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Féminin pluriel

Chapitre 2

Avec plusieurs femmes
Nos premières fois
J’ai pris l’habitude de passer la fin de semaine chez Jackie, à moins d’imprévu. Malgré tout, j’aime passer chez moi le vendredi soir, prendre ma douche, me changer.Par principe et par goût de la surprise j’ai laissé peu de fringues chez elle. Ça ne poserait pas de problème, mais j’ai décidé que Cécile était la « légitime » et moi l’électron libre.Une façon formelle de préserver nos indépendances, bien que dans les faits nous soyons très souvent ensemble. Cécile, je l’ai déjà dit ne travaille pas, c’ est en quelque sorte l’organisatrice de nos week-ends. Cuisinière hors-pair et curieuse, elle se charge des repas et propose souvent des activités ou des sorties.
Elle a projeté pour ce dimanche une brocante à une soixantaine de kilomètres et nous propose d’y aller tôt pour rentrer tôt également.L’ennui lorsque Jackie ouvre les volets, c’est qu’il pleut à verse, pas terrible pour chiner.Alors nous décidons de rester sous la couette. Nous sommes sorties hier soir et en rentrant nous avons bien partouzé toutes les trois.Cécile, qui nous a préparé un petit déjeuner avec des croissants frais qu’elle est allé chercher, est en pleine forme et tente de nous émoustiller avec ses cajoleries, ses bisous plus ou moins appuyés, des poses coquines. Mais rien n’y fait, Jackie et moi ne sommes pas chaudes. Ni l’une ni l’autre ne se presse de passer à la salle de bain et nous décrétons que ce dimanche nous glanderions.
La matinée se traîne, nous grignotons par-ci par-là et vers 14h nous sommes enfin habillées. Oh c’est très décontracté, car il pleut toujours autant. « Il manque une vraie cheminée, c’est un temps à regarder un bon feu. » constate Jackie.« Oui, ajoute Cécile, et nous pourrions nous raconter des histoires devant... »Quelles histoires? « Notre première fois? » hasarde-t-elle. Le sourire que m’envoie Jackie se passe de commentaire. Cécile est têtue, quand elle a une idée en tête... C’est son idée, alors elle commence :
«Moi, ça a été avec la prof de gym. Plutôt classique. En fait il y a eu avant quelques flirts poussés avec des garçons, mais je n’ai pas eu de chance, ils manquaient de délicatesse. J’avais une “ meilleure amie “ Agnès, avec qui nous n’allions pas plus loin que les petits baisers avant le fou-rire.
Le mercredi après-midi, nous nous rendions au stade en car, un trajet d’environ trois quarts d’heure.Nous étions assises vers le fond, loin du prof. Autour de nous il y avait une agitation inhabituelle, des rires étouffés, des filles essayaient de s’arracher un petit paquet de feuilles volantes.
Si bien que cela attira l’attention de la prof qui se leva. La fille qui avait les feuilles en main s’en débarrassa et j’en héritai.C’était des photocopies pornographiques. Je n’en avais jamais vu : une servante accroupie la main entre ses jambes, nue, hormis un mini tablier, le visage très vulgaire, pensait dans une bulle en regardant une autre femme qu’elle lui boufferait bien la chatte. Le tout dans un dessin approximatif mais sans ambiguité.
Je n’eu pas le temps d’en voir plus car la prof était à ma hauteur et me tendait la main. Je lui remis le paquet et voulu m’expliquer.Peine perdue. Je ne sais pas ce qui m’embarrassait le plus, avoir à annoncer les heures de colle à mes parents ou comprendre ce que signifiait “ bouffer une chatte.“Grand moment de solitude à la descente du car au retour au lycée lorsque la prof me retint d’une main ferme :“A nous, nous avons à parler!“
Je la suivis dans son local et restai debout pendant qu’elle s’asseyait derrière son bureau.Puis elle disposa lentement les feuilles en éventail et mit son menton dans ses mains, les coudes écartés. J’étais tenaillée par l’envie de regarder les images. “Tu trouves ça très artistique, toi?“ Elle me montrait un dessin où un garçon bandant se faisait sodomiser par la servante armée d’un bâton.“Et ça ? “J’étais plus rouge qu’un coquelicot :“Je n’ai jamais vu ça, Madame, ce n’est pas à moi. »Je me serai mise dans un trou de souris.Après un long silence, elle se leva et me raccompagna jusqu’à la porte sur la rue.“Je sais que cela n’est pas à toi. Je t’ai vu les ramasser. Tu ne seras pas punie. Mais pour marquer le coup, tu viendras demain après-midi m’aider à ranger le gymnase. N’en parle à personne. Je les remettrai aux parents de celle qui les a apportés. Je sais qui c’est.“
Le soir, ma mère s’est doutée qu’il s’était passé quelque chose. “Tu t’es disputée avec Agnès? ““Nnnoooonn! “J’allais me coucher tôt, et cette nuit-là je me suis masturbée trois ou quatre fois.Agnès était bien loin, c’était la servante qui m’obsédait.
Le lendemain, à 13h30 j’étais au lycée. Je préparai la salle pour l’entraînement de basket, disposai les ballons, etc.Quand l’équipe arriva la prof leur donna les directives et me fit signe de la suivre.Je pensais qu’une autre tâche m’attendait, mais elle m’emmena aux archives.
Elle se saisit d’un livre de grande taille, contenant essentiellement des reproductions de nus féminins.“C’est quand même autre chose“ en ouvrant sur la Vénus de Botticelli. Puis elle feuilleta et je découvris des Renoirs, Gauguin. Les poses lascives des Tahitiennes provoquèrent la montée de mon rouge au joues et l’humidification de mon minou.Qui redoubla avec la naissance du monde de Courbet. J’avais parfois aperçu le sexe de ma mère ou de ma sœur, mais pas en gros plan comme ça…La prof, qui devait bien s’amuser de mon émoi, finit par un Goya, la Maja.Cette belle femme troublante était allongée sur un divan. Habillée.Bon, me dis-je on a fait le tour. J’étais pressée de rentrer me masturber avec toutes ces femmes qui posaient qui me vrillaient l’esprit.
“Il paraît que je lui ressemble.“ Je la regardai. Effectivement. Avec une bonne dizaine d’années de plus, le visage, la couleur et la coupe des cheveux n’étaient pas sans ressemblance.
“Qu ‘en penses tu ?“ Instinctivement je baissai la tête pour revoir le tableau. Elle avait habilement tourné la page et c’était la Maja nue qui m’apparaissait.
“Un peu.. OUPSSS ! “ Elle ouvrit son haut de survet’ et j’avais deux pommes bien écartées, d’autant qu’elle avait croisé ses bras derrière la tête, comme la Maja.
“L’avantage de la réalité sur la peinture, c’est qu’on peut toucher le modèle. Viens me caresser. Ici personne ne nous dérangera. “Elle attira ma bouche sur un téton qui sortait à peine de la large aréole. Le simple contact suffit à le durcir.Ses mains caressaient les miens.“Fais avec ta bouche comme je fais avec mes mains. “Ma langue suivait son index, je mordais quand elle pinçait, je léchais quand elle survolait de sa paume. Mon cœur battait, je ne voulais rien oublier, me souvenir de tout. Patiemment, elle me fit monter son plaisir. J’étais au bord de l’explosion, rien à voir avec la masturbation, mais quelque chose me retenait, comme si je devinais qu’il y aurait mieux à venir.
Elle avait relevé mon tee-shirt et j’apprenais comment embrasser une poitrine. Ses mains sur mes hanches, sous ma jupe, elle fit glisser la gauche sous ma culotte en coton, de l’index écarta doucement mes lèvres et posa son pouce sur mon mont de Vénus. Lorsque l’index toucha mon clitoris, ce fut l’extase. Je me sentais jouir, coulant comme jamais encore et puis encore jouir.
Elle m’a laissé en revenir doucement en m’embrassant le visage, les yeux, sa langue prit ma bouche, se lova sur la mienne.
Et puis alors que je voulais la caresser comme elle l’avait fait :“Tsss tss pas maintenant, je suis plus difficile à contenter que toi, les filles vont bientôt avoir fini leur entraînement, je dois redescendre. On se reverra si tu le veux ?“
Cela faisait à peine vingt minutes que nous étions redescendues que la cloche de quatre heure et demie sonna la fin de la journée.Je crus voir un peu de malice dans les yeux de certaines et ai-je vraiment entendu :“Tiens tiens, Claudie a une nouvelle chérie !“Je m’en fichais, nous avions rendez-vous samedi après-midi. Chez elle!
Ça vous branche? Je continue?
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