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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Faudra repasser

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Encore un automne frileux. J’ai pris mon baluchon et je suis parti faire les vendanges. Une petite exploitation, une dizaine de vendangeurs, patron compris. Le sol était recouvert d?une neige glacée inhospitalière. Quelle idée d?attendre aussi tard pour ramasser quelques grappes de raisin pourri !     J?aurais préféré être à la hotte. Des rangées entières à se courber le dos, très peu pour moi. Heureusement qu?au bout de l?allée il y avait inévitablement une gorgée de rouge qui nous attendait. Au fil de notre progression, la gorgée devenait rasade, pause clope ou arrêt pipi. Et tous les prétextes étaient bons pour rester cinq minutes de plus les mains dans les poches, pour tenter vainement de se les réchauffer. J?ai toujours eu un faible pour ces boulots zarbis, cela me procure l?ineffable bonheur de m?apitoyer tristement sur mon sort.    Le soir, pas question de rentrer chez moi. J?habitais à 50 bornes. Et puis, en plus, on finissait relativement tard et souvent à moitié bourrés. Et aucun transport en commun dans ce petit village, et surtout pas à cette heure !    De toute façon je n?avait pas non plus spécialement envie de rentrer chez moi. A l?époque c?était de la taille d?un placard à balais avec en plus un indescriptible foutoir qui constituait à lui seul les reliques de mon existence.    Nous nous retrouvions donc à sept, huit, dix, parfois même une douzaine, autour d?un casse-croûte campagnard et puis d?une bonne soupe chaude arrosée de bon vin, histoire de parfaire notre emprise alcoolique. Les blagues fusaient bon train, souvent bien grasses et toutes très campagnardes, juste un poil au dessous de la ceinture.     Il y avait quelques donzelles pour s?y fricoter, à commencer par la patronne qui n?était jamais la dernière et puis Madame Yvonne (La maîtresse du patron ?) qui n?avait pas, elle non plus, sa langue dans sa poche.     Quoiqu?il en soit, nos regards se posaient plus volontiers vers les vendangeuses : A commencer par la belle Alexandra avec ses grands yeux noirs, toujours extrêmement courtisée. Et puis Miss Stéphanie, une des filles des patrons, son seul défaut était d?avoir un horrible bouton disgracieux sur la lèvre supérieure. Et la petite dernière, Janine, un petit bout de femme complètement effacé, inexistante. Il aurait presque fallu la tabasser pour qu?elle daigne sortir plus de deux mots.     Et tous les soirs c?était la course, la course aux alexandrins pour Alexandra. Les mâles devenaient nerveux pour cette beauté d?Alexandrie, à tel point qu?ils en venaient presque à se foutre sur la gueule pour le simple plaisir de poser leurs culs à ses côtés.     10 jours de galère à se cailler avec un mal au dos épouvantable, le tout sans une meuf à se mettre sous la main (nous dormions dans un dortoir dans les odeurs de pieds sales), ça met les nerfs à fleur de peau et ça remplit les couilles. C?est pour ça que nous étions aussi nerveux.    Devant tant d?insistance, à la fin ça m?agaçait, j?ai laissé tombé, j?ai cédé ma part, je ne suis pas du genre mâle dominant. Alexandra je leur laissais, de toute façon elle ne voulait apparemment ni des uns ni des autres. Et, donc, par fait exprès, j?arrivais invariablement le dernier au souper et tout aussi invariablement je me retrouvais assis aux côtés de... Janine ! Et de ce côté là aucune concurrence !     Nos échanges s?étaient limités jusque là à des ? Passe-moi le pain ?, ? Merci bien ?, sans compter l?inévitable ? Salut ? qui conclut tout échange en cette bonne société. Mais au moins j?étais peinard, personne ne me cassait les pieds. Et puis, à force de faire le pitre, j?ai fini par la dérider... un peu ! Elle n?avait vraiment pas beaucoup de conversation. Coincée de chez coincé, je vous dis.    Et puis, un soir en se levant, je tombe nez à nez avec son beau cul, pas gigantesque ni disproportionné mais bien plein, si vous voyez ce que je veux dire, rembourré et confortable, deux bonnes paires de fesses bien charnues. Et dire que cette fille là était toute maigre, elle avait un tout petit corps menu, presque rachitique, il n?y avait que le cul qui s?était épanoui ! Mystères de la nature. Et ce cul bien large, appétissant, se dandinait devant mes yeux.     Je n?ai pu m?empêcher de comparer avec celui d?Alexandra qui était debout derrière elle. La divine Alexandra avait un cul bien trop plat, comme quoi elle n?était pas parfaite. Ah, lala, créateur de mes deux, t?aurais pas pu foutre les fesses de Janine au derrière d?Alexandra.    A partir de ce jour, mes pensées se sont un tant soit peu focalisées sur le derrière de Janine. Je me suis même touché la queue une ou deux fois, en y pensant, avant de m?endormir.    Du coup, le soir, je voyais les choses différemment. En parlant à Janine je pensais à son merveilleux fessier charnu qui n?attendait que ma bite.    Et quand je relevais la tête au bout de la rangée, c?est lui que je cherchais des yeux.    C?était le dernier soir. Non, plutôt l?avant dernier soir.     Je n?avais presque pas bu et même très peu fumé, pas pour être raisonnable mais parce que je me sentais vaseux. Mon foie n?avait pas trop supporté l?alcoolémie de ces derniers jours et s?était mis en crise, ouverte et biliaire. J?avais été malade comme un chien tout au long de cette piteuse journée qui n?avait servi qu?à exacerber mon ressenti vis à vis de la vigne et tout ce qui s?y rattache.    Toujours est-il qu?après le café je propose à Janine d?aller faire un tour, histoire de prendre l?air. Idée stupide, me direz-vous. Nos pas nous entraînent vers ce bâtiment qui contient ces grandes cuves où macère le pinard.     J?étais ressorti à un moment, besoin d?une bouffée d?air froid pour calmer mon état. Lorsque je suis revenu, Janine me tournait le dos, debout devant un tonneau.     Si vous voyez une poire, vous imaginez Janine : Des hanches assez larges, un cul fort rembourré et un corps tout menu. Mis à part cela, une femme quelconque, probablement moins intéressante que les milliers que vous rencontrez tous les jours dans la rue mais similaire à la plupart de celles qui hantent les rayons des supermarchés.     Je suis presque tombé à genoux et en extase devant ces fesses qui hantaient mes fantasmes.     Mais nous nous sommes contentés de nous asseoir bien sagement tous les deux sur une barrique.    - Tu as aimé faire les vendanges ?    - J?ai eu très mal au dos mais j?ai bien aimé l?ambiance.
    Comment diantre pouvait-elle avoir apprécié cette ambiance en y ayant si peu participé ?    - Et maintenant, tu vas faire quoi ?    - Je vais reprendre mes ménages.    Généreuse perspective !    - Et toi ? se crut-elle obligée d?ajouter.    - Sais pas, faut que je me trouve du boulot, un vrai boulot je veux dire. Mais je ne sais pas faire grand chose à vrai dire.     S?en suivi un long silence fort reposant. C?était le genre de nana pas chiante du tout, qui te prend pas la tête. Nous pouvions presque entendre le bruit de la fermentation à quelques pas de nous. Il paraît que si tu te penches sur la cuve tu peux mourir ivrogne.    Et là, je ne sais pas pourquoi, l?ambiance ? l?étranger de la situation ? Soudain me vient l?idée de poser une main sur une de ses fesses. Et encore je ne dis pas ? effleurer délicatement son divin fessier ?, mais ? poser ma grosse paluche sur son gros cul charnu ?. Quelle idée ! A aucun moment durant ces quinze jours je n?avais osé aventurer un contact et là, d?un seul coup, nous devenions profondément intimes.    Elle aurait pu se retourner et me balancer une claque, ou alors simplement acquiescer ou protester, émettre un guttural symbole. Mais non, rien, aucune réaction, le vide complet. Une telle passivité m?encouragea à aller un plus loin et à glisser ma main carrément sous ses fesses pour mieux les malaxer. De bien curieux attouchements et elle se laissait faire sans broncher et c?est cela qui m?excitait. Que voulez-vous ? Palper son beau derrière me donnait à moi la trique.     Je l?invitai à se mettre debout devant le tonneau pour poursuivre plus avant mes investigations et malaxer ses fesses. Quel pied c?était de malaxer le trognon de cette poire ! Et même à travers ses habits.    Ensuite, n?y tenant plus, je baissai son jogging, entraînant du même élan sa culotte, son cul rond et blanc à portée de la main, tandis qu?elle, toujours passive, se laissait molester.     Il était exactement comme je l?avais imaginé, d?une blancheur toute laiteuse.    Quel cul mes amis ! J?avais pourtant connu de forts jolies femmes, mais ces deux globes charnus étaient les sept merveilles du monde à eux seuls.     Ecartant les hémisphères, je glissai mon doigt dans sa raie, une fois, deux fois, insistant à chaque passage sur son orifice. Elle avait un derrière à se faire enculer, je ne sais pas pourquoi, il inspirait les plus sombres desseins et l?on avait envie de délaisser sa chatte pour inspecter son trou noir.    L?instant était tellement unique que, quelques secondes plus tard, j?avais déjà mouillé mon doigt pour l?enfoncer dans ses entrailles, quelques allers venues, un autre doigt plus gros pour l?agrandir. Une jeune femme aussi timide et effacée, les fesses à l?air au beau milieu d?un chais, en train de se faire doigter le cul sans moufter : mon sexe me faisait souffrir tellement j?avais envie, d?elle, de son cul, de l?enculer.    Mais j?avais aussi envie de bien la préparer pour qu?elle en garde un bon souvenir. Un doigt, deux doigts, trois doigts, je l?élargissais peu à peu mais toujours avec douceur, n?hésitant pas à y mettre aussi la langue pour la mouiller abondamment.    Avait-elle déjà été sodomisée ? Ce n?était guère le moment de lui poser la question de peur de rompre le charme. Je pense que oui, une ingénue n?aurait pas accepté tel traitement sans une pointe de frayeur    - Penche-toi un peu en avant.    Elle obtempéra, toujours sans rien dire, et se laissa limer l?anus encore de longs moments.    Puis je sortis ma queue et la posai sur sa rondelle. Ce bon gros cul appelait l?enculade.    Tout le temps que ma bite s?est enfoncée en elle, elle n?a émis aucun son, peut-être se mordait-elle les lèvres mais elle n?en laissa rien transparaître.     Une fois dans ses entrailles, j?attendis un moment avant de bouger. En soi la sensation était exquise. Et puis de voir mon dard planté dans ce divin fessier !     - Tu sens ma bite dans ton cul ? Tu aimes ça ?    Aucune réponse. Bien sûr qu?elle aimait ça. Allait-elle jouir du cul ? Avait-elle déjà joui du cul ? Mon mouvement de va et vient lui convenait-elle ? En tout cas elle ne protestait nullement.     Mais devant le doute provoqué par tant de mutisme, je posai ma main sur sa chatte. Elément déclencheur, elle jouit presque instantanément en couinant comme une petite souris prise au piège.    Alors, j?accélérai le rythme, je voulais profiter de cette sodomie au maximum, user et abuser de son gros derche, de cet attentat à la pudeur, de cet appel au viol. Au cours de mon ramonage frénétique, je la sentir jouir une nouvelle fois, plus profondément sans doute, ce qui acheva de me faire exploser en elle. Dans un dernier mouvement de rein, j?expulsai toute ma semence au plus profond de ses entrailles.Un peu plus tard, nous nous sommes séparés, rhabillés, et puis nous sommes rentrés, mais toujours sans rien dire. Elle a pris la direction de la chambre des filles, juste un petit coucou de la main en montant l?escalier, et moi j?ai rejoint le dortoir des mecs. Je suis parti le lendemain matin comme un voleur, direction le toubib, mon foie me jouait des tours...     Je suis retourné là bas quatre ou cinq jours plus tard réclamer mon salaire, Janine n?était plus là, bien évidemment.    Pourtant, quand j?ai demandé de ses nouvelles, la grosse Yvonne m?a crédité d?un clin d?oeil bien salace :    - La petite Janine ? Elle a demandé de vos nouvelles avant de partir, elle voulait absolument savoir où vous habitiez, mais nous n?avions pas votre adresse.    - Et la sienne ?    - La sienne quoi ?    - La sienne d?adresse !    - Ô, il faudrait demander au patron, je ne sais pas où il a mis ça.    - Il est où le patron ?    - Faudrait repasser plus tard.    Plus tard mais quand ? Son expression restait pleine de sous-entendus : ? Qu?est-ce que vous avez fricoté tous les deux mes cochons ? ? semblait-elle vouloir demander. Et moi je lui aurais répondu : ? Je l?ai sodomisée bien à fond, elle ne demandait que ça ?.    - Faudra repasser plus tard.    Je n?ai jamais eu l?occasion de repasser. Et maintenant il est trop tard, beaucoup trop tard !
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