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La femme parfaite

Chapitre 1

Erotique
La rencontre Je ne pensais pas que ce genre de choses pouvaient m’arriver aussi rapidement. Je m’appelle Nathan, j’ai 19 ans et je suis étudiant en droit à la faculté du Havre. Là-bas, j’ai rencontré une fille pour laquelle, dès que mon regard s’est posé sur son visage angélique, sur ses courbes parfaites, sur ses habits envoûtant, je suis immédiatement tombé sous le charme. Pourtant, moi qui n’avais rien de bien extraordinaire, je savais que mes chances de la séduire étaient aussi élevées que mes chances de comprendre un jour la mécanique relativiste, c’est-à-dire quasi nulle. Mais apparemment, l’erreur est humaine. Après mon cours sur la législation et tout le blabla qui s’en suivait, je m’apprêtais à manger un petit truc à la boulangerie d’en face. Ils y faisaient des sandwiches à tomber par terre. Je m’y rendais donc et, surprise, juste avant de commander, je me retourne et là, je LA voyais, devant moi, à peine entrée dans la boulangerie. Elle me regardait, je lui répondait par un sourire. C’était peut-être un effet de mon imagination mais, pendant quelques instants, j’étais persuadé qu’elle s’était remaquillé, enfin, ça j’en était certain, mais j’avais le sentiment étrange qu’elle n’était pas entrée ici par hasard. Je lui faisait signe de me rejoindre. Elle double les quelques personnes attendant derrière moi en s’excusant -sa politesse sans faille me rendait encore plus fou d’elle que je ne l’étais le matin-même- et me rejoignit avec un sourire.-Alors toi aussi tu viens manger ici ?Je m’apercevais, après un peu plus d’une seconde, que c’était à moi qu’elle s’adressait. Je n’en revenais toujours pas. Gêné, je hoche la tête. Puis, en voyant le visage impatient du sexagénaire derrière moi, je me rappelais soudain que je n’avais toujours pas commandé. Je me tournais alors vers la boulangère et, arborant mon sourire le plus éclatant, si éclatant que j’aurais pu postuler pour faire de la publicité à une marque de dentifrice, je lui récitais ma commande habituelle.-Bonjour, donc vous me mettrez un sandwich américain, avec une petite bouteille d’Oasis et vous me rajouterez une part de gâteau au citron s’il-vous-plaît. Je me tournais alors vers la créature de mes rêves, la femme que Morphée lui-même n’aurait eu idée de faire apparaître dans mon esprit, même pendant mes rendez-vous personnels avec ma main droite pensant à des vidéos pornographiques. -Tu prends quelque chose, c’est moi qui invite.-T’es trop mignon ! Je prendrais pareil, me répondit-elle en souriant. Je rougissais un peu, j’espérais seulement que cela ne se remarquerait pas trop, je n’avais pas envie que tout le monde se moque de moi, et surtout pas la petite boulangère, depuis trois mois elle me voyait tous les midis, préparant minutieusement mon repas que je dévorais. Je me tournais alors vers ma boulangère préférée.-Excusez-moi d’être un client difficile, mais est-ce qu’il serait possible d’en avoir un deuxième, c’est pour la charmante demoiselle.-Mais bien sûr, je ne refuse rien à un client souriant, surtout quand il est mignon, répondit-elle en préparant le deuxième sac à repas en me faisant un clin d’œil.Je récupère les deux sacs et pose un billet de dix euros sur le comptoir, lui précisant de garder la monnaie. Elle me remerciait et ce fut avec un au revoir que nous sortîmes de ma boulangerie préférée, celle depuis laquelle j’avais réussi un coup de maître, séduire une véritable sirène. Nous marchâmes jusqu’à un parc voisin dans lequel nous dégustâmes nos sandwiches, absolument délicieux, la sauce qu’ils rajoutaient avec le poulet, la salade, les crudités et les œufs étaient à tomber et je pouvais voir à son visage qu’elle n’en pensait pas moins. Pendant le reste du repas, nous avions discuté de tout et de rien, de nos vies, de nos familles, de nos études. J’avais alors pu découvrir qu’elle était étudiante en biologie moléculaire, une de ces matières scientifiques dont je ne comprenais strictement rien. Elle me sortais des noms de molécule, me parlais de méiose ou d’autres trucs aux noms plus incompréhensibles les uns que les autres. J’avais pourtant essayé de répéter leurs noms, mais je ne réussis qu’à la faire rire en disant n’importe quoi. Je regardais alors ma montre et ce que je craignais était plus qu’une réalité : les cours allaient reprendre. Nous décidâmes alors de nous retrouver ce soir après les cours dans ce parc et, ceci fait, nous faisions route ensemble vers la faculté. Pendant mon cours de quatre heures sur les politiques étrangères, j’eus beaucoup de mal à me concentrer sur autre chose que sur la merveille avec laquelle j’avais déjeuner précédemment. Je repensais à son sourire radieux, à ses yeux d’un vert éclatant, à ses cheveux d’un brun parfait. Je ne croyais pas au coup de foudre, mais là, j’avouais que j’avais été pris de court. Au bout de ces quatre heures interminables, je me rendis naturellement au point de rendez-vous. Une fois arrivé, je m’aperçus qu’elle m’attendait, assis sur le banc, lisant une page de son livre de sciences. Je l’interpellais et, levant le nez de son bouquin, un sourire radieux inonda son visage comme le soleil éclaire la terre et nous offre la vie à nous, humains. Elle reposa son ouvrage que j’attrapai furtivement en découvrant qu’elle se documentait sur les effets de la fécondation. Elle sourit et je les lui rendit, le sourire et le livre. -Intéressant ce que tu nous lis. Là, tu vois, je comprends ce qui est écrit.Elle se met à rire, un rire me rendant tout émoustillé. -Évidemment, c’est pour ça que je l’ai choisi, je me suis dit que tu t’y connaissais certainement.Je ne m’était pas préparé à ce genre de choses et je ne trouvai pas quoi répondre et ce durant plusieurs secondes, alors elle posa un doigt sur mes lèvres et continua.-Alors t’es puceau, c’est dingue ! Un charmant garçon comme toi !-Eh oui, qu’est-ce que tu veux, la vie est mal faite.-Pas tant que ça, nous sommes l’un en face de l’autre, ce n’est pas suffisant.Ne me laissant pas le temps de répondre, elle enroula ses bras autour de mon cou et m’embrassa fougueusement. Je lui rendis ce baiser, me découvrant plutôt bon à ce petit jeu. Sans dire un mot de plus, elle me prit par la main et nous marchâmes ensemble une dizaine de minutes jusqu’à arriver devant une porte en bois blanc. Elle sortit sa clé et m’ouvrit la porte, elle venait de m’inviter chez elle. Sans réfléchir davantage, je rentrai à l’intérieur et elle m’accompagna jusqu’à son appartement situé au troisième étage. Elle était passée devant, alors pendant toute la montée, je pouvais pleinement profité de ses belles fesses bien formées, se dandinant, suivant la marchant de ses pas réguliers. Arrivé tout en haut, elle ouvrit la porte.-Alors, tu as profité de la vue j’espère.Je me mettais à rougir de nouveau, la faisant sourire pour la soixante-deux mille huit-cent trente et unième fois. Nous passâmes la porte, je posai mon manteau sur la patère à ma droite et elle me fit passer une porte au fond du couloir. J’étais dans sa chambre et, me retournant, elle enroula ses bras autour de ma nuque pour m’embrasser longuement et tendrement. Nous reculâmes pour atteindre le lit et nous nous allongeâmes dessus, la nuit allait être torride, pensais-je tandis que sa main se posait sur mon jean, là où se trouvait mon pénis, prêt à bondir.
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