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La femme de mon patron

Chapitre 1

Erotique
Je travaillais chez un patron qui dirigeais une entreprise de production de vaisselles. je le remplaçais quand il était absent. Un jour, je reçois des hommes d’affaire africains, comme mon patron était en mission, j’ai du m’occuper d’eux. J’appelais mon patron pour l’informer que ces personnes lui ont ramené des fruits exotiques (mangues, noix de cocos et ananas ) il me demanda de les lui ramener chez lui.
En fin de journée, je partis à la maison de mon patron, je frappe à la porte c’est sa femme qui m’ouvris. Je lui dis le but de ma visite, elle me fit rentrer, je déposais le carton des fruits à la cuisine qu’elle m’indiqua. Après elle m’invita à prendre quelque chose, elle me fit installer au salon. Elle me servit un soda. Elle s’asseyait en face de moi, elle me dit que son mari parle beaucoup de bien de moi et qu’elle a toujours dit, qu’il fallait qu’un jour qu’elle me rencontre.
C’est une très belle femme, elle doit avoir 35 ans. il faut dire que cette femme c’est une vrai bombe! Elle a un corps de rêve et de beaux cheveux blond qui encercle son visage angélique. Elle a des seins, bien proportionnés. Elle portais une jupe, j’ai pu admirer ses jambes, surtout qu’elle les décroise et croise à chaque fois. je finis mon soda. Avant de sortir, elle me lança un regard, en me disant, si je peux passer demain en fin d’après midi, son mari serait toujours absent, comme ça on discutera plus à l’aise. Je lui fis un signe de tète en guise d’un oui.Je sortis un peu perturbé par cette invitation de dernière minute et dont j’ignorais l’objectif.
Le lendemain en fin d’après midi, je me dirigeais vers la maison de mon patron, suite à l’appel de sa femme qui m’a rappelé qu’on devrait se voir.
Je sonnais à la porte, elle me fit rentrer, cette fois ci, elle me dit de m’installer dans la cuisine, pour lui tenir compagnie, car elle préparait des gâteaux. Elle portait un tablier, sous son tablier je devinais qu’elle portait que des sous vêtements.Elle s’approcha de moi, elle m’embrassa sur les lèvres. Ma surprise fût tellement grande, que j’ai failli tomber du tabouret ou je me suis juché.
Je me lève, je m’approche d’elle, je l’embrasse, je lui donne des baisers bien chauds

Je déboutonne et lui enlève son tablier. Elle portait un soutien et un string les deux couleurs mauves. Je lui dégrafe son soutien, des beaux seins apparaissent, du 95D. je les palpe, je les masse. Puis je commence à téter ses seins, qui se durcissent rapidement. Elle gémit légèrement.
Je descends, en le déchirant presque, le string. Je me baisse pour le lui enlever des pieds, m’en saisis et y enfouis mon nez, l’air gourmand. Je la fais asseoir sur la table de la cuisine. Moi à ses pieds, ma bouche avide fait son chemin vers le brasier qu’est devenu son sexe. Je la goûte comme une friandise. Tout est mieux que dans mon rêve. La caresse de mon menton la rend folle. Quand mes doigts rejoignent ma langue, elle tangue tellement qu’elle manque de tomber. Mais je la tiens fermement, je guide d’un bras les mouvements de son bassin contre ma bouche, tandis que mon autre main s’insinue en elle, un, deux puis trois doigts l’explorent avec fougue, tandis qu’un quatrième force doucement l’entrée de son œillet. Sous un tel traitement, elle ne tarde pas à jouir, de tous les côtés à la fois. Elle sent son vagin se contracter violemment, happant ma main plus profondément tandis qu’une onde de chaleur l’inonde de l’anus à la nuque, lui remontant l’échine, et que de son clitoris, irradie un plaisir total qui fait danser des étoiles derrière ses paupières closes.
Elle se réveille dans mes bras, à nouveau, je lui murmure des bonnes choses, avec un ton très doux, la voix est chaude. Elle cherche ma bouche. A son tour, elle m’embrasse comme jamais elle n’avait embrassé, et elle m’arrache carrément ma chemise. Je ris de sa fougue « Eh là… » Mais le regard qu’elle croise quand je finis de rire est plus noir que jamais. Je la tiens aux hanches, et la plaque contre la table, l’oblige à s’y hisser sans cesser de l’embrasser. C’est moi qui lui ouvre les cuisses, d’un geste péremptoire. Je m’approche.Elle a les fesses sur le rebord de la table, à moitié dans le vide, les jambes pendantes. J’attrape sa cheville gauche, et la porte à mes lèvres, remonte doucement le long du mollet, sans cesser de lui sourire, elle a l’air tendre. Enfin, j’entre en elle d’un coup de rein brutal. Je la tiens aux hanches et la tire plus profond contre moi. Je commence à frotter mon sexe contre son vagin brûlant de désir, d’une lenteur qui la rend folle.. Je suis debout, fier et beau, et elle, abandonnée sur la table, à ma merci. Jamais le contact visuel ne se rompt. Il n’y a plus de baisers, plus de caresses, juste mes mains qui prennent appui sur ses hanches, mes doigts marquant sa peau, et nos ventres soudés.
Les sons rauques qui sortent de ma gorge la font frissonner de joie. ses soupirs, ses gémissements me comblent d’aise. . Je lui fais l’amour avec, la passion, la force, l’impétuosité du désir en plus. Elle jouis très vite, cabrée en arrière, secouée par de longs et violents spasmes autour de mon sexe dardé. L’orgasme qui la submerge est encore plus puissant et magique que le précédent. L’intensité du plaisir la fait fermer les yeux. « Regarde-moi » ordonne-je d’un ton sans réplique.
Elle rouvre les yeux. Je l’oblige à reculer sur la table, sans sortir de moi, je m’y hisse manquant de tomber. Enfin elle sent mon poids qui pèse sur son corps, elle m’enserre entre ses cuisses. Je reviens à sa bouche, l’embrasse longuement, j’embrasse son cou, reviens à sa bouche, Ce répit dans l’assaut est d’une tendresse incroyable.
Puis sans crier gare je reprends de frotter, l’oblige à plier une cuisse contre laquelle je m’appuie. Son ventre est entré dans la danse, elle décolle de la table, vient à ma rencontre. Elle peut enfin me caresser, elle griffe mon dos, malaxe mes fesses musclées…Un troisième orgasme vient la surprendre avec encore plus d’intensité et de plénitude. Sa tête pend dans le vide, je la tire à nouveau sur la table, , mes coudes appuyés de part et d’autre de sa tête, je laisse échapper en même temps une longue et sourde plainte, J’ai jouis, elle laisses le liquide tout chaud la submerger. . Alors seulement, je ferme les yeux…
Après, elle se rhabilla rapidement, elle m’a dit qu’elle n’avait jamais baisé comme ça. Elle me dit qu’on se programmera encore une fois, et qu’on baisera au lit.
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