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Ma femme se libère

Chapitre 2

Voyeur / Exhibition
Quelques jours plus tard, Elodie me téléphone en pleine journée, alors que je m’apprêtais à entrer en réunion pour un rendez-vous important ; j’exerce la profession d’avocat et Elodie est secrétaire dans un autre cabinet d’avocats concurrent.
— Coucou chéri, je ne te dérange pas ?— Je rentre en réunion, pourquoi ?— Je voulais simplement te dire que je pensais à toi et à ta grosse bite…depuis tout à l’heure je n’arrive pas à penser à autre chose…J’ai tellement envie que tu me la mettes dans la bouche…— Arrête, tu vas m’exciter…Comment es-tu habillée ? Je suis parti trop tôt ce matin pour voir quelle tenue tu as choisie aujourd’hui.— J’ai mon tailleur gris, des bas noirs, un chemisier blanc qui me semble trop serré avec mes nouveaux seins et des talons aiguilles en vernis noirs. Ma main est entre mes cuisses et le tissu de ma petite culotte est trempé hihihi…— T’es vraiment une belle salope, quelle chance j’ai de t’avoir épousée. Tu n’attends rien pour attendre, je vais m’occuper de toi ce soir, tu vas voir…
À cet instant, j’entends Marc, l’un des associés du cabinet, entrer dans le petit bureau d’Elodie en hurlant :
— Elodie, venez me rejoindre dans mon bureau, nous avons besoin de vous tout de suite !
À son entrée dans la pièce, Marc était assis au fond de son grand siège en cuir, les coudes sur son bureau, le regard fixe.Elodie s’approche, ferme la porte derrière elle et s’assied juste devant lui.
— Elodie, nous avons un problème. J’ai une vidéo très embarrassante vous concernant.— Je ne comprends pas.— Approchez-vous, je vais vous la montrer, vous allez vite comprendre. J’ai placé il y a quelques mois une caméra de vidéosurveillance dans mon bureau à la suite d’un vol. C’est à cette occasion que j’ai pu voir ceci :
Elodie se positionnait à la gauche de Marc, penchée sur le bureau pour regarder la vidéo que ce dernier lança sur son ordinateur.

Dès la première image, Elodie reconnut la vidéo : il s’agissait d’une vidéo dans laquelle l’on pouvait voir Elodie et moi-même baiser sur le bureau de Marc !

La scène se passait quelques semaines plus tôt, alors que j’étais venu chercher Elodie très tard un vendredi soir.

Les bureaux étaient vides et ma femme m’avait demandé de la prendre sur le bureau de son patron…un fantasme qu’elle voulait réaliser depuis un bout de temps m’avait-elle dit.
Après m’être assuré qu’il n’y avait effectivement plus personne dans les locaux, je m’exécutais et couchais Elodie sur le dos au milieu du bureau. Je remontais sa jupe et lui léchais sa petite chatte parfaitement épilée. Ma langue glissait sur son clitoris gonflé. Au bout de quelques secondes, ma bouche était inondée de sa cripine au goût magnifique.
— Mets-la-moi, sors ta queue et mets-la-moi tout de suite, je n’en peux plus.
Je me relevais, ouvrais ma braguette et sortais ma bite déjà bien dure pour la frotter contre sa chatte.
— Bordel, arrête de me faire attendre comme ça, tu me rends dingue, fous-la-moi !!— Tu veux une bonne bite, hein…T’as envie que je te baise comme une chienne sur le bureau de ton patron. Pourquoi ? Tu fantasmes sur lui ?— Non ! souffla Elodie C’est juste que ce connard me fait chier à longueur de journée, ce pervers me mate le cul tout le temps et ça me fait marrer de faire ça sur son bureau.— T’es sûr que tu n’as pas une envie secrète de baiser avec lui ?— Vraiment pas ; en plus je suis sûr qu’il a une petite bite ce con hihihi. Maintenant, baise-moi bien fort.
Je lui enfonçais alors ma bite qui est entrée d’un seul coup dans sa petite chatte qui était tout ouverte de désir.
— Tiens salope, en v’la une bonne bite. Je vais te défoncer sale pute. Heureusement que ton patron ne sait pas à quel point t’es une grosse chienne qui adore la bite, sinon il serait comme un fou. Surtout depuis que tu as tes gros seins !— han ! han ! vas-y, bourre-moi bien comme il faut.
On entendait des bruits de claquement à chaque coup de reins que je mettais. J’écartais le chemisier d’Elodie pour gober les énormes seins d’Elodie qui criait sans retenue.
— Oh oui, prends-moi comme une traînée.
— Vas-y gueule salope, je veux t’entendre jouir. Tiens ! Prends ça, c’est pas ton boss qui te prendrait comme ça !!
— Elodie fut alors prise de spasmes frénétiques annonciateurs d’un orgasme fulgurant. Je sentais sa mouille me couler le long des cuisses.
— Je vais jouir sale pute, mets-toi à genoux.
Elodie se mit à croupi juste devant moi, en m’offrant son visage d’ange.
Une grande giclée de sperme atterrit sur son front puis sur sa bouche et dans ses cheveux défaits.
— Putain ce que t’es bonne…tu es ma bonne petite chienne rien qu’à moi...allez, on rentre à la maison…— A vos ordres patron ! me dit-elle en souriant tout en essuyant le sperme de son visage.La vidéo se figea. Elodie avait le souffle coupé. Elle était morte de honte et n’osait se retourner vers Marc dont elle sentait le souffle sur son bras droit.
— Alors, Elodie, qu’est-ce que je dois faire de cette vidéo ?
— Je suis vraiment confuse Marc, je ne sais pas quoi dire. S’il vous plait, supprimez cette vidéo, il s’agit d’une faute de ma part et m’en excuse.
— Oui, vous pouvez vous excuser effectivement. Vous savez que votre mari pourrait être radié de l’Ordre des avocats pour de tels faits : coucher dans le bureau d’un Confrère alors que des dossiers soumis au secret professionnel se trouvent par ailleurs dans ce même bureau...la sanction est à n’en pas douter une radiation immédiate.
— J’en suis consciente Marc et vous prie une nouvelle fois de bien vouloir m’excuser.
— Vos excuses ne suffisent pas. En effet, j’ai particulièrement peu apprécié que vous affirmiez que je pourrais avoir "une petite bite".

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