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Femme BCBG, escort, non, pute

Chapitre 2

Erotique
Je suis une jeune femme mariée à Pierre, pilote de ligne.
Au matin, la présence d’un corps blotti dans mes bras m’interroge. Mon cerveau s’éclaircit.Que je suis bien ! Que la vie est belle ! Que ma vie est devenue belle !

Virginie me sent bouger, ouvre les yeux, me sourit et nous échangeons un baiser, deux baisers, des centaines de baisers langoureux. Alors que je commence à lui caresser les seins, elle m’arrête, m’entraîne vers la salle de bain pour nous préparer, étant obligée d’aller ouvrir son salon.Elle n’avait pas prévu ce qui nous était arrivé la veille.

Très intriguée sur ce qui s’était passé pendant nos ébats, je lui demande ce qui m’a inondé le visage lorsque mes lèvres ont parcouru son sexe. Elle éclate de rire et m’explique qu’elle est ce que l’on appelle une « femme fontaine ». Voyant mon étonnement, elle m’apprend que lorsque sa tension sexuelle est à son comble, ses glandes déclenchent ces petits jets de liquide, liquide principalement inodore.

— Cela t’a-t-il dérangée ?— Non, à tel point que lorsque nos ébats se sont terminés, je me suis endormie dans tes bras. À aucun moment je n’ai senti le besoin d’aller me laver.

Nous nous habillons, maquillons, pomponnons, prenons sa voiture et rejoignons la capitale.Elle me dépose devant mon domicile, repart vers son salon non sans m’avoir donné rendez-vous le soir après que Pierre m’ait téléphoné.Elle m’embrasse chastement, ne voulant pas me compromettre devant mes voisins.Je la vois s’éloigner ; mon cœur s’accélère : je suis amoureuse !

De retour dans ma chambre, j’enlève mes vêtements et je reprends un bain. Dans l’eau, lorsque je me savonne les seins pour commencer, je me surprends à m’attarder sur l’un puis sur l’autre, ce que – vu mon éducation – je n’ai jamais fait avec autant d’insistance. Ma main continue son exploration et trouve l’entrée de mon sexe. Avec le savon, je commence à le frotter très doucement. Le plaisir monte dans mon ventre, et ce qui peut paraître bizarre vu mon âge, je jouis pour la première fois sous mes propres doigts.

Je m’enhardis, entre un, deux, puis trois doigts dans ma vulve. Je caresse mon clitoris avec mon pouce. Mon Dieu, que c’est bon… Que n’ai-je pas fait cela plus tôt ! Dieu, que mon éducation m’a fait perdre du temps dans ma jeune vie !Une boule commence à se développer dans mon ventre. Je crie mon plaisir.Je me savonne intégralement. Je me relève et, avec la douche, je me rince. J’écarte mes lèvres intimes et alors que le jet touche mes tendres chairs, un début de plaisir se fait sentir.Hélas, j’ai beau insister, je n’arrive pas à me faire démarrer.Je m’habille prestement ; je cherche dans mon armoire des vêtements sexys. J’ai beau chercher, je n’ai que des tenues BCBG.

Le midi, je sors dans mon quartier et vais au restaurant. Vu le beau temps, je mange sur la terrasse. Je me surprends à regarder les femmes passer, évaluant si l’une ou l’autre pourrait être des amantes de qualité.Mon expérience d’amour entre femmes est trop récente pour que je franchisse le pas pour en aborder une. De plus, j’ai trop de sentiments pour Virginie pour la tromper dès le premier jour.

Je me rends dans une bijouterie où j’achète une jolie montre pour offrir à celle qui, en une soirée, m’a fait découvrir plus de plaisir que tout le reste de mon existence.Tout l’après midi, je déambule dans les rues.Mon Dieu, que le temps passe lentement ! J’essaie de ne pas regarder ma montre, mais mon poignet monte vers mes yeux toutes les cinq minutes.

Vers seize heures, je rejoins mes appartements. Coup de chance, Pierre appelle dix minutes plus tard. Je discute avec lui pendant quelques minutes en me forçant d’avoir la voix de la petite fille sage que pour lui j’ai toujours été.Je lui demande ce qu’il a fait pendant sa journée de repos.

— Je suis resté dans ma chambre et je suis allé visiter la ville. J’ai fait quelques achats : tu verras cela à mon retour. Le soir, j’ai dîné avec mon équipe au restaurant de notre hôtel, puis je suis allé me coucher de bonne heure. Je veux être en pleine forme pour reprendre le vol demain.


Après quelques baisers, nous raccrochons non sans nous donné rendez-vous vers quinze heures le lendemain, heure de son retour. C’est vrai, le tourbillon de ce qui m’est arrivé m’a fait oublier que mon cher et tendre rentre ce samedi.

Rapidement, je sors de chez moi pour rejoindre Virginie. Je n’oublie pas mon paquet-cadeau acheté en début d’après-midi.Lorsque je passe la porte, elle est à sa caisse ; je vois son visage s’illuminer. Je reste près d’elle jusqu’à la fermeture. Je l’aide à préparer cette fermeture. Ses employées sont venues me saluer avant de repartir dans les cabines pour s’occuper de ces dames.

Nous reprenons sa voiture pour rejoindre notre nid d’amour. Les encombrements nous retardent.Joinville-le-Pont, Champigny-sur-Marne, et enfin Chennevières.

À peine entrée, Virginie me demande si je suis contre le naturisme. Elle est adepte de cette pratique, surtout chez elle, et dès qu’elle rentre son premier travail est de se mettre nue.Je ne me suis jamais posé la question lorsque j’étais dans mon appartement, et ne l’ai donc jamais fait. Rapidement, je lui donne mon accord. Aussitôt dit, aussitôt fait : ses vêtements sont éjectés et elle m’apparaît nue comme un ver.J’admire sa plastique admirable, et surtout sa fente entièrement épilée.

— N’as-tu pas peur que tes voisins te voient ?

Elle éclate de rire et m’indique que lors de l’achat son pavillon, le premier critère demandé à l’agence était de trouver un pavillon avec jardin, et surtout que l’ensemble n’ait aucune visibilité sur le voisinage.

— Et voilà le bijou : façade avant sans vis-à-vis, le mur et la végétation isolent entièrement. Le jardin avec la piscine et le sauna – que tu n’as pas encore vus – ont les mêmes caractéristiques, ce qui me permet de me baigner nue et de bronzer sans risque dans les transats. Si tu le souhaites, fais comme moi : tu verras la liberté que l’on ressent !

Assise dans le canapé, j’hésite. Virginie passe dans la cuisine pour préparer le repas, je la rejoins pour l’aider. Elle papillonne de droite et de gauche, repart dans la salle à manger, met le couvert, sans rien me redemander sur ma tenue.Au bout de quelques minutes, cette belle femme nue autour de moi alors que je suis habillée, me met mal à l’aise et je commence à retirer un à un mes vêtements. Le chemisier s’envole. Un temps d’arrêt de ma part et mon soutien-gorge prend le même chemin. Ma jupe, mes bas, mon porte-jarretelles tombent un as un. Une minute de réflexion et ma petite culotte s’envole.Je suis nue.

Virginie, voyant mon initiative, me prend dans ses bras et m’embrasse amoureusement. Nos corps soudés se trouvent, se retrouvent, et un frisson parcourt nos colonnes vertébrales.Nous rejoignons la chambre où le lit nous accueille. Toujours maladroite, je me laisse guider, surtout lorsqu’elle descend vers ma vulve en se retournant afin d’amener sa petite chatte au-dessus de mon visage.Les coups de langue qu’elle pratique sur mon intimité commencent à me faire de l’effet ; j’avance mon visage vers ses parties intimes, attendant avec envie les vagues humides que ce sexe va me déverser dans la bouche. Le plaisir nous envahit. Simultanément, un orgasme phénoménal me submerge et les jets qu’elle me déverse sont un nectar pour moi.Nous retombons dans les bras l’une l’autre : je viens de pratiquer mon premier soixante-neuf, eh oui !

Je n’ai pas pratiqué les jeux de l’amour depuis le début de ma vie, mais ne suis pas pour autant une nunuche ne sachant rien sur certains termes osés.

Nous prenons rapidement une douche ensemble, ce qui nous permet de jouer avec nos mains en nous savonnant mutuellement. Nous nous séchons en n’oubliant pas de nous attarder sur nos parties sensibles puis, toujours nues, nous passons à table. Nos chaises, comme hier côte à côte, nous permettent de continuer des effleurements de nos corps avides de sensations.

Installées sur le canapé, nous entamons une conversation entre femmes. Virginie tient à mettre les choses au point : si elle aime l’amour entre femmes, elle adore se faire prendre par un sexe d’homme ; et même si elle n’a pas d’amants attitrés, elle aime de temps en temps faire des rencontres avec la gent masculine.

Comme de mon côté, j’ai Pierre, qui même s’il me satisfait de moins en moins reste mon époux, et à ce titre a le droit et le devoir de satisfaire mon corps, je ne peux qu’acquiescer. Même si je l’aime, je suis d’accord pour que nous ayons nos moments personnels d’intimité dans le futur.

Je me lève, vais jusqu’à mon sac et donne à mon amie le cadeau que je lui ai apporté : elle trouve magnifique cette montre et passe un grand moment à la contempler à son poignet où je l’ai attachée.

Voulant continuer mon éducation sexuelle, elle me demande si j’ai déjà vu des sextoys, ou plus vulgairement des godemichets. Ma réponse négative, même si j’en ai entendu parler, la remplit de joie : elle va pouvoir m’initier à cette pratique, si je le désire, bien sûr. En aucun cas elle ne souhaite m’imposer des situations que je n’accepterais pas avec envie.

Elle se rend dans la chambre et revient avec trois de ces appareils. Elle me demande de choisir celui que je veux sentir dans ma petite fente. Le choix est très rapide : deux de ces sextoys sont de taille imposante et j’ai peur que ma petite chatte, simplement pénétrée par le petit sexe de Pierre, se déchire. Je choisis donc le dernier, objet tout simple en forme de sexe d’homme et de couleur rose.Virginie me demande de m’allonger sur le canapé, les jambes légèrement écartées. Elle met le gode dans sa bouche afin de l’humecter puis, avec sa main, elle caresse mon vagin avant de me pénétrer d’un doigt, puis de deux avant de finir par m’en introduire un troisième.Immédiatement, mon corps réagit et se tend. Mon regard plonge dans le sien et se trouble.

Elle sort ses doigts, m’arrachant un gémissement de plaisir et tourne la partie arrière de ce sexe factice. Un bruit de moteur en rotation m’arrive aux oreilles, et prestement elle me l’introduit au fond de mon ventre.Le mouvement de vibration émis par le gode me surprend une fraction de seconde, mais très vite je sens le plaisir m’envahir. Mon clitoris stimulé éclate d’un seul coup de plaisir. Une fois de plus, je jouis alors que l’engin arrive tout au fond de mon ventre.Malgré la grosseur et la longueur normales du sextoy, je sens pour la première fois de ma vie qu’un sexe entre complètement dans mon vagin et vient toucher le fond de ma grotte. Maintenant c’est sûr, Pierre a vraiment un très petit sexe ! À l’évocation des attributs de mon homme, nous éclatons de rire toutes les deux.


Virginie s’installe à son tour jambes ouvertes ; je saisis l’appareil, et après lui avoir écarté les lèvres avec mes doigts, je l’introduis jusqu’au fond. La jouissance la submerge pendant de longues minutes, sans pour autant déclencher les petits jets que j’aime tant.

Pour cette journée, nos jeux nous ont épuisées ; nous rejoignons notre lit pour prendre un repos plein de rêves érotiques. Le samedi est la journée la plus chargée pour mon amie : il faut qu’elle soit en pleine forme pour bien s’occuper de ses clientes.




Laissons nos amies s ‘endormir ; ne faisons pas de bruit. Nous les retrouverons dans le troisième épisode de leurs aventures érotiques et amoureuses.


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