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ma femme et moi

Chapitre 4

Voyeur / Exhibition
« L » s’approchait elle hésitât en voyant la toile fermée, le silence régnait.N’apercevant pas d’éclairage sur notre emplacement mais la tente des jumeaux éclairée, elle s’en rapprocha et demanda si nous étions toujours là « Oui, oui, entre on est là, on t’attend »Je vis la toile s’ouvrir, ma femme entra, fit deux pas et me chercha du regard, un des gars était passé sur le côté et referma la glissière de l’entrée.« Mon mari n’est pas là!! » « Non il est parti chercher des brunes au tabac, il en a pour un bout de temps, …..........Il nous a demandé de nous occuper de toi en attendant.........il parait que tu en as très envie ….tu nous as bien allumés tout à l’heure.... »« L » ne disait plus rien, un délicieux mélange de peur et d’excitation l’envahissait, elle comprit tout de suite que je l’avais offerte.Les jumeaux l’encadraient. L’un la saisit aux poignets et l’emmena près de la lampe, le deuxième s’approcha écarta le chemisier dégageant les seins et défit le ruban qui maintenait la jupe et la lui arracha ; elle était maintenant nue, le chemisier ouvert, en talons, offerte, le corps parcouru des spasmes de l’orgasme qu’elle venait d’avoir, sans encore avoir été touchée.....« Tu viens de jouir.........? »« .............oui!..... »« tu as peur »« ...............je suis angoissée ......c’est la première fois que je me retrouve ainsi, seule,.... devant deux hommes.........mon mari vous a dit de vous occuper de moi, je vous crois, ….je sais que vous dites la vérité ..... maintenant que je suis nue, j’ai peur.....vous allez m’obliger à .....à....... !!!!!»
« Écarte tes jambes » « J’ai dit écarte tes jambes »Elle s’exécuta. « Mieux que ça, dit-il » elle écartât encore plus
« Ta balade dans le camping, sans culotte, en jupe courte, t’as aimé »« …..Je vous l’ai dit, c’est la première fois,...... mon mari m’y a forcée »«Tu continueras à le faire? »
« ............. » « L »ne pouvait répondre, son interlocuteur ayant posé un index sur son épaule, caressait légèrement sa peau en direction de son sein. Tremblante et muette, elle suivait du regard ce doigt provoquant en réaction une légère chair de poule qui mettait le grain de sa peau en valeur.Le doigt arriva sur le sein, suivit le cercle brun de l’aréole. Le pouce vint en renfort et dans un mouvement de pince saisirent le téton érigé, le malmenant gentiment.Elle n’osait rien dire, encore moins empêcher qu’on la touche, de toute façon elle ne pourrait pas faire grand chose face à deux hommes.Elle ne pouvait pas non plus s’empêcher de montrer ce que cette caresse lui apportait, fermant par moment les yeux des « ah!! » de plaisir s’échappaient de sa bouche« tu aimes ça...........putain? »« Nonnn!..... pas putain...........j’aime m’exhiber.......mais je n’ai jamais été prise par un autre homme que mon mari, même si quelques uns ont vu mon corps comme vous aujourd’hui.........et jamais pour de l’argent »
    « Et jamais un autre homme que ton mari ne t’a touchée? »« ..........non, jamais.......à part vous aujourd’hui.. » « Ça t’excite ? »« ..........Oui.. » Ses doigts lâchèrent le téton et continuèrent leur descente. Son ventre se rétracta lorsqu’ils passèrent dessus, continuant leur descente.Dans un dernier geste de défense elle bloqua la main qui était arrivée à la limite supérieure de ses poils pubiens, et serra ses jambes.« Nonnn, s’il vous plaît...... » implorât-elle« Enlève ta main » ordonna le jumeau sèchement, le regard noir planté dans ses yeux.Dominée, elle lâcha la main.« Écarte tes jambes »Elle fit un petit pas sur le côté, son regard aimanté par les yeux de celui qui, maintenant elle en était sûre, allais être son premier homme après son mari« J’ai dit écarte, je veux que tu ouvres largement tes cuisses »« Nonnn,.....Oh pas ça..... » dit-elle en écartant plus largement ses pieds, laissant maintenant un passage suffisant entre ses cuisses«Tu mouilles? »« ....Oui.......je mouille.......... »Les jumeaux s’étaient débarrassés de leurs vêtements et offraient maintenant à sa vue leurs verges tendues de désir.Sa respiration s’accélérât, ils s’étaient rapprochés, quatre mains caressaient maintenant son corps, son ventre, ses fesses, ses cuisses. Une bouche suçait son sein, tandis que l’autre glissa sur son cou, lécha le lobe de son oreille, puis prit sa bouche, la langue forçât le passage et vint au contact de la sienne.Rapidement, elle répondit à ce premier baiser et se retrouvât avec un sexe dans chaque main qu’elle commençât à branler lentement, ses doigts parcourant les deux hampes, ses pouces caressant le bout des glands d’où perlaient déjà quelques gouttes lubrificatrices.Les mains explorant son corps s’aventuraient maintenant de façon plus intime, l’une remontant des cuisses était entrain d’écarter le sillon de ses lèvres, répartissant la cyprine abondante qui filtrait de sa vulve, soulevant le capuchon de son bouton arrachant en le frôlant des gémissements ; l’autre, après avoir malaxé les deux fesses fermes, s’était engagé entre-elles, s’enfonçant vers le bas, puis ayant lubrifié ses doigts au puits d’amour, demanda au majeur de se frayer un passage dans le chemin le plus étroit, déclenchant un « non » étouffé par une bouche, index qui, malgré une contraction de défense, réussit à s’enfoncer petit à petit, commençant un léger va-et-vient.Puis ils poussèrent « L » sur la couche, l’obligeant à s’allonger sur le dos.L’un d’eux lui fit plier les genoux puis l’obligeât à écarter totalement les cuisses, offrant son sexe à leurs yeux. Il lui demanda ensuite d’écarter elle-même les lèvres de sa chatte avec ses mains.Avec un peu de réticence, elle finit par s’exécuter, offrant le spectacle de son vagin ouvert et trempé, son excitation était de nouveau à son comble, son corps tremblait ; « Maintenant......., prenez-moi...., suppliât-elle,......... ; Oh oui, j’en veux un en moi, bien profond, je ne tiens plus .......... »« Cet après-midi j’ai pas pu mais là » et le deuxième jumeau qui n’avait encore rien dit, glissa entre ses cuisses, son long dard durcit trouvât facilement l’entrée humide de la vulve offerte et d’un coup puissant s’enfonça jusqu’à la garde dans le ventre chaud, arrachant un râle de plaisir.
Il la travaillât pendant quelques minutes, donnant de grands coups de butoir ponctués systématiquement par des gémissements plus ou moins fort de ma femme. Puis l’amplitude de ses coups de reins diminua, il accélérât le mouvement.« L », qui jusqu’à présent avait relevé ses jambes, écartées de chaque côté de son partenaire, posât ses talons sur les reins en le ceinturant de ses jambes, ses gémissements devinrent de vrais cris, elle s’agrippa à ses épaules et dans un grand soubresaut elle jouit très fort, redoublant ses râles de plaisir lorsqu’elle sentit les puissantes giclées chaudes de son cavalier qui se vidait au plus profond d’elle.Puis il se laissât glisser sur le côté.« L »s’était mise aussi sur le côté, en chien de fusil, récupérant de ce premier assaut, le corps encore secoué de spasmes.Voyant qu’elle était maintenant plus calme, le deuxième jumeau, toujours en érection, approcha son sexe de sa bouche, déclenchant une vive réaction de refus.« Nonnn....pas ça.......je ne l’ai jamais fait......même pas à mon mari »Aidé de son frère il la plaquât sur le dos, montât sur elle à califourchon, lui bloquant les bras avec les genoux et frottât son gland sur ses lèvres« Une vraie salope ça suce »L’autre frère lui bloquant la tête, elle finit, sous la pression, par ouvrir la bouche. Notre homme en profitât et son membre entra. Malgré quelques hauts de cœur, elle finit par accepter la situation, suivant les conseils, elle commençât à pomper cette bite correctement, laissant même le jumeau enfoncer son engin profondément.Puis il prit du plaisir et au bout d’un certain temps, dans un mugissement, il éjacula sans retenu.« L » fut surprise, reçut la première giclée directement dans la bouche et réussissant à dégager le sexe de sa bouche, elle reçut les deux ou trois autres sur le visage. Le sperme abondant lui couvrait un œil et des traînées remontaient jusque sur ces cheveux.« Tu vois aujourd’hui tu fais plein de première fois »S’essuyant avec un mouchoir en papier, elle le regardât, des larmes coulant sur ses joues.
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