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Ma femme se libère

Chapitre 1

Voyeur / Exhibition
Je m’appelle Franck et suis marié à Elodie depuis 10 ans. Elodie est une femme très attirante : Grande, fine et surtout très féminine. Mon épouse accorde en effet énormément d’importance à ses tenues et ne sort jamais sans porter de très belles lingeries et des vêtements à la fois classes et sexy.
Elle est cependant très prude à l’égard des autres hommes et n’a jamais d’attitude aguicheuse ou ambiguë, de telle sorte que les autres mâles ne s’aventurent jamais à la séduire, même si elle dégage une élégance et un sex appeal très fort.
Ses valeurs sont celles qui lui ont été inculquées par sa mère qui lui répétait régulièrement, y compris en ma présence :
« Tu dois t’occuper de ton mari. Il est fondamental que vous vous entendiez bien, et que tu lui apportes tout ce dont il a besoin dans la vie, afin d’éviter qu’il n’aille le chercher ailleurs. N’oublie pas également que les hommes aiment qu’une femme joue son rôle de femme et non qu’elle prenne la place de l’homme qui doit rester dominant dans un couple ».
La mère d’Elodie avait en effet très mal vécu le fait que son propre mari la laisse pour se mettre en couple avec une jeune femme qui n’avait pas hésité à « le chauffer à blanc » pour lui faire quitter le domicile conjugal.
Elodie a donc grandi avec cette idée qu’un homme insatisfait était un homme qui risquait de coucher avec d’autres femmes et qu’une femme devait rester « soumise » à son mari.
C ‘est précisément pour cette raison que je me suis marié avec elle : je suis en effet un homme « à l’ancienne » qui aime que sa femme l’accueille le soir, s’occupe de lui et devance même ses attentes.
Il y a un an de cela environ, Elodie m’a fait part de son souhait de relancer un peu notre libido de couple. Elle s’inquiétait que notre vie de couple ne rentre dans une routine et que je ne sois tenté d’aller chercher un peu de sensations nouvelles auprès d’autres femmes. Elle m’annonça donc : 
— Chéri, qu’est-ce qui te ferait plaisir pour pimenter un peu notre sexualité ? Est-ce qu’il y a des fantasmes que tu souhaiterais réaliser et que nous n’aurions pas encore testé ?
— Pourquoi me demandes tu-cela ? tout va très bien, je suis très heureux avec toi. Tu m’excites toujours autant.
— Oui, mais j’ai remarqué hier en consultant l’historique de l’ordinateur que tu regardais régulièrement des vidéos porno sur Internet mettant en scène principalement des femmes qui ne me ressemblent pas, et tout particulièrement des femmes avec des seins énormes…
Il est vrai que j’ai toujours été attiré par les gros seins. Elodie quant à elle faisait un 85 A, ce qui n’était pas assez gros à mon goût, mais je m’en contentais tant notre sexualité était épanouie par ailleurs ; Elodie était en effet devenue au cours de notre relation une véritable experte en fellation, ce qui est pour moi le plaisir ultime. Sachant qu’il s’agissait d’une de mes pratiques préférées, et en bonne épouse soumise qu’elle est, elle s’est fortement documentée sur le sujet, a demandé des conseils à ses copines et au fil des années elle a su me sucer la bite comme aucune autre femme ne l’avait jamais fait jusqu’alors.
— ne t’inquiètes pas ma chérie, ce n’est pas parce qu’il m’arrive de regarder des films pornos mettant en scène des femmes à forte poitrine que je vais pour autant te tromper pour une autre femme.

— Oui, mais je voulais te proposer que je me fasse poser des implants mammaires pour que je sois vraiment la femme idéale pour toi.
— Eh bien soit, si tu le souhaites, pourquoi pas ?
Quelques jours plus tard Elodie prenait rendez-vous avec un chirurgien et une intervention était planifiée deux mois plus tard.
Ce que je ne savais pas, c’est qu’Elodie avait opté pour un 85 E…Lorsque je l’ai vue revenir la taille de ses seins m’a choquée.
— Tu ne crois pas que c’est un peu trop gros ? lui demandais-je
— Non, je veux être à la hauteur de toutes ces filles sur lesquelles tu fantasmes.
— Mais enfin, tu vas attirer le regard des autres hommes avec une telle paire de seins…
— Qu’importe, et puis tu pourras être fier de m’avoir à ton bras tout en sachant que les autres hommes me désirent mais que tu es le seul à me baiser.
Mes craintes ne se sont pas faites attendre : quelques jours plus tard, alors qu’il fait extrêmement chaud et qu’Elodie porte un léger chemisier laissant paraître un décolleté généreux, nous nous retrouvons dans le métro face à un groupe de trois jeunes hommes d’une vingtaine d’année. J’entends l’un d’eux dire aux deux autres
« eh les mecs, vous avez vu la MILF là-bas. Putain elle est trop bonne. Elle a une de ces paires de seins la salope. Je suis sûr que sous ses airs de sainte ni touche elle doit être chaude comme pas possible, ça se sent. Je lui soulèverais bien sa jupe pour la prendre à quatre pattes. Je suis sûr qu’elle porte des bas la pute… ».
Ses amis dévorent ma femme du regard pour tenter d’entrevoir si ma femme porte des bas ou des collants, sans même remarquer que je suis à côté…
Je le fais remarquer à Elodie :
— Ces petits cons sont en train de parler de toi…— Ah oui ?! mais ils pourraient être mes fils !— Eh bien ça n’a pas l’air de les empêcher de vouloir te baiser…Il en sont même à se demander ce que tu portes sous ta jupe…— Vraiment ? me dit-elle en souriant. Ça m’excite de savoir que ces jeunes mâles puissent avoir des pensées obscènes juste en me regardant…pas toi ?— Si c’est vrai, et encore, ces puceaux ne savent pas à quel point t’es bonne au lit, luis-dis-je en lui faisant un petit clin d’œil…— Tiens je vais les chauffer encore un peu plus…
A ce moment, Elodie fait mine de remettre son bon, soulève légèrement sa jupe jusqu’à la limite de ses porte-jarretelles…De mon côté, je me colle à elle et me frotte légèrement au cul de ma femme.
Les trois jeunes ne tiennent plus
« Je le savais, la salope est méga chaude…son mec a trop de chance…il va lui mettre son compte ce soir… »
Elodie me dit à l’oreille « j’ai envie de baiser…Ces petits cons m’ont donné envie de mettre ta queue dans ma bouche et de l’avaler entière ».
Ni une ni deux, nous quittons la rame de métro et nous rentrons dans le premier bar que nous trouvons. Nous demandons où se trouvent les toilettes et nous y rendons aussitôt.
Dès la porte fermée, Elodie se rue sur ma braguette, baisse mon pantalon, se met à genoux et sort ma grosse bite qu’elle met dans sa bouche experte.
Elle débute des vas et viens en avalant de plus en plus loin ma queue qui se durcit de plus en plus.
— Traite moi comme ces filles que tu regardes en vidéo. Je veux devenir ton fantasme vivant.
— Comme tu voudras. Continues de me sucer salope, je vais te montrer comment je traite les chiennes dans ton genre.
Elodie accéléra ses mouvements et aspira de plus en plus fort ma bite au point que les bruits de sussions se faisaient de plus en plus forts.
— Suce sale chienne. Allez, avale ma grosse bite. T’aime ça sucer des queues hein ?!— La tienne seulement mon chéri.— Menteuse. Je vois bien que ça t’excite de voir d’autres hommes fantasmer sur toi…Ces enfoirés bandent comme des malades en te voyant avec tes gros nibards. Ils ne pensent qu’à une seule chose ces fumiers : te baiser comme une bonne petite chienne que tu es…et je suis sûr que toi aussi tu penses à leurs bites bien raides…T’aimerais qu’ils te fourrent leurs queues au fond de la gorge hein ?!
La tête d’Elodie frappait la cloison des toilettes au rythme de mes aller et retours dans sa bouche.
A ce moment, j’attrape brutalement Elodie par les cheveux pour la faire remonter, je la retourne contre le mur, lui soulève sa jupe et mes doigts se présentent sous son string.
La pute était trempée comme jamais !!
— Salope va ! Je le savais que ça t’excitait ! je vais te calmer moi…
J’écarte alors le string de ma femme et rentre ma bite dans sa chatte d’un seul coup. Je n’eus aucun mal, tant Elodie était ouverte et trempée.
Je lui mettais des grands coups de rein en haletant sauvagement à son oreille et en lui susurrant des mots crus :
— T’aime ça salope, hein ! T’en veux de la bite. Tiens sale pute de chienne !! Hummm je vais te remplir de foutre !!
Mes couilles tapaient violemment le cul de ma femme qui n’en tenait plus.
— Han, ah oui vas-y. Enfonce-moi ta grosse bite. Ah salop, toi aussi ça t’excite de savoir que d’autres mecs se branlent en pensant à ta femme, hein. Han, putain que c’est bon. Baise moi comme une pute !
Au moment où je sentis que j’allais jouir, je me retire violemment, retourne Elodie en la mettant à genoux et en lui remettant ma bite dans sa bouche. Mon gland gonflé venait forcer le fond de la gorge de ma femme au point de lui donner des hauts le cœur.
— Tiens, c’est tout ce que tu mérites !! Haaaa !!!
J’explosais littéralement dans sa bouche et Elodie tentait tant bien que mal d’avaler tout le sperme que je lui envoyais.
— Lèche moi bien pour me nettoyer la queue ! Gobe mes couilles au passage !— Tout de suite mon chéri !
Nous sommes ensuite sortis des toilettes, sans même que personne dans le bar ne nous adresse un regard…
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