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Fantasmes d'étudiants

Chapitre 1

Divers
Je m’appelle Julien, j’ai 25 ans, je fais ma vie avec ma petite amie Clothilde, depuis maintenant 8 ans. Je prépare l’agrégation de mathématiques, option calcul scientifique.
Dans ma vie, j’ai aussi ma meilleure amie, Émilie, que j’ai connu pendant ma première année à l’université.
Avec Émilie, on se dit tout, on a pas de secret l’un envers l’autre. On est proche, très proche, peut-être parfois tellement proche que nos deux corps ne font plus qu’un... Avec Émilie, nous avons une passion en commun : le sexe, sous toutes ses formes. Nous adorons en parler à longueur de journée, nous raconter nos fantasmes les plus inavouables, cela nous met en émoi toute la journée. Comme ça le soir, Émilie et moi sommes assez chaud pour pouvoir passer du bon temps avec notre conjoint respectif, car Émilie est mariée à Nathan depuis un an maintenant. Mais il arrive parfois, comme je le disais plus haut, que nos deux corps ne fassent plus qu’un avec Émilie. Car rien que l’idée de tromper nos conjoints faisaient déjà palpiter nos cœurs à très grande vitesse, mais passer à l’acte nous faisaient tressaillir de plaisirs.
Ses moments de plaisirs sont très rares car Émilie et moi n’habitions pas dans la même ville, et comme nous travaillons toute la semaine, cela nous laisse que le weekend pour nous voir. Pour être que tous les deux, il faut que Clothilde ne soit pas là du weekend, ce qui nous laissait encore moins d’occasion de se voir et de profiter de l’un l’autre.
Ce week-end là justement, ma petite amie voulait rendre visite à ses parents. Je ne pouvais pas aller avec elle car je devais réviser pour l’agrégation (bien sûr je n’avais qu’Emilie en tête et ses très jolies seins, rien que d’y penser j’avais une bosse dans le pantalon, elle m’excite tellement). Je demande donc à Emilie de venir sur Paris ce weekend-là pour se voir (mais pas que, mais il est sûr que l’on ne fera pas que jouer au Scrabble...). Elle accepta et me dit qu’elle a hâte d’être près de moi, très près de moi... Rien que ces mots font rentrer mes mains a l’intérieur de mon pantalon et ces mêmes mains se sentent obligées de caresser mon sexe qui demeuraient déjà tout dur rien qu’en pensant au sublime corps d’Emilie. Je me suis résolu à descendre mon pantalon et mon boxer pour me masturber afin de chasser l’idée perverse que j’ai du corps d’Emilie (de ses gros seins et de son magnifique cul).
Le samedi arriva et je vis Emilie sortir de son train, nous nous faisons une accolade de retrouvailles sur le quai de la gare, puis nous nous embrassons longuement, elle insinua sa langue dans ma bouche et nos langues tournaient dans nos bouches. Sa poitrine frottait contre mon corps, la première chose que je pensai sur le moment, c’était de la prendre, tout de suite, sur le quai de la gare. Je lui caressai les fesses par-dessus sa jupe tout en continuant à faire joujou avec nos langues. Emilie était désirable, et je la désirais énormément, de plus en plus. Emilie se frottait un peu plus contre moi pour sentir mon membre en érection, elle aimait jouer avec moi, surtout dans des endroits publiques.
Nous entreprenons d’aller prendre le métro pour rejoindre mon domicile. Il était 10h, à cette heure-ci, le métro était rempli, nous nous étions résolus à le prendre quand-même.

Nous étions serrés les uns contre les autres, et Emilie était contre moi, tout son corps était contre le mien, ça m’excitait encore un peu plus et je sentis mon membre s’engourdir sur le coup. Comme on était serré dans le métro, elle le sentit immédiatement et en joua de nouveau : elle commençait à se trémousser dessus pour l’exciter encore un peu plus. Emilie sentit que je frémissais, elle sourit et continua ses petits mouvements de corps sur mon sexe. Une petite minute plus tard, elle lâcha une barre du métro pour venir la loger sur mon pantalon au niveau de mon sexe tendu. Comme le métro était bien bondé, personne ne pouvait voir ce qu’elle faisait, juste moi qui sentait sa main caresser mon gland à travers mon pantalon. Je fais une remarque en la regardant :
— il commence à faire chaud dans ce métro ! — Ooooooh oui tellement chaud.
Elle me souriait de nouveau. Un sourire qui me disait « tu vas voir dans 30 secondes, il va faire encore plus chaud ». Elle ne s’était pas trompée, elle déboutonna les deux premiers boutons de mon pantalon et glissa sa main dedans. A l’intérieur de mon boxer, elle avait à présent ma bite en érection dans sa main, alors que nous étions entourés de parfaits inconnus ! C’était excitant, elle me branlait dans le métro !Je commençais à respirer un peu plus vite et un peu plus fort, elle s’avait y faire Emilie, elle avait des mains d’experte. Mes mains étaient restées sages jusqu’à maintenant, mais elles aussi avaient envie de s’amuser et de voir ce qu’il se passait sous la jupe d’Emilie. Elles commencèrent donc à caresser les fesses d’Emilie pour venir ensuite vers l’avant. Emilie commençait à avoir chaud elle aussi dans le métro, mes mains ont réussi à se loger à l’intérieur de sa jupe, je pouvais à présent toucher sa petite culotte, et, au niveau de son sexe, elle était très humide. Tout en continuant à me branler, Emilie pouvait sentir une de mes mains dans sa culotte.
Il nous restait 5 arrêts de métros à parcourir avant d’arriver à destination. 5 arrêts où l’on se masturbait mutuellement, une vraie jouissance !! Il y a tellement de monde que personne ne pouvait soupçonner le plaisir que l’on se donnait, cette idée nous faisait frémir encore plus. À mesure que je faisais tourner le clitoris d’Emilie autour de mes doigts, elle me branlait encore un peu plus frénétiquement, son rythme cardiaque s’accélérait, et je voyais Emilie se pincer les lèvres pour éviter de crier dans tout le métro, mais elle ne pût se retenir quand j’insinua un doigt dans sa chatte humide, elle lâcha un râle de joie :
— haaaaaaaaaaaaaaa.............. 
Les personnes aux alentours commençaient à nous regarder, et nous nous résolûmes à arrêter notre séance de branlette, nous arrivions de toute manière à la station.
Pendant la cohue de la descente, je remis tant bien que mal les deux premiers boutons de mon pantalon, elle riait car elle voyait que je ramais, ma bite étant encore bien excitée. On descendit du métro, Emilie me prit la main et me dit :
— j’ai eu chaud dans le métro, pas toi ? - oooooh oui ! Je me demande à cause de qui !
Elle sourit et nous marchions jusqu’à mon domicile.
Nous arrivons à la porte de mon immeuble, franchissons les portes menant à l’ascenseur, j’ouvris la porte de l’ascenseur, laissa entrer Emilie dedans. Arrivés entre le deuxième et le troisième étage, Emilie appuya subitement sur le bouton d’arrêt d’urgence de l’ascenseur et ce dernier s’arrêta d’un coup. Emilie avait son sourire pervers au coin des lèvres. Visiblement, la branlette du métro lui avait donner quelques idées. Cette fois, nous n’étions que nous deux dans cette ascenseur, mon cœur commençait à cogner dans ma cage thoracique quand Emilie entreprit de me déboutonner totalement mon pantalon. Celui-ci glissa le long de mes jambes et Emilie baissa aussi mon boxer, laissant ainsi ma bite, devenu en érection.Elle commençait par branler mon membre avec sa main, elle voulait le faire durcir un peu plus... Quand elle jugea que ma bite était assez dure, elle la fourra dans sa bouche et la suça de tout son long. Elle faisait cela extrêmement bien, elle me suça le bout de la queue tout en branlant le reste du membre avec sa main droite. Je ne pus m’empêcher de râler de plaisir la bouche ouverte dans la cage d’ascenseur. Elle aimait ça me faire crier cette petite coquine d’Emilie, elle a vraiment une bouche à sexe ! Elle continuait de me sucer de plus en plus vite, et je prenais de plus en plus de plaisir, mais je ne voulais pas qu’elle aille jusqu’au bout. Je lui fis signe d’arrêter, elle se remit debout, je profitai de cette occasion pour remonter sa jupe pour avoir accès à sa culotte. Cependant, il y avait un obstacle : Emilie portait un collant. J’avais tellement envie de lécher son clitoris que, sous l’impulsion, je décidai de le déchirer au niveau de l’entrejambe pour avoir accès plus vite à son sexe. Après cette épisode impulsif, elle mit un pied sur la main courante de l’ascenseur pour bien écarter les cuisses que je puisse avoir pleinement en bouche son sexe. Je me baissai à mon tour pour avoir la bouche au niveau de son clitoris. Emilie était impatiente que je comble le petit centimètre qu’il y avait maintenant entre son sexe et et ma bouche, tellement impatiente que c’est elle-même qui mît ma tête contre son sexe. Je sortis ma langue et je fis tournoyer ma langue autour de son bouton, Emilie mit instantanément sa tête en arrière, et commença à respirer très fort, je sentais qu’elle ne pouvait plus se canaliser. Je continuai mes tours de langues et j’introduisis un doigt dans son trou humide. Emilie poussa un petit cri à ce moment-là, elle ne s’y attendait pas.
J’entendais les gens aux étages qui se plaignaient parce que l’ascenseur ne fonctionnait plus. Après un ultime coup de langue sur son clitoris, je retirai mon doigt de son sexe humide, me relevai. Emilie voulut goûter à son jus, je plaçai donc mes doigts souillés de mouille à proximité de sa bouche. Elle les engouffra et les suça avec délectation. Elle remit sa culotte à sa place, elle baissa sa jupe et remit l’ascenseur en service.
Nous nous arrêtions à l’étage où se trouvait mon appartement, et, ô joie intense, personne n’attendait à cet étage, personne ne pouvait savoir que c’était moi dans cette ascenseur avec une autre femme que Clothilde.
Nous étions encore extrêmement bouillant, désirable à se donner l’un l’autre. Emilie me supplia d’ouvrir très vite la porte de mon appart pour pouvoir se faire pénétrer, elle ne pensait plus qu’à cela, après de tels préliminaires. Elle déboutonna les boutons de mon pantalon en même temps que je cherchais les clefs de chez moi dans ma poche de manteau, et quand la porte s’ouvrit, je sentais mon pantalon glisser sur mes jambes une nouvelle fois.
Elle était déchaînée, elle ne pouvait plus attendre. Je retirai mes chaussures en toute hâte, mon pantalon alla avec les chaussures, Emilie fit de même et se dirigea vers le premier endroit où elle pouvait se faire prendre : la table de la cuisine. Elle ne se fit pas prier, elle m’attendait, assises sur la table la jupe relevée, les cuisses écartées, en train de trifouiller sa chatte pour ne pas se refroidir. Je lui mis ses jambes par dessus mes épaules, et je fis rentrer mon membre dans son trou humide. Elle poussa un râle de plaisir qui venait du fond de ses entrailles, et je commençai à la pilonner avec ma bite. A chaque fois qu’elle s’enfonçait en elle, Emilie râlait un peu plus fort. Les spasmes commençaient à parcourir tout son corps, je sentais qu’elle allait jouir dans pas longtemps.En même temps que mes coups de boutoirs, j’avais ma main gauche sur son sein gauche qui gesticulait à chaque fois que je m’enfonçais dans la chatte d’Emilie. Elle eut un petit cri aigu quand je lui ai pincé son teton, elle adorait ça que l’on s’occupe de ses seins. Je sentis que ma queue se crispa quand j’ai accéléré mes allers-retours dans le sexe de ma partenaire. Je parcourais toujours ses seins avec ma main pour lui donner un maximum de plaisir. Emilie ne pouvait plus se contrôler, ses cris provenaient du plus profond de son corps, elle jouissait intensément, tout l’immeuble pouvait l’entendre mais elle s’en moquait, c’était vraiment trop bon. J’ai arrêté mes va-et-vient en elle car je sentais que le sperme montait et ma gourmande de partenaire aimait sucer ma queue chaude prête à exploser. Je m’avançai vers son visage, mit ma bite au niveau de sa bouche. Elle prit ma queue brûlante avec sa main, la fourra dans sa bouche et à peine avait-elle commencé de me sucer que le foutre brûlant s’échappa de mon sexe pour mon plus grand bonheur. Emilie mangea entièrement mon sexe pour ne pas perdre une miette de mon sperme, c’est un petit plaisir (parmi tant d’autres) de ma gourmande de partenaire.
On pouvait entendre des « huuuuuuuuuuuuuuum..... » de la part d’Emilie et des « Aaaaaaaaaaaaaaah... haaaaaaaaaaaaaaan... » de ma part. Après cette acte plein d’amour, nous soufflions et nous nous embrassions passionnément. A suivre...
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