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Fellation suivie

Chapitre 1

Gay
J’étais encore un jeune homme à l’époque de cette histoire ; je devais avoir 19 ans. Je suçais depuis longtemps déjà. D’abord abusé, puis au final j’ai aimé ça : alors j’ai pompé de belles queues, parfois avec beaucoup de gourmandise. Mais ça, ce sont d’autres histoires.
Je vais vous conter une histoire que j’ai vécue.
J’avais un ami qui fut d’abord mon collègue de boulot. Il était âgé de 7 ans de plus que moi : il avait donc 25 / 26 ans à l’époque des faits. Cela faisait quelques années que nous nous connaissions. Un jour, Fafa (nous l’appellerons comme ça) qui habitait à Paris, vint me rendre visite pour passer un week-end à la maison dans sa ville d origine.
Dès son arrivée, nous décidons de faire une petite tournée des bars ; au bout du troisième, nous décidons de rentrer, nous disant qu’on picolerait encore un peu à la maison, devant la télé ou la console. Arrivés à la maison, comme Fafa est hétéro, nous parlons des gonzesse vues dans la rue et dans les bistrots ; on parle de cul, de seins, de pipes etc. Tout cela m’excite ; j’avais déjà vu une fois Fafa à poil en sortant de la douche, et je savais qu’il était bien membré, ce qui m’avait été confirmé par une de ses plans cul. Elle le disait très endurant, très bon etc. Enfin, bref, une salope parlant de la bite de Fafa (excitant). Bon ; bref, nous parlons de tout ça devant notre sixième bière, au moins. Je commencer à être excité ; Fafa aussi, d’ailleurs… En s’excusant, il me demande si j’ai une serviette car il faut qu’il se branle. J’éclate de rire et lui réponds : « Pas là ; pas dans le salon… T’es con ! » Il commence à être un peu sec. Je lui propose alors : « Bah, écoute : va dans la chambre. Je vais te chercher une serviette et tu t’astiqueras quand je serai sorti ». Il me répond : okay.
Je suis assez envieux d’observer par la porte, mais bon ; je lui ramène sa serviette et, surprise ! La queue à l’air, il se l’astique.
Elle est sublime : gland brillant, couilles de taureau, mais rasées. J’ai très envie de rester pour l’engloutir, pour goûter ce pieu : je bloque sur sa queue !
Il remarque que je bloque. Il me demande alors de lui donner ma serviette, mais je ne réagis pas de suite.
Il se redresse pour s’assoir au bord du lit pour me dire : « Tu fais quoi, là, à mater ma queue en te mordant la lèvre ? »
Je lui réponds en bégayant : « Oh, rien, rien... je... je n’en ai pas une si grosse ; c’est tout. »
« Elle est belle, tu vois : je ne mentais pas. » Naturellement, je réponds, admiratif : « Ça, c’est sûr ! »
Il se lève, prend la serviette et reste là, droit devant moi. Mon regard se porte toujours sur sa queue, incapable d’en décrocher ; je la voulais, mais je craignais casser cette amitié.
Je rétorque alors : « Bon, allez ; je te laisse te branler ». Il m’attrape par l’épaule pour me dire : « Allez, viens ! Branle-toi à côté de moi. » Je refuse ; il insiste, mais je refuse encore.
Il me dit : « Bah, alors branle-moi ! » Je reste bloqué : lui, le mâle dominant, l’homme viril par excellence… Je lui réponds : « Fais gaffe : j’en suis capable ! »

« Bah, fais-le, alors. »« Okay, Fafa ; assieds-toi sur le lit. »
Il écarte les jambes sur le rebord du lit, me laissant voir ses couilles énormes qui pendent. Je m’agenouille. Il pose la serviette à côté de lui et me dit : « J’en veux pas une goutte sur moi ; comme si une pute me pompait et qu’elle avale tout. Tu mets tout dans la serviette. »
Dans ma tête, je pensais « Tu ne crois pas si bien, dire belle queue ! »Je le masturbe, puis caresse ses couilles.
– Mais c’est que tu débrouilles, vieux pote !– Tu en veux plus ? – Comme quoi ?– Ma bouche…– Alors, fais-toi plaisir !
Je pense que c’est parce qu’il est bourré qu’il me dit ça. Mais il insiste :
– Mais fais gaffe à ta bouche : si tu es sérieux, tu vas ramasser !
J’accepte le risque ; ayant placé ma tête entre ses jambes, je donne un grand coup de langue sur ses couilles. Il sursaute, se redresse et me regarde, étonné. Je le fixe, mes yeux au niveau de ses couilles.
– Ah, tu m’en croyais pas capable ?
Je remonte avec ma langue en faisant pression sur sa longue et très grosse tige ; il n’y croit pas. Rejetant sa tête en arrière, il me traite de pute : j’adore ! Je ne résiste plus, et j’enfourne sa queue au plus profond de ma bouche. Il pousse avec ses reins, puis une de ses mains vient prendre la place de la mienne à la base de sa queue ; la deuxième se pose sur ma tête. Je pense très fort à ce qu’il va faire maintenant. J’attends ; je ne bouge plus que ma langue. Il gémit à peine. Il me regarde à nouveau et me demande :
– T’en es sûr ?
Je retire sa queue de ma bouche délicatement, en prenant bien soin d’aspirer à fond au passage. Il gémit à nouveau.
– Tu vois : pas la peine de salir la serviette. J’en suis sûr, Fafa. Fais ce que tu as à faire : je suis à toi.
Cette phrase le rend fou : sa main qui est à la base de son pieu dirige son mât en direction de ma bouche, tandis que celle qu’il a sur ma tête appuie violemment. Il m’enfourne son énorme bite, et c’est un festival de coups de reins, de gorges profondes, de bave… Je lui bouffe les couilles quand il se branle.
Désirant changer de position, il me place sur le lit à plat-ventre, la tête relevée face à son bassin, lui debout à côté du lit ; il enfonce à nouveau sa queue bien à fond : il me baise la bouche comme s’il défonçait un cul. Un cul que, d’ailleurs, il n’avait pas encore touché. Étendu tout de long face à lui, je creuse mes reins pour lui montrer quel beau cul j’ai. Fafa ne tarde pas à craquer ; il passe ses mains dessus, puis il agrippe mes deux belles fesses pour me baiser encore la bouche. Se relevant, il prend ma tête entre ses mains et se met à accélérer. Mais il s’arrête soudain, et se met à gémir fort… un long râle…
Je m’attends à tout ; je n’attends que ça… Ce sont de longs jets qui giclent contre mon palais pendant que son gland cogne en tressautant dans ma bouche en l’inondant de foutre.
J’avale chaque jet de foutre avec gourmandise... J’aime ça, et Fafa s’en aperçoit. Il me traite de salope, et m’ordonne de lui nettoyer la queue.
Je m’exécute, astiquant encore son beau membre qui commence à ramollir.
La nuit qui suit est particulièrement chaude. Ma bouche ressert longuement ; quant à mon cul, il est pilonné à plusieurs reprises.
Plus tard, Fafa me demandera régulièrement de le soulager ; il m’obligera encore plus souvent à lui vider ses deux belles boules de taureau.
Un peu partout...
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