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la fée du logis

Chapitre 1

SM / Fétichisme
Depuis mon divorce et pour des raisons économiques, c’est honteux et la queue entre les jambes que je suis retourné habiter chez mes parents.Papa est âgé maintenant. Mais, à 61 ans, il n’a rien perdu de sa vigueur libidinale bisexuelle ni de ses vieilles déviances pratiquées avec autoritarisme en famille grâce notamment à la complicité active de cette femme cruelle et vicieuse qui a toujours pris son pied à le voir faire et que je continue à appeler "maman". Ils ont accepté de m’héberger provisoirement et à titre grâcieux à la condition expresse de me rendre utile et rentable, de me montrer, à leur service, plus dévoué fils que jamais. A cet égard,ma mère s’est d’ailleurs amusée à rediger, avec l’accord bienveillant du chef de famille, un contrat d’appartenance que j’ai dû lire à haute voix et signer. J’acquiesce aussitôt et reconnais durablement par ce geste symbolique ma soumission sexuelle et ma grande dépendance affective à mon géniteur que je n’ai jamais cherché à nier. J’en ressens un trouble immédiatement visible qu’il m’est impossible de dissimuler à mes parents puisque je suis nu en leur présence, seulement vêtu des petites culottes sales et souillées de maman que je porte la journée depuis mon arrivée pour réaliser les tâches ménagères multiples et autres corvées habituelles, jambes rasées. C’est bien de cette façon presque féminisée que mon pervers de papa aime pouvoir mater à satiété le petit cul bien musclé et attirant, les longues jambes sculptées et glabres, le pubis épilé de sa bonne salope de fée du logis. J’ai toujours les couilles qui pendouillent d’un côté ou de l’autre du pli-couture des lycras en dentelles de maman et ça plaît à Papa. Mais, cette fois, l’émoi est si violent que l’élastique de mon cache-sexe a sauté pour libérer une érection épaisse, tendue et magistrale. Mon gland suintant et douloureux frotte ma peau au-dessus du nombril car j’ai hérité de la génétique paternelle en ce qui concerne ma queue de bonne femelle domestique aux ordres et à disposition 24heures/24:
_Regarde-moi ton fils, André! Ce sale petit enculé bande comme jamais. Et sans ma permission, en plus! Je vais le calmer, ce gosse mal élevé. Ca lui apprendra à exprimer des volontés en public...
Joignant le geste à la parole menaçante et coléreuse, ma mère se saisit du martinet posé sur le guéridon du hall d’entrée et me force énergiquement, en me saisissant brutalement par la nuque, à plier les genoux sans résistance pour me positionner à quatre pattes afin de recevoir une cuisante correction fessière:
_ Saloperie! ( elle frappe fort). Je vais te dresser, charogne! sale putain! faire ça devant sa propre mère?!...Quelle honte!
  Ce n’est pas du chiqué et la brûlure des lanières de cuir suffit à me faire un peu débander, mais c’est difficile car, dans le même temps, papa s’est accroupi à mes côtés pour glisser une main experte et chaude sous mon ventre. Il ne m’adresse pas la parole, se contente de me regarder grimacer et gémir sous la fessée, en me massant les testicules. Ce cérébral lubrique ne me voit que comme un objet de plaisir. Je suis sa chose vivante. Je sais qu’il bande pour moi, ce salaud, et je sais aussi qu’il sait ce que je désire plus que tout au monde: lui téter longuement son gros morceau, l’avoir en moi, jusqu’aux couilles. Jouir du bonheur incroyable de pouvoir le satisfaire, de contenter ses gros besoins salaces par amour sans limite pour lui. Jusqu’à en éveiller la jalousie maternelle. Cependant, je me trompe sur toute la ligne en supposant maman envieuse. Cette relation incestueuse père-fils ne fait en réalité qu’exacerber ses pulsions sadiques à mon encontre et, la nuit, quand je l’entends râler dans la chambre voisine où la porte reste ouverte comme un frustrant défi, je sais qu’elle ne prend jamais aussi bien son plaisir orgasmique avec mon père que quand je suis à la maison à me masturber, suppliant presque une autorisation pour les rejoindre qui ne vient jamais, malheureusement. Après cette scène et la dérouillée que je viens de prendre, je sais que ce soir, je l’entendrai à nouveau soupirer d’aise dans les bras de son homme, hurlant des mots obscènes, poussant des cris de salope en rut, ivre de jouissance égoïste et intense. L’accès au lit conjugal me reste interdit en soirée et la nuit. C’est au petit matin que je peux entrer. Levé aux aurores et avant mes parents, je prépare et apporte le petit-déjeuner dans la chambre, après les avoir réveillés et ouvert les volets. Je me tiens ensuite debout, au pied du lit, à tenir la chandelle, témoin de leurs caresses provocantes et de leurs embrassades à pleines bouches et j’attends les instructions. Le seul geste d’affection que ma mère m’accorde bien volontiers et de façon ostensiblement méprisante à lieu le matin. A poil sous les draps, elle écarte les cuisses, jambes relevées, en beurrant ses tartines sans même me parler ni même me regarder. Signal entendu pour moi de venir, sous elle et sa couverture, lui administrer sa toilette intime des deux orifices inférieurs souillés par mon père et les sécrétions de ses rêves nocturnes. Le cunnilingus doit être appliqué et gourmand en profondeur mais ne pas gêner ses mouvements durant sa pause déjeuner. Il me faut être à la fois efficace, endurant et très discret. Généralement, je ne peux reprendre mon souffle qu’une fois la survenue soudaine et brutale des contractions de ma mère accompagnées d’émissions abondantes de mouille. Revenue à elle, elle me repousse alors vertement, se lève et fonce vers les toilettes pour aller pisser et prendre une douche. Papa m’accorde aussi le privilège de calmer ses érections matinales en sirotant son café ou de lui servir d’urinoir ambulant. Afin de ne pas salir les draps, il compresse son canal urinaire pour réduire le débit ou le stopper de sorte que je puisse avoir le temps de déglutir par petites gorgées le contenu âcre de sa vessie en totalité.
  Maman a fini de me zébrer le cul. Elle s’est littéralement défoulée en se caressant sous sa jupe de la main gauche. Elle doit être trempée, cette garce! Mais c’est papa qui s’est maintenant placé debout, devant moi, pour dégrafer son pantalon et m’exposer son beau boudin semi-flasque et odorant à emboucher sans attendre:
_Suce! Vas-y, bouffe ton père, connard! Après, je t’encule sur la table, ma bonne putasse...J’ai trop envie de te mettre un bon coup. On n’a pas idée de chauffer son père comme ça!


Suite?_
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