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Faut pas voler

Chapitre 2

Voyeur / Exhibition
(J’avais confié aux lectrices et aux lecteurs d’imaginer la suite des opérations, suffisamment en train, pour m’épargner une rédaction détaillée de ce qu’il advint à mon épouse.. Je reprends donc l’après)
Ça ne va pas bien dans cette pièce : Françoise a gémi et crié sous plusieurs orgasmes, elle est couverte de sperme sur le visage, sa fente en dégouline, je n’ai pas bougé de ma chaise, témoin passif (à l’exception de mon sexe bandé au plus fort) , elle est pantelante, j’ai honte, pour moi, pour elle. Nous ne pouvons croiser nos regards. Les vigiles, très satisfaits, lui tendent un rouleau de sopalin. Elle s’essuie le plus gros, le visage, l’entre-jambes. Le chef ouvre la porte, nous invite à sortir, nous raccompagne à la sortie du magasin, sans un mot. Nous marchons vers l’arrêt de bus, je tente de m’approcher d’elle, de lui dire quelques mots, elle me repousse, muette, le nez baissé. Le bus, l’immeuble, l’appartement, rien, rien, mutisme, visage sombre. Elle s’enferme à la salle de bains, la douche coule longtemps, je reste à la cuisine, sans bouger. Elle sort, le petit couloir, la porte de notre chambre se referme. Je vais préparer le café pour demain matin, boulot boulot. Et puis je vais essayer de dormir dans le canapé, ça vaut mieux, même si c’est la première fois. Pour qu’elle reste seule, lui ficher la paix.
Je rumine, je ressasse, je clope, je bois, je ne dors pas, saleté de canapé à la noix. Nom d’un chien, comment va-t-on faire ? Et qui est le plus gêné des deux ? Mais comment a-t-elle pu s’éclater dans ces conditions, sordides ? Mais comment ai-je pu laisser faire ça, et y prendre mon pied ? Pas sortis de l’auberge les deux..
Dring, café solo, je m’en vais plus tôt qu’elle, qui finit par apparaître, triste mine, juste le bisou habituel, les yeux dans le vague. «Tu veux que je vienne te chercher quand tu quittes ?», noon, fait-elle de la tête, second bisou, je file au taf. Et ras le bol, ce Rer bondé, je les déteste mes congénères, ils ne savent pas, eux, ce qu’on peut se sentir parfois aussi mal. Patience, on verra, là je vais travailler et il me faut rester concentré.
Bon, bonne journée, bons résultats, je tiens bien la route. Je ne sais pas exactement à quelle heure quitte Françoise, ses horaires sont variables. Je verrai bien, et rebelote dans les transports, boîtes à sardines ou harengs en caque ? Déprimant, même avec l’habitude. Appartement, je suis le premier, je repense à hier, fort perplexe, je décide de la faire enjoué, sans trop. Un petit apéro pour anesthésier les neurones.. La voilà.. Super, elle aussi enjouée, ouf ! Nous trinquons, bavardages habituels sur nos boulots, nos journées, tout va pour le mieux. Je ne dormirai pas dans le canapé, me dis-je in petto..
Le lit ce soir, c’est pour dormir. Aucun signe, ni d’un côté, ni de l’autre. C’est bien comme ça, laissons passer la méchante expérience d’hier.
Nouvelle journée, nouvelles routines, j’ai juste repris le moral. Apparemment elle aussi. Peut-être s’est-elle confiée à ses copines de travail ? Peut-être.. Je rentre à nouveau avant elle, et, de bonne humeur, je me décide à aller chez le photographe du quartier, un artisan à l’ancienne avec son propre labo noir et blanc, lui déposer un bobineau de photos de pique-nique avec des copains, qui traîne depuis un moment déjà. Il m’accueille avec un petit sourire, enregistre mon dépôt, puis m’invite à le suivre dans son labo. Et tout bascule à nouveau..
Il ouvre un tiroir de classeurs, en prend un, et sort d’une enveloppe plusieurs agrandissements qui me stupéfient : ce sont des photos prises la semaine dernière dans le local des vigiles du magasin. Je comprends instantanément que c’est le troisième qui les a prises, et que je n’avais pas remarqué. C’est complètement fou, du porno vraiment hard : Françoise s’appuyant sur les bords du bureau, embouchant le 1er vigile, cambrée, la croupe dressée, enconnée par le second. Du plan large, des gros plans, et surtout son visage parfaitement reconnaissable.. Et ça me reprend, belle érection instantanée..
Le photographe (avec qui je m’entend bien depuis longtemps), un quinquagénaire assez grand, mince, genre «osseux», me laisse à mes rêveries quelques instants. Puis il me dit :
— D’après ce que j’en ai entendu il ne s’agit pas d’un viol..— …— Sinon vous auriez porté plainte, non ?— (d’une voix faible) Oui, certainement..— J’ai aussi entendu dire que votre épouse avait eu plusieurs orgasmes, de belle intensité. Vous pouvez me le confirmer ?— ...— J’ai cru comprendre aussi que le spectacle ne vous avait pas déplu ?
— (rougissant, la tête baissée) ...— Je pense que votre épouse, et vous-même, vous avez découvert que sa libido était très intense. Ça m’intéresse au plus haut point, étant érotomane de longue date. Et je compte profiter de la situation..— ??— J’ai aussi le sens des convenances. Je dispose donc d’un puissant moyen de pression, mais pour moi ce n’est pas du chantage. J’ai plutôt l’idée de faire en sorte que la libido de votre épouse soit poussée à son terme, pour son plus grand bien. J’imagine que vous y trouverez aussi votre compte, entre frustration et excitation. Et moi je vais me régaler.. Vous me suivez ?— ...— De toutes façons vous n’avez pas le choix : ou vous déménagez rapidement, ou tout le quartier sera au courant..— ...— Votre silence, cher ami, vaut acceptation. Vous allez donc suivre mes instructions à la lettre. Quand vous reviendrez chercher vos tirages faites-en sorte que votre épouse vous accompagne. Et faites de votre mieux pour qu’elle porte une jupe ou une robe. Je ne vous en dis pas plus. Vous êtes d’accord?— (faiblement) Oui..— Bien.. Et essayez de venir vers 19 heures, à la fermeture du magasin, que nous ayons un peu de temps. Et pas un mot à votre charmante épouse, bien sûr. Au fait, quel est son prénom ?— … Françoise.— Bien.. Et vous, c’est Jean, je crois ?— Oui, c’est ça.— Allez.. À la semaine prochaine !
Je sors du magasin, abasourdi. J’avais pensé que l’épisode si peu glorieux s’estompait, tant pour elle que pour moi, et c’est un boomerang qui nous revient, avec violence. Je suis inquiet, mais tout en marchant vers notre appartement je me dois de reconnaître qu’une certaine excitation me gagne. Serais-je un pervers qui s’ignorait ? Je ne sais pas trop, mais je pense que oui, tout de même.
La semaine se passe bien, Rer, boulot, dodo. Françoise est redevenue câline, et nos câlins nocturnes sont délicieux. Avec cette idée permanente, obsédante, qui me lui fait faire l’amour avec plus de vigueur que ces derniers temps : «Que va-t-il se passer chez le photographe ?». Je ne vis plus que de cette attente..
Le jour, autant attendu que craint, arrive. L’horaire de travail de Françoise est compatible. Il a fait très beau, elle porte déjà une jupe, un peu au-dessus du genou, un chemisier coloré, les jambes nues, et des petits talons qui la rehaussent un peu. Le photographe nous accueille cordialement, nous présente au comptoir les tirages des photos du pique-nique. Il n’est pas encore 19 heures, mais il va fermer la porte du magasin et nous invite à le suivre dans son labo. Françoise passe devant, réjouie de visiter le laboratoire..
Le photographe (au fait, on l’appelle Max) présente un peu les lieux, la chambre noire pour le développement des négatifs, la tireuse et les bains. Revenant dans la première pièce, le stock de matériel et son bureau, il va directement aux classeurs, et refait à Françoise le coup des agrandissements.. Elle rougit violemment, pétrifiée devant les photos. Max les reprend, les range, la regarde :
— C’est gênant n’est-ce pas ? Vous avez honte je vois bien. Mais il ne fallait pas chaparder. Et ne pas vous laisser séduire aussi facilement, même sous la pression. En tout cas je vois bien que vous n’avez pas été violée, sinon vous auriez porté plainte avec votre mari, n’est-ce pas Jean ?— (Françoise est maintenant blême, reste muette). — Écoutez Madame, il semble bien que vous ayez joui intensément, ce qui est tout à votre honneur de femme. Mais, seriez-vous ce qu’on appelle une «femme facile» ? Je suis très intéressé à le savoir. Votre mari aussi semble-t-il, puisqu’il n’a pas bougé et vous a laissé aux mains des deux hommes. Seulement je sais bien que vous ne l’accepterez pas de vous-même, et je vais devoir user de contrainte, vous saisissez ? — (Chancelante, Françoise s’asseoit dans le fauteuil du bureau).— Vous n’avez pas trop le choix : si vous n’exécutiez pas mes prescriptions, je diffuserais les photos dans les boîtes de votre immeuble. Ou alors, il vous faudrait déménager sans tarder, vous voyez ?
Nous restons tétanisés tous les deux, sans oser nous regarder. De mon côté mon excitation s’est évanouie. Nous n’en menons pas large, attendant de connaître la suite des idées de ce maître-chanteur, pervers au possible. Ça ne tarde pas, il prend un sac de toile posé sur son bureau et en extrait tout un assortiment de sous-vêtements féminins outrageusement sexy : des «soutien-gorges» qui remontent les seins sans couvrir les tétons, des strings et tangas largement ouverts sur le devant et l’arrière, des collants du même acabit, provocants comme il n’est pas permis.
Il sourit en regardant Françoise :— Voilà ! À partir de maintenant vous ne porterez plus que ces sous-vêtements. Ils ne sont pas prévus pour une jeune femme bien élevée comme vous, mais, à la longue, ils vous donneront peut-être des idées.. Nous verrons bien. Quoiqu’il en soit vous serez forcément gênée au début, et je ne peux vous faire confiance. Vous serez donc contrôlée, sans que vous soyez prévenue. À chaque fois, la personne qui le fera vous présentera ce petit bristol imprimé comportant cinq cases, et vous la laisserez faire son travail, où que ce soit, quand que ce soit. À chaque vérification une case sera cochée. Une fois la carte complétée, vous reviendrez me voir. Vous avez compris ?— …— (il me faut dire quelque chose..) Mais, ces contrôles se feront comment ?— Je vois que Monsieur est intéressé ! Cela dépendra du lieu. Soit visuellement, les seins, le pubis, les fesses, avec trois photographies, sans le visage. Soit manuellement, en cas d’affluence, vous voyez ?!
Je cède, et ne répond pas. Françoise reste comme prostrée dans le fauteuil.
— Bon ! L’heure tourne, exécution. Madame, vous allez passer vos nouveaux sous-vêtements, vous avez le choix, forme, coloris.. Et vous rhabiller, nous vous laissons seule, à tout de suite.
Et nous repassons dans le magasin pendant que Françoise se change.
— Vous êtes prête ?— (un petit «oui», à peine audible)
De retour dans le labo, nous la retrouvons plantée au milieu de la pièce, l’air penaud, très godiche. Sans pitié le Max lui intime : «Montrez-moi ! Les seins d’abord». Elle déboutonne maladroitement son chemisier, l’ouvre. Ses petits seins (85B) sont bien remontés, en effet, les aréoles et les tétons découverts. Je vois qu’ils sont dressés.. «Tournez-vous ! Relevez votre jupe !».. Elle s’exécute.. «Penchez-vous en avant».. Ah.. Quelle indécence.. Je bande instantanément. Elle a enfilé un tanga largement ouvert sur ses fesses et sa vulve.. Je n’en peux plus. «Retournez-vous ! Soulevez votre jupe !».. Ah.. quel sale type ce Max, mais mon érection est si intense.. La fine toison, la fente, plus que découvertes : offertes.. au premier venu..
«Approchez-vous de votre mari, défaites-le et branlez-le !». Ah noon, pas ça, quelle honte pour nous deux.. «Dépêchez-vous ! Ce n’est sûrement pas la première fois que vous le faites !». Françoise s’approche, défait les boutons de mon jeans, a du mal à sortir ma verge tellement je bande, me caresse comme elle sait y faire, j’en oublierai presque l’autre pervers, qui nous en remet une couche : «Penchez-vous en avant et sucez votre mari ! Allez ! Vite !».
J’ai le sentiment que la situation commence à plaire à Françoise qui vient me prendre par les hanches et m’emboucher doucement. Je ne devrais pas durer longtemps tant sa bouche se fait délicate.. Et je vois l’autre salaud qui passe derrière elle, trousse sa jupe, sort sa verge.. L’intimité offerte de ma femme.. Il avance une main, passe un doigt le long de sa fente (jusqu’où ?, je ne peux en voir plus), déclare : «Vous êtes trempée.. Vous êtes bien facile, Françoise..», je pense qu’il va la pénétrer.. Mais non, il ne la prend pas, alors qu’elle devait certainement l’attendre.. Il se contente de se branler au-dessus de ses fesses nues, qu’il ne tarde guère à asperger à grandes giclées, provoquant les miennes sur le visage de Françoise.. Bouhh.. Quelle folie !
Alors nous congédie rapidement : «C’était la première leçon, Madame. Vous me semblez bien facile, mais je ne vous ai pas prise, et vous n’avez pas donc joui. On pourrait dire que vous êtes une salope qui cherche la bite.. Mais vous n’êtes qu’une petite femelle en rut ! Et ça m’étonnerait que vous laissiez votre mari s’en occuper ce soir ! Allez ! Filez ! Et n’oubliez pas vos sous-vêtements, gare aux contrôles !!».
La nuit est arrivée, nous rentrons à pied, horriblement gênés l’une et l’autre. Pas un mot. Elle s’essuie furtivement le visage avec un petit mouchoir de papier. Je pense à ses fesses qui doivent dégouliner de sperme.. Je me rapproche, la main tendue, prêt à la baiser dans un coin sombre.. Elle me repousse vivement : «Me touche pas !».
(à suivre, sans aucun doute)
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