Cela fait un bon moment que le couple fait l’amour. Je suis leurs évolutions depuis l’étage, par la porte entre-ouverte de la chambre d’amis.Maintenant, Serge la pistonne vigoureusement sur le canapé je ne vois que son dos, sa tête enfouie sur l’épaule gauche de sa conquête, ma femme. Elle, allongée sur le dos, extatique, cuisse relevées aux épaules, le reçoit en se mordant les lèvres, les yeux mi-clos, ses mimiques variant selon l’intensité des sensations qu’il lui procure. Ses jambes et ses pieds dépassent comiquement au dessus des épaules de Serge. Son visage, sur le côté droit, respire le bonheur. On sent la vigueur de l’étreinte par les grimaces qu’elle produit. Elle alterne entre des haussements de sourcils, des moues appréciatives et des hochements de tête de part et d’autre comme pour dire non-non, mais qui semblent plutôt dire oui-oui.Endurant, Serge qui a joui dans sa bouche un moment plus tôt, enchaine les va-et-vient puissants de toute sa longueur, entrant à fond pour retirer sa longueur et replonger dans l’antre brulant avec ardeur. Il a des allure de bucheron, soufflant drôlement pendant l’effort mais abattant du labeur sans faiblir. Sa partenaire, profite en silence, ravie, souriant aux anges, l’air de ne pas croire à tant d’aubaine. Après la fellation qui avait permis à Elodie d’apprivoiser le braquemart de Serge, celui-ci, repu pour un instant, lui avait proposé une flute de champagne. Elle avait accepté avec empressement: "Quelle bonne idée"! Serge, débarrassé de ses vêtements, déambulant nu comme un ver, avait récupéré un bouteille de champagne frais et 2 flutes. Sa queue à moitié bandée, ballottait au gré de ses mouvements, le gland pourpre battant d’une cuisse à l’autre comme le pendule d’un horloge. Elodie évidemment fascinée ne le quittait pas des yeux en attendant son champagne. "A la meilleure des ... épouses" dit Serge en s’esclaffant, voyant ma femme dépitée, il précise pour se rattraper: "tu m’as sucé comme jamais personne avant, trop bon, trop bon, à ta santé ..."Il boivent en souriant.Elle: " il faut dire que tu mérites bien un traitement de faveur, hi hi hi ...— tu prends bien soins des copains de ton mari dans le besoin, ha ha ha!" Avec un clin d’oeil en partie destiné à moi."Quel taquin tu fais ... mais, ne ris pas trop vite car ton problème avec Martine, n’est pas résolu pour autant. — Ah... sa fine bouche ... hoho ... mais il est en bonne voie, non?— ... on dirait, on dirait ... hi hi hi ... la fine bouche , hi hi hi — En tout cas ... tu ne fais pas la fine bouche toi ... tu n’as pas peur des défis ... de taille?— eh non hi hi hi ... J’aime être ... comblée ...— Je ferai de mon mieux!— Oh, je ne suis pas inquiète, hi hi hi ".Leur verre bu, Elodie est assise sur le canapé, sa jupe relevée en désordre sur ses cuisses, son chemisier pourpre ouvert laissant ses seins à l’air, leur bouts roses érigés. Serge, nu à l’aise promène sa queue dans le salon, resservant le champagne aux deux coupes. il se rapproche de mon épouse et s’agenouille devant elle, pose les verres sur la table basse et fait glisser lentement son chemisier, puis ensuite il retire la jupe entièrement, Elodie l’aide en relevant son bassin. elle est nue aussi, sauf ses Elle ne dit rien et il les embouche doucement, passant de l’un à l’autre, pinçant et triturant celui qu’il ne suce pas. Elodie adore cela je le sais et elle est en train de fondre. Il prend son temps et cajole les mamelons de ma femme un long moment encore, tandis qu’elle savoure yeux fermés. Il s’arrête et la regarde dans les yeux, prend les flutes, lui en tend une.Puis inquisiteur: "tu aimes la sodo alors dis-moi?— Ah ... ou-oui.— Oui ... mais encore?— Oui ... de temps de temps ... J’aime si c’est bien fait ...— Bien fait? Bien fait ... par ton mari?— ...— Eh bien?— Il me le fait ... assez bien ..." J’en prend pour mon grade, je l’ai cherché aussi."Comment cela assez bien? et qui le fait mieux alors?
— ah ha, toi pour commencer j’espère ...— Tu jouis s’il te sodomise ?— hum ... bien sûr ...— Tu espères que je vais le faire mieux que lui, tu n’a pas peur de souffrir?— oh non ... plutôt de jouir beaucoup ... plus c’est gros meilleur c’est!— Comment le sais-tu?— J’ai essayé hi hi hi,— Une grosse comme ça?— Pas aussi grosse non, hi hi hi ... mais bien quand même ...— Ok, tu l’auras voulu, à ta santé!" Ils boivent en riant. Puis Serge se rapproche d’Elodie, la fait basculer allongée, soulève ses jambes aux épaules et s’allonge sur elle, elle soupire vivement. "oh oui viens, viens.— Prend-la , guide-moi ...— oh oui ... oui ... oh oui oui oooohhh ouuuiiii". La bouche en "O" mon épouse offre maintenant, sous mes yeux, l’hospitalité de ses chairs intimes à la poussée de son amant. "Mon dieu,doucement ... que ... que c’est gros ... ooooh ... si gros! Tu me remplis ... oooh ... vas ...doucement ... C’est si gros, je ne suis pas ... ha ... bituée ...— Tu as mal?— oh non , non au contraire ... oooh! Mais... mais ... vas doucement, oooh. c’est booon.— Tu es bonne ... douce, chaude, serrée ...— tu aimes?— Oh oui ha— Mieux que ta femme?— Cent fois mieux, j’adore ton con, tu es moelleuse et bien serrée ...— Oooh c’est bon, que c’est fort, foort.— Tu me sens bien-la, comme ça?— Oh oui, c’est géant ... oooh ... ha aha ooooh"Peu à peu Serge prend ses aises et je vois ses fesses bouger, lentement glissant plus profond, et devant les appréciations de ma femme, il ose quelques allées et venues au rythme de plus en plus appuyé. Il laboure en profondeur le puit offert de mon épouse qui chante comme une pom-pom girl. "Vas-y chéri, vas-y chéri" Au rythme de la danse qu’il impose.Cela dure ... longtemps. Je bois du Martini depuis une heure au moins, je dirais que je suis au sixième verre. La bouteille est vidée aux deux tiers. J’ai juté deux fois et continue de bander et de me branler. Elodie, comblée, emplie, contentée profite en silence, ravie, souriant aux anges, des intrusions massives du sexe de Serge, l’infatigable."Bébé, j’ai envie de t’enculer maintenant" dit-il soudain."Oh, mon Dieu!" dit ma femme.
