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ma femme et moi

Chapitre 3

Voyeur / Exhibition
« Trop tard nous sommes invités ce soir pour boire un verre après dix heures ».
« Ah  !!.Je ne sais pas comment je dois me comporter avec eux maintenant.Je me sens un peu gênée, chéri........ »
Il n’était pas tout à fait dix heures lorsque nos voisins rentrèrent et l’un deux s’approcha de notre emplacement et nous annonça « Laissez-nous, un quart d’heure et vous pourrez venir »« L »me regarda, anxieuse, tremblante:« Tu veux y aller »« Tu le ressens comment? »« Je suis prise d’une certaine angoisse, je ne pensais pas en arriver là, j’ai l’impression que tu es prêt à me donner à eux »« J’ai très envie de te partager et de leur offrir ton corps. Je vais tout faire pour que tu connaisses de nouveaux plaisirs. Je te rappelle que c’est toi qui a tout lancé, que tu m’as demandé de te guider, maintenant il faut que tu assumes »Comme un enfant que l’on vient de punir, les yeux embués, elle acquiesça de la tête doucement:« Je ferais ce que tu décides.... » murmura-t-elle« Pour commencer tu vas te mettre en valeur, tu as dix minutes pour te rendre sexy au maximum. Je vais porter les ordures à l’entrée du camping, fais ce qu’il faut. »
Quand je revins, elle m’attendait, assise sur la chaise pliante. Elle avait souligné ses yeux au crayon noir, épaissit et allongé ses cils au mascara, mis un peu de bleu sur les paupières, les lèvres rosies par un petit rose à lèvres brillant. Les ongles des mains et des pieds étaient vernis d’un rouge grenat. Un parfum léger mais entêtant à base de chèvrefeuilles émanait de son corps.Un petit chemisier blanc, noué au-dessus du nombril, laissait deviner sa poitrine menue ; on pouvait distinguer l’aréole brune du bout de ses seins à travers la fine toile, car elle ne portait rien d’autre dessous et elle ne pouvait cacher son excitation tant ses tétons tendaient le tissu.
Une jupe portefeuille, blanche avec un liseré bleu clair, ouverte en V à mi-cuisses mettait en valeur ses belles jambes déjà brunies par le soleil, un côté recouvrant jusqu’aux genoux, l’autre pendant négligemment et ne cachant rien du fuselé de sa cuisse.Une paire de talons aiguilles crèmes, lanières fines nouées sur les chevilles achevaient de la mettre en valeur. Elle était tout simplement irrésistible..Elle se leva, je l’admirais, elle était très désirable .« Ça te va, dit-elle la bouche sèche d’émotion»« Presque parfait » « Presque...!!!? » « Enlève aussi ta culotte »Elle rougit, s’appuya à la chaise, « Que j’enlève ma culotte........je n’ai jamais fait ça......, le haut comme ce soir c’est déjà limite, il est presque transparent..........je suis en jupe courte, mon amour, en plus portefeuille, à un moment ou à un autre ils vont s’en apercevoir. Tu veux vraiment m’offrir à eux........»
« En effet je vais t’offrir à eux. Enlève-la »« Non pas ça, s’il te plaît, j’ai l’impression que je vais me prostituer. »
« Si ils s’aperçoivent que je ne porte rien dessous, c’est sûr qu’à la première occasion j’y passe, surtout après cette après-midi »« C’est justement ce que je veux, si tu m’aimes vraiment, enlève-la »Elle hésita quelques secondes, puis tremblante, la fit glisser le long de ses cuisses et la retira.
Je lui pris la main et la conduisis chez nos voisins.
Ces derniers, extrêmement troublés par cette féminité, nous accueillirent, embrassèrent « L »et nous désignèrent la partie fixe de la caravane pliante, servant aussi bien de banquette que de lit.« L » se cala dans un coin, craintive, les genoux serrés, une main plaquant le tissu de sa jupe, l’empêchant de remonter trop haut et surtout de s’ouvrir.Nos deux hôtes ne pouvaient s’empêcher de l’admirer, l’atmosphère était tendue, on devinait que quelque chose se préparait.L’un d’eux nous proposât un planteur maison bien frais. Ma femme ne connaissait pas, nous lui avons expliqué qu’il s’agissait d’un cocktail de jus d’ananas et d’orange mélangé avec du sucre, vanille et autres condiments venants des Antilles. Pourquoi aucun ne lui signalât la présence de rhum? Chacun des hommes présents le savait et tenait à garder l’avantage de son ignorance espérant en tirer profit.Elle accepta le breuvage, bien frais, joliment présenté et d’un goût fort agréable.Nous trouvâmes un sujet de discussion ; l’alcool et les cigarettes aidant, petit à petit « L » se détendit, accepta le regard insistant des jumeaux, me regardant en rougissant quand ces regards admiraient sa poitrine.Au deuxième verre, elle commençait à rire pour un rien, ses yeux brillants me fixèrent profondément me faisant comprendre qu’elle se sentait prête.Je posais ma main sur celle qui maintenait toujours sa jupe en place, la saisit ainsi qu’un pan de la jupe et doucement petit à petit je faisais glisser l’ensemble sur le côté, découvrant au fur et à mesure sa cuisse. Nos deux lascars n’en perdaient pas une miette, « L » ne regardait que moi tremblant légèrement, la respiration courte.Le côté de la jupe non tenu s’affaissa de lui-même et en quelques secondes, les cuisses de ma femme furent exposées au yeux de nos hommes. La jupe était ouverte très haut vraiment à la limite de son sexe.« L » prit appui sur un bras, penchant son corps en arrière, elle me saisit la main et pendant qu’elle la serrait eut un léger orgasme.Assis en face les jumeaux ne disaient plus rien, les shorts dissimulant mal leurs sexes tendus : au moment de sa jouissance, mon épouse avait légèrement écarté ses genoux laissant entrevoir sa toison nue. Maintenant ils savaient qu’elle ne portait pas de sous-vêtement.Pour couper le silence, on me proposât un troisième verre. Reprenant ses esprits, ma femme rabattit les pans de sa jupe, et nous priât de l’excuser elle devait se rendre au toilettes, elle reviendrait après. Elle sortit et on entendait le claquement de ses talons sur le bitume d’accès aux emplacements.Tandis qu’elle s’éloignait un jumeau me dit:« Tu la laisses aller toute seule dans cette tenue?...Tu n’as pas peur ? »« Tu la trouves à ton goût, elle te plaît »dis-je«Si je te dis non tu me croirais pas »« D’autant que l’un de vous a commencé avec elle, cet après-midi. Ne dites pas non, elle me dit tout. De toute façon je ne suis pas jaloux, nous expérimentons le plaisir sous toutes ses formes, tout ce qui arrive est plus ou moins voulu. Elle trouve son plaisir en s’exposant et moi en la regardant faire, mais j’aimerai bien l’observer sans qu’elle le sache. »« Vous voulez aller jusqu’où? »«On ne sait pas trop où on va, nous commençons à peine. En ce qui me concerne, j’avoue que j’aimerais la voir prise par un ou des hommes et elle m’a dit que, tout en le craignant, qu’elle aimerait avoir une expérience complète avec un autre homme.Ce qui s’est passé cet après-midi l’a mise en appétit et laissée un peu sur sa faim, elle aurait aimer être pénétrée »« Tu accepterais qu’on s’occupent d’elle tous les deux? »« Je pense que vous êtes bien placés pour ça, encore une fois elle l’appréhende, mais l’a envisagé, pour moi je dis pas non, si je peux tout voir »« J’ai vraiment très envie d’elle, elle m’a retourné comme une crêpe tout à l’heure, mon frère m’a dit qu’elle était vraiment extra il aimerait lui aussi s’en occuper plus sérieusement. Si tu te caches derrière la caravane, sans faire de bruit, tu pourrais tout observer à travers la moustiquaire du fond, reste à trouver le motif de ton absence »« Facile je suis parti chercher des clopes au bar tabac, je suis le seul à fumer des brunes, j’en avais plus. Le seul ouvert est au carrefour de Binard, à deux bornes quasi trois, j’en ai pour au moins quarante à quarante cinq minutes. Ça vous laisse le temps de vous en occuper. Ça vous convient?»« Je vous trouve bizarre, mais « L » m’attire vraiment de trop et la savoir complètement nue sous sa jupe ...hum!!!.Vous êtes dingues mais je laisse pas passer l’occasion, t’es d’accord frangin? » D’un signe il approuva.Je finis mon verre et me glissant dans la nuit derrière la caravane, je me suis installé assis sur une caisse en bois, pouvant voir sans être vu, le jumeau à l’intérieur me le confirmant.Etant les derniers de l’allée personne ne devait théoriquement nous déranger ; les jumeaux fermèrent l’auvent rendant leur antre plus intime, en arrangeant la banquette sur laquelle nous étions assis la transformant en lit pour deux personnes ; une seule lampe à gaz éclairant l’ensemble.Déjà on entendait les talons claquant sur la petite route d’accès.
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