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Ma femme en partage - la confrérie des libertins

Chapitre 2

Avec plusieurs hommes
Au milieu de la pièce, lorsque mes yeux furent habitués à cette légère pénombre, je découvris la présence de ma Laurence, arrimée horizontalement sur des éléments de cuirs, eux-mêmes joints à des sangles attachées à un gros anneau métallique fixé au plafond. Le bandeau noir masquait toujours son regard.
La vieille domestique qui l’avait prise en charge à notre arrivée lui parlait doucement à l’oreille tout en lui pinçant délicatement la pointe des seins. Ma femme avait les cuisses écartées et un gros gode emplissait sa chatte rousse tandis qu’un plug était calé dans son petit trou.
Tous les membres de la confrérie libertine s’approchèrent, la plupart caressant leur queue raide. Franck et moi-même restâmes en retrait pour mieux observer la scène. Les huit hommes à cheveux blancs et gris entourèrent ma femme et commencèrent à poser les mains sur son corps. Des bouches se posèrent sur ses tétons mais c’était plutôt ses cuisses, ses grosses fesses et sa chatte rousse velue qui attiraient les doigts et les mains baladeuses de ces messieurs.
Paul interpella la femme habillée en soubrette. Celle-ci était discrètement entrée après nous. Ses gros seins étaient extraits du corsage et en débordaient généreusement de toute leur plénitude : « Camélia, libère Madame Laurence de ces objets qui lui obstruent le con et le cul ». Camélia s’approcha entre les cuisses de ma femme, écartant au passage quelques hommes. Elle retira délicatement le plug anal, puis le gode de belle taille qui était bien calé dans sa chatte, non sans avoir fait faire quelques allers-retours à l’objet suintant qu’elle retira ensuite, laissant la chatte béante entre la touffe de poils roux frisés. L’objet et la chatte de Lolo avaient visiblement été bien enduits de gel et tout semblait fort bien lubrifié. Camélia fit glisser deux doigts dans le sexe de Laurence…à ma connaissance, c’était la première fois qu’une femme la touchait à cet endroit. Toujours aveuglée par le bandeau, Elle gémissait. Paul intervint de nouveau : « Camélia, faites place ».
Le plus ancien du groupe s’avança, il avait au moins 75 ans et se prénommait Jacques. Légèrement bedonnant et vouté, il arborait néanmoins encore une queue de belle allure. Il se pencha entre les cuisses de ma femme, passa les doigts dans sa toison et posa sa bouche entre les lèvres brillantes du sexe dilaté. Après une courte dégustation, il avança sa queue et la fit coulisser dans le con de ma Laurence, bien suspendue face à lui. Il la prenait par les hanches et la faisait se mouvoir en cadence pour la baiser sans avoir lui-même à donner des coups de bite. « Alors, Jacques, fit Paul en caressant les seins de Laurence, comment trouve-tu cette jolie rouquine ? ». « Aaah, mon Paul, c’est un velours. Le cul est moelleux, les cuisses sont larges et douces et ce con velu est un enchantement pour ma vieille queue…un peu large, peut-être…je vais me finir au cul de cette salope ! ».
Semblant hyper sensible et à fleur de peu, Laurence gémissait de toutes ces mains avides posées sur elle et caressant la moindre parcelle de son corps offert, de ces bouches suçant ses seins, de cette queue encore raide qui la prenait.
La respiration de Jacques, l’ancien, accélérait. Immobile, il balançait subtilement Laurence qui s’empalait de quelques centimètres sur mon membre à chaque balancement. Comme il l’avait annoncé, il sortit bientôt sa queue suintante de gel et de mouille, et la descendit devant le petit trou de Lolo qu’il encula d’un coup. Elle poussa un petit cri de surprise et de plaisir. Après quelques va-et-vient, il poussa un petit cri de plaisir ; il venait de vider sa semence dans le cul de Lolo. Il resta immobile quelques secondes et décula. Après une ultime petite caresse dans les poils de ma femme, il céda la place à un autre membre de cette confrérie, qui enconna Laurence et entreprit de la baiser d’une manière plus cadencée et endurante que Jacques. Laurence gémit de plus belle face à cet expert à la queue longue et épaisse, qui finit par jouir abondamment dans la chatte de Lolo.
Les hommes la baisaient à tour de rôle, certains prenant leur plaisir dans le trou doux et étroit du gros cul de ma Lolo, d’autres dans son ventre ou dans ses poils roux.
Pour ma part, j’étais intensément excité de l’image de ces queues inconnues qui défonçaient les orifices de ma Laurence chérie, ma petite femme gémissante qui prenait tant de plaisir par le contact de ces membres de toutes sortes qui l’honoraient si bien.
Franck, restant dans l’ombre de l’autre côté de la pièce, observait cette scène interminable avec intérêt en se faisant sucer par la grosse Camélia, à genoux devant lui. Il me fit signe de le rejoindre, ce que je fis. Camélia prit ma queue en bouche, la faisant rapidement durcir de nouveau. Elle nous suçait en alternance, Franck et moi, branlant l’un d’une main ferme et suçant l’autre. « Tu crois que je peux la baiser ? », dis-je à Franck. «Si elle est d’accord, profites-en Manu, ils sont tous bien occupés avec ta petite femme ».
Je pris un fauteuil, m’assis et fis signe à Camélia de venir sur mes genoux. Elle n’avait pas de culotte sous sa jupe de soubrette et empala ma queue dans sa chatte grisonnante en s’asseyant. Elle suçait toujours Franck, placé face à elle, tandis que je profitais de la position pour palper à pleines mains ses gros seins. Elle avait visiblement une besoin urgent de queue et soulevait rapidement le cul sur mon membre qu’elle enfournait à chaque fois profondément en elle. Je pelotais à chaque instant cette femme bien en chair qui me semblait déborder de cuisses, de fesses et de nichons. Je l’immobilisai quelques secondes le temps que Franck, baisant sa bouche, finisse de jouir en lui tenant la tête, puis j’agrippai ses fortes hanches pour qu’elle accélère et que je remplisse son con de mon sperme chaud.Aussitôt fait, elle se releva, remit rapidement sa culotte et s’éloigna discrètement de nous après une caresse affectueuse à ma queue gluante. Franck me fit un clin d’œil : « Tu trompes ta femme, maintenant ? ».
Je repris vite l’observation de l’activité de ma Lolo qui était alors ardemment besognée par Julien, vieux chauve à la digne barbe blanche qui semblait avoir une résistance à toute épreuve. Sa grosse queue aux poils blancs pilonnait le sexe de ma femme. Il la prenait par ses hanches pleines et la faisait aller et venir sur sa queue qui ressortait presque intégralement d’elle à chaque fois. J’entendais, d’où j’étais, le halètement de ma femme qui montait progressivement en puissance sous les coups de boutoir du vieil homme dont la vigueur me surprenait davantage à chaque seconde. Puis Laurence poussa de réels cris de plaisir, de plus en plus rapprochés, à chaque fois que la queue l’emplissait. Elle semblait devenir hystérique à mesure qu’elle approchait du plaisir intense qu’elle approchait à chaque instant. Je n’avais jamais observé son visage ressentir une telle intensité. Les autres membres de la confrérie, tout en tripotant encore le corps de ma femme, observaient tour à tour ce visage et le spectacle saisissant de ce membre viril qui la besognait. Lolo poussa un long cri de plaisir et de soulagement en atteignant l’orgasme. Après deux coups de queue supplémentaires, Julien la ressortit et encula directement ma femme qui poussa un nouveau cri en se raidissant de tout son corps. Il déchargea longuement sa semence dans les fesses de Lolo qui eut encore quelques tremblements puis se détendit. Elle était en sueur et un sourire douloureux marquait son visage.
Il restait encore deux anciens à attendre, la queue raide, après le passage de Julien, qui était visiblement le plus performant de la bande. Tous le regardaient amicalement, avec une dose visible de respect.
Les deux derniers étaient Maxime et Paul, le maître du lieu. Laurence étaient un peu assoupie. On pouvait voir du sperme sortir lentement de sa chatte rousse béante et couler vers le sillon fessier. Aussi, ce fut par le cul qu’ils la prirent brièvement, jouissant chacun à tour de rôle après quelques minutes de mouvement.
Les huit membres de cette étrange confrérie, comme dans un rituel, vinrent à tour de rôle baiser la main de Laurence et poser un baiser rapide sur ses poils pubiens, avant de quitter la pièce pour regagner le salon bleu, remettre de l’ordre dans leur tenue de soirée et se réhydrater un peu.
Accompagné de Franck, je m’approchai rapidement de ma femme, épuisée : »comment ça va, ma chérie ? ». « Ooh, Manu, c’était trop bien, qu’est ce que j’ai pris, je n’en peux plus… », Me répondit-elle d’une voix faible. J’allais faire signe à Franck de m’aider à la détacher de ce singulier harnachement quand la domestique, celle qui l’avait « préparée » arriva en poussant une table à roulettes sur laquelle était posée une bassine d’eau chaude en émail, des serviettes, des gants de toilette, des éponges douces.
Elle essuya d’abord le visage de Laurence, qui avait toujours les yeux bandés, l’embrassant ensuite subrepticement au coin de la bouche, puis pris un gant chaud et humide, du savon liquide parfumé, et s’occupa attentivement de la toilette de la chatte. Après avoir retiré l’essentiel du liquide blanc qui sortait encore de son sexe et de son cul, elle la savonna abondamment, à diverses reprises, avec une grande douceur, introduisant à plusieurs reprises deux ou trois doigts dans la chatte. A l’aide de plusieurs gants, elle nettoya ensuite tout le corps de mon épouse chéri, la sécha avec des serviettes éponge épaisses et délicates. Elle revint vers la chatte, sembla vérifier le bouclage de la toison, écarta les lèvres sur lesquelles, à notre surprise, elle vint poser la bouche.
Agenouillée entre les cuisses de Laurence, elle lécha quelques minutes le sexe de Lolo, s’attardant régulièrement sur le petit clitoris qu’elle aspirait et titillait avec beaucoup d’attention. Ma femme soupirait par l’effet de cette sollicitation supplémentaire. Avec un soupir de regret, la domestique sembla reprendre conscience de notre présence et interrompit sa dégustation.
Elle apporta les vêtements de Laurence, lui passa elle-même sa culotte à dentelle noire puis la détacha, la faisant se remettre debout avant de l’aider à remettre son manteau.Franck se tourna vers moi : « Raccompagne Laurence à la voiture, Manu, je vous rejoins dans un instant. Installez-vous à l’arrière ; c’est moi qui vous ramène. Mais ne retire pas encore le bandeau ».
La domestique nous conduisit vers la sortie et nous nous installâmes, ma chérie et moi, sur la banquette arrière de la belle automobile de notre ami Franck, garée dans l’allée de gravillons. Il faisait doux. Nous étions bien. Je pris Laurence dans mes bras. Elle était douce, et sentait si bon... Comme je l’aimais et comme j’étais fier d’être le mari d’une femme si belle, excitante et désirable ! Elle me serrait fort aussi, à la fois honteuse et épanouie, soulagée et reconnaissante du bonheur qu’elle venait de découvrir, prise par huit queues en une soirée…
Franck arriva bientôt, s’installa énergiquement au volant : « Ça va les amoureux ?...Allez, je vous ramène à la maison ! ».
Durant le trajet, après de longues minutes de silence, Il nous fit part de la grande satisfaction de notre hôte et de ses amis, me transmettant en même temps de leur part une épaisse enveloppe emplie de billets de banque. Cela me surprit (ce n’était pas prévu), me choqua presque dans un second temps, mais Franck me dit : « apparemment, c’est de très bon cœur. Paul a insisté pour que j’accepte et je lui ai alors garanti que tout serait consacré à l’achat de luxueux cadeau pour Laurence. Je n’allais pas refuser, non ? ».
J’embrassai encore une fois ma femme et la voiture poursuivit son trajet dans la nuit…
FIN
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