. Je ne m’attendais pas à ce que ce soit si agréable. Je pousse un long gémissement et il entame des va-et-vient. Son doigt se fait plus rapide. Je m’ouvre. Je crie. Je prends mon pied.
Il se retire, prend mes hanches, les tire vers lui et pose son gland sur mon petit trou. Il pousse un peu. Je déchante. Ça fait un mal de chien ! (Mais ça m’excite !!)Il lâche un "Ooooh putain !!", pose ses mains sur mon dos et s’y appuie de tout son poids. Il continue son entrée dans mes entrailles. Je souffre abominablement. J’ai l’impression qu’il me déchire. Je mouille mes draps. Il s’insère, colle son ventre contre mes fesses. Et reste planté en moi, vibrant à chaque fois que je me contracte sur lui.Il geint, bouge doucement son bassin. Et doucement, mon corps se fait à cette intrusion.
— Oooh j’adore ton cul !
Je veux le sentir encore.
— Défonce-moi !
Il se retire et revient à la charge. Je pousse un hurlement de douleur. Il reste enfoncé me laissant m’adapter à nouveau. Je reprends mon souffle. Laisse passer la vague et tends mes fesses sur lui. Il entame des va-et-vient. Chaque coup de bassin m’arrache un cri. Mon esprit se noie. Je brûle de l’intérieur. La douleur m’a rendue plus sensible. Le plaisir prend place. Je gémis. Il prend mon chignon et me tire le visage vers l’arrière. Tendue de la sorte je ne peux plus que pousser de petits glapissements.*Mon téléphone sonne à nouveau.*
Je peux voir que c’est de nouveau Jérémy qui appelle. Il m’énerve. Obligé de tout faire dans l’excès. Pas capable d’attendre que je le rappelle. Je tends mon bras et appuie sur le bouton vert. Je vais le laisser profiter de ce moment.Manu relâche mes cheveux. Et se retire de mon cul. Il me retourne comme une poupée de chiffon. À genoux entre mes cuisses, il a sa queue dans la main et se caresse doucement.
— Je t’ai assez maltraité ?
*Je jubile de savoir que Jérémy écoute tout ça*
— Oh oui ! Mon derrière va s’en rappeler— Huuummm
Il s’allonge sur moi, m’embrasse. On se serre l’un contre l’autre, se caresse.
— Fais-moi jouir je t’en prie
Sans plus attendre il enfonce sa queue dans ma chatte trempée et me lime comme un fou. Il tape le fond de mon ventre et le plaisir ne tarde pas à monter. Je gémis fort. Enserre sa taille de mes jambes. Mon lit grince.
— Oh ouiii ça vient !
Je lâche ma jouissance.Il ralentit ses coups de reins. Je me relâche complètement. Il se retire, me fait assoir et se branle sous mon visage. Il me tire la tête en arrière.
— Ouvre la bouche
J’obéis. Et dans un "Oooh ouaiiiiis" il gicle entre mes lèvres. Je laisse glisser son foutre chaud dans ma gorge tout en le regardant. Il caresse mes cheveux et se penche sur moi pour m’embrasser puis on s’allonge.Sa tête sur mon ventre, je caresse ses longs cheveux. Je passe mon autre main derrière moi pour attraper mon téléphone. L’appel est toujours en cours, je vois les secondes défiler sur l’écran. J’appuie sur le bouton rouge. Je pense qu’avec ça il en a eu assez.
Je me demande si je ne vais pas vite regretter d’avoir fait ça.
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