Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 57 J'aime
  • 7 Commentaires

Le fantasme de la secrétaire

Chapitre 1

Travesti / Trans
Bonjour à tous,
je m’appelle Samuel, mais mes amis m’appellent Sam.J’ai la petite trentaine, je fais 1m78 et je m’entretiens physiquement. J’ai la particularité d’être totalement épilé, de la tête aux pieds, y compris les sourcils ! J’ai commencé à perdre mes cheveux assez jeune, et j’ai pris l’habitude de tout raser.Mon petit secret est que j’aime me travestir en femme. J’ai longtemps réalisé ce fantasme seul, mais je suis passé à l’acte avec des amies proches récemment.Toutefois, ce n’est pas cela que je souhaite vous raconter aujourd’hui - une autre fois peut être.
Je travaille dans une petite boite de RH, essentiellement avec des femmes (certaines me font d’ailleurs fantasmer).J’ai désormais quelques responsabilités, et je dispose également d’une secrétaire, Linda. C’est une jeune femme de 26 ans, plutôt jolie, aux cheveux blonds-roux assez long, aux yeux verts et au physique très bien proportionné - en tout cas, ce que son ensemble tailleur/jupe courte laisse entrevoir. Elle porte également des lunettes et se coiffe généralement avec un chignon un peu élaboré, ce qui lui donne un air strict et sévère, qui ne me laisse pas indifférent.
Si, en général, je porte un costume avec chemise et cravate, en dessous, je porte souvent une culotte féminine en dentelle, plus rarement un string et parfois, depuis peu, un body semi-transparent. Depuis quelques temps, je porte un plug dans mon anus la journée environ un jour sur deux - ce fut un peu difficile au début, mais je suis désormais bien habitué.Mes collègues prennent généralement une pause assez longue le midi, ma secrétaire en particulier car elle va courir quasiment tous les midis.Je mange dans mon bureau, profitant de ce moment de solitude pour me travestir et, certains jours, appeler une de mes amies qui me baise à distance - j’ai tout le matériel nécessaire dans un tiroir : godes, baillon-balle, menottes, collier, laisse ainsi qu’une robe moulante, une paire de faux seins avec leur soutien-gorge, des bas, une perruque et un nécessaire de maquillage. Il est même arrivé qu’elle vienne me baiser sur place - mais ce n’est pas non plus le sujet de cette histoire.
J’ai découvert il y a peu que ma secrétaire laissait son ensemble sur sa chaise lorsqu’elle allait courir. Après plusieurs jours d’hésitation, et avoir calculé son temps d’absence, j’ai pris l’habitude, une ou deux fois par semaine, de me travestir avec son ensemble, uniquement le tailleur et la jupe, car nous faisons quasiment la même taille, en faisant bien attention à ne pas souiller sa jupe.
Il y a quelques semaines, un jour où nous n’étions pas nombreux au bureau, une fois tout le monde parti en pause, je me déshabillai, ne conservant que mon body.Après avoir vérifié que ma bite, qui commençait doucement à durcir, était bien serrée dans le body, je mis mes bas (dentelle grise, assortis au body) et ma perruque blonde. Je fis glisser mes faux seins dans mon body, ce qui me donnait un petit 85B. Je me passai un collier en cuir noir, avec les lettres BITCH en métal. Je me mis un maquillage léger : un peu de fond de teint et du rouge à lèvres roses - rien que je ne puisse enlever rapidement à la fin de mon jeu de rôle. J’enfilai également une paire de gants en dentelle grise, qui remontent au milieu de l’avant-bras et laissent les doigts libres. Enfin, je passai au bureau de ma secrétaire et récupérai son tailleur et sa jupe.
Après avoir avalé mon repas, en faisant bien attention à ne pas me tacher, j’échangeai quelques sextos avec mon amie, mais elle n’était pas disponible pour plus que cela. Tant pis, j’allais m’amuser un peu seul.Je sortis un gode-ventouse de mon tiroir et le fixai sur le pied de mon bureau, à hauteur de bouche lorsque je suis à 4 pattes. Avant de commencer, je mis une alarme, pour être certain de finir avant le retour de mes collègues. J’avais encore environ 1 heure devant moi.Je passai donc sous le bureau et, une main jouant doucement avec mon plug, je commençai à sucer le gode, comme une secrétaire vicieuse sous le bureau de son patron.
Quelques minutes plus tard, il me sembla entendre un bruit. Je sortis la tête de sous le bureau, toujours à 4 pattes, juste à temps pour voir Linda, ma secrétaire, entrer dans son bureau. Elle portait sa tenue de course : maillot assez moulant, leggings, un bandeau-éponge sur le front. Elle courrait avec son chignon mais sans ses lunettes. Je la vis froncer les sourcils en découvrant ses vêtements manquants, puis elle se dirigea vers mon bureau, sachant que je mangeais sur place maistotalement ignorante de mon passe-temps secret. Elle frappa, puis entra dans mon bureau, et je restai figé, incapable de réagir.
"Samuel (elle m’appelle par mon prénom, nous sommes assez proches), j’ai eu un soucis avec ma ..." commença-t-elle avant de me voir, à 4 pattes devant le bureau. "Oh!, continua-t-elle. On dirait mon tailleur et ma jupe!" "J’ai bien peur que ce soit le cas", confessais-je.Nous restâmes quelques secondes dans un silence gêné. "On dirait que tu aimes jouer à la secrétaire", dit-elle finalement en prenant un air plus sûre d’elle. Elle venait de poser les yeux sur ma chemise et mon costume. Elle sortit un instant et revint sans son bandeau mais avec ses lunettes ainsi que le reste de ses vêtements. Elle verrouilla la porte derrière elle. "Je suppose que tu ne serais pas contre jouer avec un patron un peu plus réel que juste ce gode fixé au bureau ?" me demanda-t-elle avec un regard que je trouvais vicieux. J’écarquillai les yeux et hochai la tête pour répondre "oui". "Puisque tu semble aimer mes vêtements, je vais essayer les tiens".Elle ôta son maillot - elle portait une brassière noire en dessous, et ses leggings - elle portait une culotte noire en dessous. Elle enleva ensuite brassière et culotte et s’essuya avec une serviette pour enlever sa sueur. Je ne pouvais la quitter du regard, mais je restai à 4 pattes, sans bouger. Ça ne semblait pas la gêner. Elle enfila son string en dentelle noire, puis se dirigea vers l’endroit où j’avais laissé mes propres vêtements. Elle mise d’abord la chemise, laissantles deux derniers boutons ouverts, puis mon pantalon et ma veste. Cette dernière était un peu large aux épaules mais, globalement, ma tenue lui allait plutôt bien. Je sentis ma bite durcir dans mon body. "Alors, dit-elle, comment trouves tu ton boss, chérie ?" "Très séduisant", répondis-je sincèrement. "Donc, tu aimes passer sous le bureau pour détendre ton patron".Je hochai la tête à nouveau. Elle s’assit dans mon fauteuil, me faisant signe de passer sous le bureau. "Au fait, quel est ton nom prénom ? me demanda-t-elle soudain. Samuel, ça ne fait pas très secrétaire." "Disons Sam, pour Samantha", répondis-je. C’est le pseudo que j’utilisais avec mes autres amies. Sam étant déjà mon diminutif, cela avait double sens en public. "Bien, Sam, reprit Linda. Disons que je suis assez tendue aujourd’hui. J’ai besoin de ton aide."Elle attrapa mon gode et le décolla du pied de mon bureau. Elle ouvrit la braguette de son (mon) pantalon et y glissa la base du gode, le maintenant droit avec sa main. Son autre main glissa sous le bureau et attrapa ma tête, la poussant gentiment vers le gland du gode. "Commençons par utiliser ta bouche accueillante", dit-elle.Je commençai à sucer le gode, dans la droite ligne de ce que je faisais lorsqu’elle arriva. C’est quelque chose que je maitrise plutôt bien maintenant.Elle conserva sa main sur ma tête et continua d’utiliser son autre main pour maintenir le gode en place, tout en se caressant légèrement.Elle me força rapidement à aller de plus en plus loin, jusqu’à me faire baver et voir couler quelques larmes sur mes joues. "Visiblement, tu as l’habitude de sucer cette grosse bite, et tu aime ça, me dit elle avec un regard vicieux. Vas plus loin".Elle poussa fort sur ma tête, enfonçant le gode loin dans ma gorge, tout en me pinçant le nez. Je devins rouge sous la difficulté à respirer et me sentis proche de vomir comme ma gorge voulait se dégager. Enfin, elle fit ressortir le gode, trempé de bave, et je repris bruyamment mon souffle, laissant un paquet de bave tomber au sol. Me voir ainsi semblait lui plaire, et elle recommença trois fois supplémentaire, restant un peu plus longtemps à chaque fois.Enfin, elle posa le gode sur le bureau et en fis le tour. "Sors de là dessous, m’ordonna-t-elle, je veux te voir de plus près".Je m’exécutai et me mis à genoux devant elle. Elle regarda d’abord mon visage légèrement maquillé et humide de quelques larmes, et ma perruque. "Joli, dit-elle. Il ne manque qu’une peu d’eye-liner pour faire un peu plus salope".Elle me mit ses lunettes. ’Une secrétaire vicieuse porte toujours des lunettes", justifia-t-elle.Elle me pelota ensuite les (faux) seins, poussant un grognement appréciateur. Elle défit les boutons du tailleur pour mieux apprécier la vue. "Vraiment aucun poil", apprécia-t-elle en se léchant les lèvres.Elle me fit remettre à 4 pattes pour inspecter mon cul. Après quelques petites claques qui me firent gémir, elle releva la jupe et passa la main sur mes fesses.Elle avait une vue plongeante sur mon cul occupé par le plug et mes couilles et ma bite enfermées dans le body. "Oh, mais c’est déjà ouvert et occupé ici", dit elle.Elle tâta mes couilles et glissa un doigt le long de ma bite. "Et tu me parais bien excitée, cochonne", ajouta-t-elle.Sans attendre de réponse, elle écarta le body, pour pouvoir accéder au plug. Après un instant d’hésitation, elle libéra également ma bite, qui se tendit aussitôt.Cela la fit rire. Puis elle commença à jouer avec le plug, tout en me masturbant avec son autre main, me faisant aussitôt gémir.Tandis qu’elle me masturbait lentement, serrant mes couilles tous les 4 ou 5 mouvements, elle commença à accélérer avec le plug, ce qui commença à me faire couiner assez fort. "Oui, ma cochonne, couine comme une grosse truie", me disait-elle, semblant prendre du plaisir à m’entendre.Elle continua quelques temps, avant de statuer que le plug était trop petit. Alors qu’elle retournait vers le bureau pour prendre le gode, je me décidai à lui avouer qu’il y avait une ceinture pour y fixer le gode dans mon tiroir. Elle ne demanda pas lequel, il n’y en avait qu’un qui était tout le temps verrouillé.En l’ouvrant, elle découvrit non seulement la ceinture, mais également mes autres jouets. "Oh, dit-elle, tu es plutôt bien équipé! Mais nous ne pourrons pas tout utiliser aujourd’hui", ajouta-t-elle après avoir regardé l’heure.Toutefois, elle sortit le second gode-ventouse et une paire de menottes en plus de la ceinture. "Enlève la jupe et le tailleur", m’ordonna-t-elle.Pendant que je m’exécutais, elle baissa son pantalon, et fixa la ceinture sur ses hanches puis y passa le gode. Elle remonta ensuite le pantalon, faisant sortir le gode par la braguette ouverte. Elle enleva la veste, qu’elle passa sur le dossier de ma chaise, puis releva les manches au niveau du coude, comme j’aimais le faire quand il fait chaud.Elle ventousa le second gode au bord du bureau, puis me fit approcher. Elle me coucha sur le ventre sur le bureau, de sorte que ma bouche soit au niveau du gode, jambes écartées, mon cul offert et ma bite pendante. Elle me fit un peu fléchir les genoux pour que mon cul soit au niveau de sa bite en plastique et m’attrapa par les hanches. "Parfais, dit-elle. Croise les mains dans le dos", ajouta-t-elle.J’obéis, et elle me menotta les mains dans le dos. "Maintenant, suce le gode, ordonna-t-elle. Je ne veux pas t’entendre couiner".Tandis que j’obtempérais, elle commença à rentrer lentement le gode dans mon cul, en me tenant les hanches, mon couinement étouffé par le gode dans ma bouche.Elle se glissa lentement en moi, mais mon cul est habitué et il se dilata rapidement, lui permettant de faire des va-et-vient de plus en plus rapides et profonds.Je suçais le gode en rythme avec ses mouvements, recommençant à baver et sentant de nouvelles larmes sur mes joues.Rapidement, elle attrapa les menottes avec une main et me claque les fesses de l’autre alors qu’elle me limait le cul rapidement et profondément, mes couinements toujours étouffés par le gode. Bientôt, je sentis la base du gode (et le pantalon) frapper mes fesses régulièrement, et je pouvais lécher la base de l’autre gode à ces moments là.Linda cessa bientôt de me fesser pour me masturber à nouveau, mais cette fois en rythme avec ses coups de bite.Mon corps réagit rapidement, et les jus de mon cul coulèrent le long de mes cuisses et quelques gouttes de sperme tombèrent de ma bite. Sentant que j’allais bientôt jouir, je cessai un instant de sucer pour informer Linda que j’avais une coupelle pour récupérer mon sperme dans le tiroir.M’ordonnant de "continuer à sucer, salope", elle cessa de me masturber pour récupérer la coupelle. Elle la maintint ensuite sous ma bite, lâchant les menottes pour me branler à nouveau.Quelques secondes plus tard, je giclai avec plaisir, mon sperme atterrissant dans le coupelle.Elle continua de m’enculer encore quelques instants, puis sortit de mon cul. Elle me libéra des menottes, s’assit dans ma chaise et me demanda de nettoyer le gode.Je m’exécutai sans rechigner. Je n’aime pas forcément le goût de mon cul, mais c’est loin d’être la première fois que je le goûte et je mis suis habitué.Rapidement, elle fit tomber pantalon et gode-ceinture, ainsi que sa culotte et elle me fit lécher sa chatte mouillée.Je découvris avec amusement qu’elle n’était pas totalement épilée, ce qui faisait d’elle la plus poilue de nous deux!Je pris plaisir à lécher et sucer sa chatte, et elle ne tarda pas à jouir elle-même. Son jus avait bon goût et je la nettoyai rapidement.Alors qu’elle me dirigeait vers son propre anus, mon alarme sonna. "Qu’est-ce que c’est ?" demanda-t-elle en me laissant l’arrêter. "La fin de la pause, répondis-je. Les collègues seront bientôt là. Toi aussi, normalement", ajoutai-je en rougissant un peu.Elle comprit aussitôt, et nous nous changeâmes rapidement. Alors que je rangeais les jouets dans le tiroir, Linda me demanda si elle pouvait garder le gode-ceinture dans son propre tiroir. Sans hésitation, je lui tendis avec un sourire. "A bientôt, Sam", me dit-elle avec un clin d’œil en repartant dans son bureau.
Diffuse en direct !
Regarder son live