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Ma femme offerte à un ami

Chapitre 1

Voyeur / Exhibition
Cette histoire explique comment j’en suis arrivé à offrir ma femme à un ami.
Isabelle et moi sommes mariés depuis 6 ans. J’ai beaucoup de chance car elle est très jolie : 36 ans, brune les yeux clairs et des formes à donner envie à des hommes de tous les ages!!! Moi j’en ai 38 et nous formons un couple uni.
Ces derniers temps, notre vie sexuelle était un peu monotone (rapports moins fréquents, baisse de désir). Nos rapports sexuels étaient de plus en plus rares, la routine avait gagné notre couple. Je passais de plus en plus de temps à regarder des films pornographiques ou sur des forums à me délecter d’images pornographiques en me masturbant une fois que ma femme était au lit.
Je me suis rendu compte au fur et à mesure du temps qu’en regardant ses films ou photos, je m’imaginais que c’était Isa qui couchait avec un autre et que cette idée m’excitait beaucoup. En recherchant sur le net, je suis tombé sur un forum que je consultais chaque soir, ou d’autres hommes postaient des photos de leurs épouses qui couchaient avec d’autres hommes, ou qui se l’imaginaient en tous cas... Et chaque soir, je me masturbais devant ces photos en m’imaginant Isa dans des situations de plus en plus perverses... Pour mon plus grand plaisir...
Au début de notre relation, j’avais déjà eu ce type d’envie et avais évoqué cette idée à Isabelle, mais elle s’y était toujours refusée!
ET un jour mon téléphone sonna. C’était Patrice, un ancien collègue que j’avais perdu de vue depuis quelques années car il avait déménagé pour le boulot et qui était de passage dans la région. On était resté en contact par mail et par téléphone et on prenait des nouvelles de l’un l’autre environ deux fois par an. Il a demandé s’il pouvait passer un soir et j’étais enchanté. J’en parlais à Isa qui ne cacha pas sa joie, car elle l’appréciait beaucoup. Patrice avait la cinquantaine, divorcé, les cheveux grisonnant avec une petite moustache et assez bien conservé pour son âge.
Il ne m’a jamais caché son attirance par Isabelle. Il s’est confié à moi et s’arrangeait pour faire à chaque fois de petites allusions auprès d’Isabelle quand on se voyait avant qu’il ne déménage (genre il ne faudrait pas qu’il me laisse seul avec toi, ou tu sais que tu es très jolie). Patrice avait une vie sexuelle assez débridée, ce qui explique le fait qu’il ne se soit jamais remarié après son divorce pour adultère qui devait remonter à une dizaine d’année. Et je savais aussi que le fait de coucher avec ma femme, ou celle d’un autre homme, ne lui poserai sans doute aucun souci de conscience.
A la simple pensée de sa venue, je me suis dit qu’il fallait qu’il se passe quelque chose. Quitte à provoquer les choses, je voulais que mon fantasme devienne réalité, peu importe les conséquences: elle y prendrait peut être goût, peut être me trompera-t-elle d’autre sans que je le sache (à moins que ce ne soit déjà fait), mais ces désirs refoulés dormaient depuis trop longtemps au fond de moi, et il était temps que je les assume.
Le plus dur restait à faire: convaincre ma femme... A moins qu’elle ne cache bien son jeu et qu’elle mène déjà une double vie... Ou qu’elle ai les mêmes attentes que moi sans vouloir me l’avouer.
Le soir même, Isa et moi avons fait l’amour.
Je scrutais chaque détail de son corps: le galbe de son 95C, son minou épilé, sa taille fine et ses hanches rebondies, ainsi que ses fesses au milieu desquelles on a envie de s’abandonner: elle était toujours aussi désirable...
— Que t’arrive-t-il ce soir, me demanda-t-elle. Il y a bien longtemps que nous n’avons pas fait l’amour aussi intensément.
Et j’ai alors évoqué l’hypothèse qu’elle couche avec Patrick lors de sa venue... Pour la première fois, elle ne répondit pas non, mais resta assez évasive...
— C’est cette idée qui t’a rendu aussi performant ce soir?
— Je de t’avouer que oui, l’idée de te voir te faire prendre par un autre et assister à vos ébats m’excite terriblement, lui répondis-je.
— C’est vraiment ce que tu veux, toi qui est un jaloux maladif? me demanda-t-elle. Je ne peux pas te répondre ce soir, cette idée soudaine me choque un peu, laisse moi le temps de la réflexion... C’est vrai que Patrice est plutôt bel homme... Cela semble te faire de l’effet en tous cas.
Elle m’embrassa tendrement, ce qui n’était pas arrivé depuis quelques temps et la discussion s’arrêta là.
Patrice est arrivé un Samedi après midi, le temps était superbe en cette fin de printemps. Isa était absente, nous sommes allés prendre un verre dans un bar, et très vite la discussion se porta sur Isa.
— Ta femme est toujours aussi jolie? , me demanda Patrice avec un clin d’œil.
Je lui expliquai que notre vie sexuelle était calme en ce moment et lui fît part de mon fantasme de laisser Isa coucher avec un autre homme devant moi.
Et je lui fis sentir que cet homme, ce serait certainement lui sans lui dire ouvertement, mais je vis bien qu’il comprit de suite ce que je sous entendais.
— Tu es en parlé avec elle?, me demanda Patrice
— Oui, lui répondis-je. Et elle n’a pas refusé, elle m’a juste dit qu’il fallait qu’elle y réfléchisse, mais nous n’en n’avons pas reparlé.
Quand nous sommes revenu Isa était rentrée. Elle commençait à préparer le repas pour le soir.
Elle ne cacha pas sa joie de voir arriver Patrice et l’embrassa chaleureusement.
Une fois qu’elle eu terminé, elle dit à Patrice.
— Prends tes affaires et suis moi que je te montre ta chambre.
-Ah bon, on ne dort pas tous les deux ce soir, rétorqua Patrice en rigolant?
Isa se contenta de rougir, et lui répondit en souriant:
— Apparemment, tu n’as pas changé.
Je les accompagnais à l’étage, Patrice s’installa dans la chambre d’ami qui était face à la notre.
— Je vous laisse Messieurs, je file prendre une douche et me changer.
Pendant ce temps, Patrice et moi avant pris un premier verre d’apéritif, tout en discutant de choses et d’autres.
— J’ai un coup de fil à passer, me dit Patrice.
— Pas de soucis, fais comme chez toi, lui répondis-je, je vais profiter pour aller me changer.
Il prit son portable et se dirigea vers le jardin pour téléphoner.
Je frappais à la porte de la salle de bain ou Isa s’était enfermée.
— C’est moi ma chérie.
Elle m’ouvrit la porte avec précaution car elle était à demie nue, les seins sans soutien gorge offerts à la vue de tous, avec juste un petit string en dentelle noire couvrait son intimité.
Je ne pu m’empêcher de scruter une fois de plus ses formes parfaites.
Elle avait décidé de s’habiller très classe ce soir: elle enfila devant moi sa jolie robe de soirée noire à fine bretelle, très moulante, assez décolletée et fendue jusqu’à mi cuisse.

Si bien qu’à chaque fois qu’elle la portait, elle ne pouvait pas mettre de soutien gorge et portait un string pour éviter que les marques des sous vêtements ne ressortent à travers la robe.
— Dis donc, tu es resplendissante ce soir, m’exclamais-je.
— Je fais juste honneur à notre invité, je suis content de voir Patrice, depuis le temps. Et comme je sais qu’il a un faible pour moi, autant le faire partir dans des pensées inavouables.... Va savoir ce qui peu se passer ce soir...
Elle s’approcha de moi et m’embrassa.
Mais elle laissait toujours planer le doute sur son envie de passer à l’acte.
Son doux parfum me troubla les sens, et mes mains se sont machinalement promenées sur son corps.
J’avais vu plongeante sur son décolleté et ses tétons se sont dressés au simple contact de mes mains... On les distinguait clairement, l’absence de soutien gorge y aidant.
— Arrête, me demanda-t-elle, Patrice va nous attendre.
J’avais une érection monumentale à l’idée de ce qui allait peut être se passer.
J’enfilais une chemise et suivi ma femme pour redescendre dans le séjour.
Patrice était assis dans le canapé, et son expression quand il vit Isa descendre l’escalier en disait long: je vis ses yeux se fixer sur sa poitrine généreuse et sur ses fesses dés qu’elle avait le dos tourné.
Nous nous sommes installés dans le séjour pour prendre l’apéritif. Après quelques verres, l’ambiance était déjà très détendue. Isa demanda à Patrice s’il avait quelqu’un en ce moment, et comme il n’avait personne, elle lui demanda si l’abstinence n’était pas trop dure pour lui.
— Pourquoi, tu as quelque chose à me proposer demanda Patrice avec un regard malicieux?
— J’ai tout d’abord envie que l’on passe une bonne soirée, répondit Isa. Il est encore tôt, la soirée ne fait que commencer.
Dés cet instant, j’ai compris qu’il se passerait quelque chose.
Isa et moi étions assis face à Patrice, et elle prenait un malin plaisir à croiser les jambes. La fente de sa jupe s’ouvrait pour découvrir une bonne partie de ses cuisses, ce qui ne laissait pas indifférent notre hôte.
Je pense que les quelques verres d’alcool ont aidé Isa à se désinhiber un peu, l’alcool devait faire son effet car elle buvait très peu d’habitude. Et même si elle était restée évasive, j’avais toutes les raisons de penser qu’elle avait une idée en tête.
Jamais elle n’aurait tenu se genre de propos auparavant, et elle était entrain de se métamorphoser, telle la chrysalide qui devient papillon: elle devenait tout simplement une femme prête à tout, que ce soit avec moi ou avec un autre.
Ils me regardèrent tous deux, et je leur fit un sourire.
— Tu reprendras un verre? , demanda-t-elle a Patrice.
— Avec grand plaisir, répondit-il.
Elle se leva pour le servir et prit soin de bien se pencher lors du service pour offrir une vue plongeante sur son décolleté.
Patrice eu du mal à cacher son intérêt et eu du mal à détourner ses yeux de la superbe vue qui s’offrait à lui: le galbe rebondit de la naissance des seins de ma femme.
Nous sommes passés au repas copieusement arrosé de vin rouge. En dessert, Isa avait fait un gâteau et nous avons vidé une bouteille de champagne pour fêter nos retrouvailles.
— Je peux fumer, nous demanda Patrice.
— Bien sur, lui répondis-je.
— Je ne vais pas vous enfumer, je vais aller fumer dehors.
— Je peux t’en piquer une? , lui demanda Isa.
Elle ne fumait que rarement, généralement en soirée quand elle avait un peu trop bu.
— Avec grand plaisir, répondit Patrice. Je t’emprunte ta femme, mais ne t’inquiètes pas, je te la rendrais, me dit-il avec un sourire dans la voix.
— Je vais commencer à débarrasser en attendant, leur dis-je.
Je n’avais pas l’esprit tranquille et était presque paniqué à l’idée de savoir Isa seule avec Patrice.
Je les surveillais de loin pendant qu’il fumaient leur cigarettes, tout en discutant. Il était face à moi, je pouvais les observer par la porte vitrée donnant sur la terrasse.
J’étais perdu dans mes pensées, tout en débarrassant la table: un mélange d’excitation et de peur, difficilement explicable avec de simples mots. Le fantasme qui me procurait du plaisir était sans doute entrain de se retourner contre moi...
Arrivé dans la cuisine, je repris un verre de vin que je vida d’un seul trait.
De retour dans le séjour, mon regard se porta naturellement vers la porte vitrée mais... Isa et Patrice n’étaient plus là...
Mon cœur se mit à battre la chamade...
Quoiqu’il puisse se passer, je ne voulais pas briser ce moment, je n’ai donc pas couru vers la terrasse, mais suis monté à l’étage pour observer ce qui se passait depuis le balcon de notre chambre, tout en prenant toutes les précautions du monde pour ne pas faire de bruit en ouvrant la porte fenêtre.
Comme il était tard, le jardin était envahit par l’obscurité, seul un halo de lune apportait un peu de lumière.
Mon sang ne fit qu’un tour à la vision du spectacle qui m’était proposé: Isa était seins nus, avec Patrice collé dans son dos qui lui malaxait la poitrine. Elle s’abandonnait complètement à lui, la tête renversée sur son épaule, une main caressant les cheveux de son amant qui lui embrassait le cou tout en la pelotant.
Puis, elle s’est retournée et l’a embrassé à pleine bouche.
Prise de remords, elle le repoussa, je ne pouvais pas entendre ce qu’il se disaient, car ils chuchotaient.
Elle remonta se bretelle, c’est alors que je décidais de redescendre en pensant qu’ils allaient rentrer.
Effectivement, je fus à peine arrivé dans la cuisine que la porte vitrée de la terrasse s’ouvrait.
— Si on prenait un digestif, proposa Isa.
Patrice et moi acquiescèrent et nous sommes allés nous installer dans le séjour.
je fis le service et Isa vint nous rejoindre quelques secondes plus tard.
Et ce n’est pas à coté de moi qu’elle vint s’asseoir, mais à coté de Patrice.
C’était moi le spectateur désormais: elle croisa les jambes, faisant jouer la fente de sa robe qui découvrait une bonne partie de ses cuisses.

— J’espère que tu es en forme ce soir mon chéri, me lança Isa, j’ai des grosses envies.
— T’inquiètes, répondit Patrice en rigolant, si lui ne l’est pas, moi je suis en pleine forme!!!
Isa s’absenta quelques minutes. Patrice, gêné, me demanda si cela ne me dérangeait pas s’il lui faisait du rentre dedans, et si je supportais les remarques d’Isa. Je lui répondis qu’il n’y avait aucun problème, et qu’il se fasse plaisir.
— Elle est à toi, lui répondis-je, quoiqu’il arrive.
— Tu es sur que...
— Elle est à toi.
Quand elle est revenue, elle reprit place au coté de Patrice et se resservit un verre.
— J’ai un peu trop bu mon chéri, j’ai la tête qui tourne,dit-elle en me regardant et en posant sa tête sur l’épaule de Patrice.
Il la prit dans ses bras protecteurs sans oublier bien sur de laisser son regard tomber dans le décolleté de ma femme et de laisser une main sous l’aisselle d’Isa en débordant sur ses seins et l’autre vagabonder sur sa cuisse.
J’étais à la fois excité et pétrifié: le point de non retour n’était pas loin d’être franchit, et une érection que je ne pouvais contrôler commençait à gonfler mon pantalon.
Je voyais les tétons de ma femme pointer à travers le tissu de sa robe, signe quelle n’était pas insensible à ses caresses.
A la vu de cette scène, je vidais mon digestif d’un trait.
— Alors Isa, tu as de grosses envies ce soir, c’est ton mari qui va être content, quelle chance il a,j’aimerai être à sa place!!!, s’exclama Patrice. — Laisse le ou il est, lui répondit-elle en se laissant tripoter et en me regardant droit dans les yeux.
Elle se redressa légèrement et embrassa Patrice à pleine bouche, alors que ce dernier laissait ses mains vagabonder sur son corps.
Il fit glisser les bretelles de la robe ce qui découvrit la superbe poitrine d’Isa. Il s’empressa de la caresser et de lui mordiller les tétons qui étaient déjà dressés de plaisir.
Isa me regardait alors que Patrice laissait traîner sa langue sur ses tétons... Une de ses mains s’était engouffrée dans la fente de sa robe, et il avait commencé à la toucher.
Son souffle s’accéléra et les gémissement prirent vite le relais.
La main de ma femme s’était dirigée vers le pantalon de Patrice, elle ouvrit la fermeture éclair et libéra son membre déjà en érection.
Je fut surpris par la taille de la verge de Patrice. Il était plutôt bien monté, mieux que moi en tous cas!
Elle ne le fit pas attendre: après quelques va et vient dans sa main, elle se pencha et goba toute entière cette queue dressée par la plaisir, tout en me faisant face. Chose qu’elle faisait rarement avec moi... Et vu la réaction de Patrice, elle semblait faire cela divinement bien
— Ouaah, quelle queue, s’exclama Isa, cela va me changer, ajouta-t-elle en me dévisageant.
Son regard semblait me défier et me dire:
— C’est ce que tu voulais, maintenant tu l’as!!!
Puis elle s’arrêta, il se levèrent tous les deux et commencèrent à se déshabiller mutuellement tout en mélangeant leur langues.
la robe d’Isa tomba à ses genoux et la chemise de Patrice ainsi que son pantalon et son slip furent tout aussi vite enlevés.
Tout en les regardant, je quittais moi aussi mes vêtements et commença à me masturber.
Patrice avait oublié jusqu’à ma présence, mais Isa ne me lâchait pas du regard.
Patrice s’allongea sur la canapé.
— Viens ici ma poulette, tu suces trop bien, il faut que tu continues... J’aime les sexe de femme épiles, viens que je goûte à ton intimité.
Cette scène dura quelques minutes, entraînant un balai de gémissements de part et d’autres et de bruits de liquide, mais je sentais bien qu’ils avaient envie de plus tous les deux.

Isa se releva, et demanda à Patrice de s’asseoir sur le canapé.
Tout en me tournant le dos, elle vint s’empaler sur ce pieu humide qui la perfora.
On y était... Enfin... La verge d’un autre explorait l’intimité de celle que j’aimais plus que tout au monde.
Je voyais ce dernier aller et venir en elle, tout deux gémissaient comme si c’était la première fois, et ces derniers étaient à peine atténues par les baisers profonds qu’ils se donnaient.
Cette chair rosée et humide qui s’offrait à mon regard et que j’étais le seul à avoir exploré depuis des années, cette poitrine qui ballottait et cette bouche étaient ce soir la propriété d’un autre.
Isa ne manquait pas de tourner la tête pour me dévisager avec ce regard que je n’oublierai jamais.
Elle gémissait de plus en plus fort.
Isa sautillait comme une diablesse sur le pieux de Patrice qui lui malaxait les seins!!

Ce tableau dura quelques minutes, puis Patrice se retira et ils ont adopté une position classique, celle du missionnaire. Isa prenait visiblement beaucoup de plaisir, je voyais ses seins ballotter sous les coups de reins de Patrice . Ses yeux se plissaient sous le plaisir entre deux gémissements. Patrice lui, avait complètement oublié ma présence et défonçait littéralement Isa.

Trop excité, je m’approchais et présenta mon sexe devant la bouche d’Isa qui me repoussa.
— Non, laisse nous, me dit-elle avec toujours ce même regard.
Elle s’était transformée en une vraie salope, comme jamais elle ne l’avait été avec moi!!
Je sentais que Patrice allait craquer, ce fut chose faite quelques minutes plus tard. Il se vida littéralement en elle, mais ne se retira pas tout de suite et continua à aller et venir en lui malaxant la poitrine pour la conduire à l’orgasme qui n’était plus très loin.
De mon coté, je n’allais pas tarder à jouir non plus. Isa m’implora de venir et elle finit de m’achever dans sa bouche ou elle avala chaque giclée que ma verge libéra, et c’est à ce moment qu’elle prit réellement son pied!!
Exténues par notre folle aventure, nous sommes tous allés nous coucher.
Je me suis réveillé vers trois heures du matin, Isa n’était pas dans notre lit.
Des gémissements venaient de la chambre d’ami... La porte était entre ouverte... Ils avaient remis çà, sans que je le sache cette fois...
D’autres aventures à suivre!!!!
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