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Fellation suivie

Chapitre 2

Gay
Après ce week-end surprenant avec "Fafa" auquel, je l’avoue, je ne m’y attendais pas du tout mais qui fut très plaisant, Fafa et donc reparti à Paris. Cela n’a rien changé : nous avons gardé le même très bon contact.
Puis, quelques semaines plus tard, je monte à Paris chez lui. À l’arrivée de mon train, Fafa était là ; on bavarde quelques minutes, prenons un café, et il me dit « Tu vas prendre tes quartiers. » Habitant pas loin de la gare, on y va à pied ; on bavarde, et on fait quelques allusions à notre fameux week-end.
Arrivés à deux pas de son appartement, où vivait sa maman aussi, il m’arrête devant un hôtel et me dit « C’est ici, mon p’tit. »
Je suis un peu surpris, puis il me fait un petit clin d’œil, baisse et remonte sa braguette. Je souris : j’ai tout compris. Il paye la chambre et se justifie en montant mes affaires.
Arrivés dans la chambre, il pose les affaires et me demande s’il peut prendre une douche.
J’accepte, bien sûr. Je le connaissais très bien : il avait une idée derrière la tête, et je le comprends... Il fait couler l’eau et rentre sous la douche.
Il me demande de préparer une serviette, alors qu’il y en avait dans la salle de bain ; mais je sais ce qu’il veut. Je rigole : j’en ai envie.
– Je te l’amène ?
– Bah, oui ! répondit-t-il.
J’entre dans la salle de bain : il a son gourdin dans la main, et me dit : « Pose-la ; allez, viens avec moi... »
Je faits mine de refuser. Je souris et je me déshabille. Il sourit.
J’entre sous la douche ; à peine le temps d’avoir posé un pied sous la douche qu’il me retourne. Son barreau et bel et bien dur.
Il me plaque contre le mur gelé, me doigte sans ménagement le cul. Je gémis : j’ai le cul très serré, et je préfère de loin sucer, pomper, lécher et vider une belle tige ; mais je me soumets volontiers à lui.

Il se colle à moi et commence à m’insulter, me traiter de tous les noms ; il me frappe le cul, m’attrape le cou comme si j’étais une simple salope. J’aime ça… Je crie. J’ai mal : il vient de m’empaler jusqu’à la garde à sec et sans ménagement. Il reste ainsi quelques secondes, puis commence ses va-et-vient dans mon cul, tout doux puis rapidement, plus vite, plus grand, plus fort : ça ne dure que quelques petites minutes, mais il y va fort. Il se retire, et je m’écroule sur mes jambes, ce que je préfère comme position.
Je me retourne ; il me laisse un peu de répit et de temps pour lui lécher les couilles et la tige. Je prends mon temps ; il se branle un peu en m’insultant. Il claque sa queue sur mes joues, mes lèvres et ma langue, puis il en profite pour me tenir la tête. J’essaie de prendre sa bite au plus profond de ma gorge ; il aime ça. Je le fixe dans les yeux : il ne résiste plus, m’attrape la tête et pilonne ma bouche offerte à lui. J’aime ; je gémis beaucoup quand je pompe une queue que j’aime.
Il me prévient qu’il va décharger, et s’arrête de baiser pour sortir ; mais je la reprends dans ma bouche, je la branle je la prends le plus profond que je peux. Je le veux en bouche, je veux son plaisir ! Uniquement son plaisir. Je veux son jus… Il me prévient : « Je jouis… je jouis ! » Mais je le garde dans ma bouche en continuant à le branler.
Ses grosses giclées arrivent avec puissance dans ma bouche ; j’avale vite pour ne pas en laisser perdre trop… Il crie de plaisir, mais je ne m’arrête plus ; je le veux encore car il m’a excité.
Je le sens débander doucement, mais je ne le veux pas. Il m’a tellement excité que je le veux encore en bouche et dans mon cul... Il ne tarde pas à comprendre que j’en veux encore ; il se baisse et me doigte le cul pendant que sa queue ramollit encore un peu. Mais à peine me doigte-t-il le cul que sa queue reprend vigueur.
Je m’arrête et lui déclare tout net que je ne suis que sa salope.– Je veux encore ton jus, Fafa ; vide-toi, fais-moi boire ton jus !
Cette phrase l’excita franchement. Il m’attrape la tête et repart de plus belle, me défonçant la bouche pendant plus de dix minute : gorge profonde, bien baveuse, baise intense. Et, sans me prévenir, il me jouit une nouvelle fois dans la bouche... Je n’en laisse pas perdre une seule goutte ! Une fois bien nettoyé, il sort de la douche sans rien me dire. Je me nettoie un peu, et en sors moi aussi. Fafa est là, en train de se rhabiller.
Je veux encore de lui ; j’ai passé trois jours assez intenses à Paris, avec beaucoup de moments de soumission à Fafa, pour son plus grand plaisir. Il est le seul mec aussi endurant que j’aie jamais eu en moi, et giclant autant à chaque fois.
Puis nous sommes redescendus dans le Sud en voiture ; la route fut un bonheur, autant pour ma bouche que pour ses couilles, bien allégées à la fin du voyage…
Il est le seul pour lequel je ne laissais aucune goutte de son foutre s’échapper de ma bouche : par respect, par amour du sexe, et de son sexe aussi...
J’ai aimé le sucer ; il a aimé se servir de ma bouche...
D’autres histoires, plus tard.
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