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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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La femme du PDG

Chapitre 1

Inceste
Hubert Nasdacq est PDG d?une grande entreprise d?agroalimentaire ayant des ramifications mondiales. Il passe le plus clair de son temps à diriger ses affaires. A 55 ans passés, c?est un homme accompli.Sa vie conjugale n?existe plus qu?à travers les diverses réceptions qu?ils donnent ou auxquelles ils sont invités.Son épouse Simone, 54 ans, s?en fiche éperdument. Son seul plaisir est d?être arrivée en haut de l?échelle et de dépenser sans compter la fortune que son mari a outrageusement amassée.Grande, blonde à l?épaisse tignasse souvent en chignon, sa beauté s?est perdue avec les années et la bonne chère.Sa poitrine, déjà forte lorsqu?elle était plus jeune, s?est renforcée au même rythme que son tour de taille.Malgré tout, ses seins lourds et plantureux plaisent toujours à en juger par les regards masculins qui ne manquent pas de s?y attarder.Bien entendu lorsqu?ils ne sont pas maintenus, ils ont plutôt tendance à tomber. Le poids des ans?Son cul a pris le parti d?être en harmonie avec le reste. Large et rond, il complète l?allure chevaline de Simone.Si l?on en doutait dans ses jeunes années, elle ne peut plus renier ses origines teutonnes.De toute façon, son mari n?y prête plus guère attention n?en ayant ni le temps ni l?envie. Cela fait des années qu?il ne la touche plus et elle sait très bien qu?il lui préfère des maîtresses occasionnelles ou des professionnelles pour soulager (toutes) ses bourses.Mais Simone s?en fout ! Du moment que son train de vie est assuré et que sa position sociale élevée soit reconnue voire redoutée.Elle comble ses manques affectifs par des masturbations épisodiques, bien suffisantes pour calmer des ? chaleurs ? parfois trop fortes.
Pour se donner bonne conscience, elle investit - financièrement - dans des ?uvres caritatives et participe même, une fois l?an, à la distribution de la soupe populaire à des SDF.Oh, une heure ou deux, guère plus ; suffisamment pour se montrer en fait? Ces résidus de la société (comme elle les appelle en privé) la débectent, elle a horreur de leur peu de manières et surtout de l?odeur qui les accompagne.
C?est aujourd?hui d?ailleurs qu?elle doit s?y rendre. Ca ne l?enchante guère mais elle sait tout le profit qu?elle en tirera en terme d?image et de notoriété.Elle passe un ensemble Chanel - tailleur, jupe rose saumon assortie et veste - et des chaussures à talon.Un carré Hermès et un sac Dior complètent la tenue sans oublier quelques gouttes de Chanel N?5.La voilà prête à affronter les ? gueux ?.
Lorsqu?elle arrive dans la salle polyvalente, les tables sont déjà dressées et les ? convives ? attablés. — Pfff ils puent davantage chaque année !Après quelques salamalecs d?usage elle attrape le photographe de presse pour qu?il l?accompagne dans son tour de tables.5 photos d?elle tendant un bol aux nécessiteux sont à ses yeux suffisants et déjà elle se dirige vers une issue de secours pour s?éclipser en douce. Un couloir, très faiblement éclairé la sépare de la sortie.
Arrivée au milieu de celui-ci, à l?endroit le plus sombre, elle sent une main attraper sa fesse et une voix dire :— Alors ma bonne dame on s?en va déjà ?Surprise, elle laisse échapper son sac et dans un réflexe se penche pour le ramasser faisant remonter sa jupe et mettant inconsciemment en valeur son gros cul.L?inconnu en profite pour poser une deuxième main sur ces fesses offertes et commencer à les palper sans vergogne. Puis, s?enhardissant, il les glisse sous la jupe pour immédiatement aller trifouiller son entrejambe.— Tu bouges pas ! Dit la voix d?un ton autoritaire.Simone est terrorisée. Mais que quelqu?un vienne ! Hélas la distribution de repas a à peine commencé ; qui, a part elle, partirait à peine arrivé?L?inconnu ne fait pas dans la dentelle. Il a déjà écarté la culotte pour introduire 1 doigt dans sa chatte et un pouce dans son cul.— AIE !! Ca fait mal !— Ta gueule poufiasse ou j? t?en colle une !! Le bruit de la salle est trop important pour que quelqu?un ait pu entendre.— Laisse toi faire la vieille et y t?arriveras rien. Sinon?Cette menace achève Simone. Ses jambes flagellent et sa tête bourdonne. Et l?autre qui continue à fourrager sauvagement entre ses cuisses et entreprend de lui ôter sa culotte. Malgré elle, Simone l?aide en soulevant les jambes pendant qu?il fait glisser le morceau de tissu. Lorsqu?il la trousse,elle prend son courage à deux mains et tourne la tête. Un clochard ! Gros et adipeux ! Elle se disait aussi, elle avait encore en nez cette odeur de sueur acide qui régnait dans la salle. Elle comprend maintenant !Toujours est-il que sa jupe est relevée sur son dos et que ce salaud pétrit à pleines mains ses grosses fesses. Puis les écarte pour admirer son trou du cul avant d?y plonger, voracement, sa bouche. Elle sent la langue forcer ses entrailles? ? Mon dieu, dites moi que ce n?est pas vrai !! Je suis en train de me faire lécher l?anus par un clodo ? se dit elle tout bas?— Oh bordel, mais c?est qu?elle sent du cul la bourge ! Ca s?met du parfum à 500 balles mais entre les fesses ça fouette !! Laisse toi faire ma cochonne, y va bien t?lécher l?Jeannot. A t?elle le choix ? ? Il est peut-être armé? ?Désespérée, elle décide de ne rien tenter. Et puis? Son bas ventre réagit différemment de sa tête ; ce qu?il ressent est en complète contradiction? Il faut dire que la langue est active et ne chôme pas? ? Mais mon dieu, c?est un clodo ! ??.Oui, mais ça fait un moment qu’on ne l?a pas touchée et jamais de cette façon?? Et puis M? ? se dit elle et elle cambre les reins.— Mais c?est qu?tu commences à apprécier ma cochonne !!!Elle apprécie, oui ! Surtout que ce vieux saligaud la doigte maintenant tout en ne ménageant pas sa peine entre ses fesses !Oh oui elle apprécie ! elle remue même sa croupe tellement elle apprécie ! Et l?odeur fauve que le clodo dégage ! Autant elle en était dégoûtée, autant ces phéromones agissent maintenant de façon radicalement opposée Cette odeur l?excite !! Et elle jouit?fort, fort à en avoir mal ! Et elle gigote, de façon désordonnée, tel un pantin désarticulé. Les spasmes sont longs et semblent ne jamais devoir s?arrêter.— Eh ben ma salope ! Tu caches bien ton jeu toi ! Simone est obligée de s?appuyer contre un mur, tétanisée, abrutie par l?orgasme. Sa jupe est toujours relevée, et elle a gardé ses cuisses écartées dans une position obscène.— Bon, ben faudrait p?tête t?occuper d?moi maintenant ma poule !Simone émerge lentement. Le regard vide, elle dévisage celui qui lui a donné tant de plaisir :?Mon dieu quelle horreur !? : Un visage crasseux et gonflé ; chauve et bedonnant, il porte une veste de survêtement immonde et sans âge sur un pantalon infâme. La cinquantaine bien tassée, il est plus petit qu?elle et son sourire laisse découvrir des chicots noirs. Son haleine vinassée soulève le c?ur de Simone.Elle a recouvré ses esprits et jauge la situation. ? Oh non, mon dieu non ! ? songe t?elle en le voyant retirer la corde qui maintient son pantalon. Le clodo fait glisser celui-ci sur ses mollets découvrant un sexe trapu, veineux et gonflé. L?odeur âcre qui s?en dégage ne laisse rien présager de bon?— Allez, ma belle, à ton tour de m?faire du bien. Viens m?faire une bonne pipe ! Il agrippe Simone par un bras et en la tirant, l?oblige à se mettre à genoux, le visage à hauteur de son sexe.Ce vieux salaud attrape alors sa queue en la retroussant. Quelle horreur ! Le gland marbré de traînées blanches, noires même par endroits.Et l?odeur ! Une puanteur innommable ! Du fromage en décomposition ! Un Munster de 1 an d?âge ! Ca doit faire un sacré moment qu?elle n?a pas vu d?eau ! Ce qu?il confirme :— Ben tu croyais quoi, mamie, qu?elle était aseptisée comme celle de ton bourge de mari ? Au lieu d?nous filer à jacter faudrait p?tet nous filer de quoi s?torcher parfois !Simone a haut le c?ur sur haut le c?ur. Une nausée terrible monte dans sa gorge.Le vieux clodo s?amuse à frotter son gland puant sur les lèvres charnues. Il la tient par son chignon, l?empêchant de reculer. Elle essaye de se soustraire à ce tartinage en règle en secouant la tête, les lèvres pincées. L?autre se marre :— Allez suce, ma chérie ! J?ai toujours rêvé d?me faire sucer par une bourge ! SUCE !— No?. ? Le gros porc a profité de la bouche ouverte pour y fourrer de force son engin. Il l?a attrapé par la nuque et la maintient fermement, sa bite crade enfoncée dans le gosier.— Voilààà? Allez suce maintenant grosse vache ! Pompe moi bien le n?ud !Le gland a touché la luette ce qui arrache des larmes à Simone. Elle est sur le point de vomir lorsque, relâchant son étreinte, le vieux salaud commence à aller et venir entre ses lèvres. La puanteur envahit la bouche de Simone.? Beeaark, quelle horreur, mais pourquoi cela m?arrive t?il à moi ! Obligée de faire une pipe à un clochard quelle honte !?.L?autre continue tranquillement à lui baiser la bouche.— Alors vieille pute, elle te plait la bite à Jeannot ? Ah c?est d?l?authentique hein ! Du fait maison ! Tu t?régales ? Ca fait des mois que j?l?ai pas lavée et toi tu l?as dans la bouche. Ha Ha Ha? Un comble ça, j?me fait laver la pine par une bouche de bourge !Simone subit les assauts de plus en plus endiablés. ? Ce salaud prend ma bouche pour un sexe ?.
? Oh zut, c?est pas vrai? ?. Eh si? Toujours le même processus, son bas-ventre se réveille? ? Mais je suis folle, mais c?est pas vrai? ?.Sa main n?obéit pas à sa tête. Elle part se nicher entre ses cuisses dénudées. Et la voilà qui entame une masturbation dont elle a le secret?— Qu?est-ce t?as à bouger comme ça la morue ? Putain j?le crois pas ! Mais tu t?touches !!! Ben dis donc.. Alors t?aimes ça la bite crade?Simone est dans un état second. Comme tout à l?heure, les odeurs qu?elle exécrait, se transforment en puissant excitant. Allez comprendre?Sa main, électrisée, frotte son clito de façon désordonnée. L?excitation est telle qu?elle en tremble. L?horreur s?est transformée en puissant aphrodisiaque. Elle grogne en embouchant comme une forcené le sexe puant. Sa bouche aspire encore et encore, en rythme saccadé. Le clodo n?en revient pas ! Il tend une main vers la poitrine de Simone, la glisse dans son chemisier et attrape un de ses gros nichons qu?il pétrit vigoureusement.— T?es vraiment qu?une grosse vache ! T?en as même les mamelles !Autant que les odeurs, les mots qu?il prononce et la façon qu?il a de la traiter excitent Simone. Elle s?écarte un peu pour laisser le passage à cette main démoniaque. L?autre en profite pour tirer sur son tailleur et l?arracher. Puis il fait gicler les 2 nichons hors de leur cage. Savoir qu?elle est obscènement offerte achève d?exciter la bourgeoise. Elle fouille de plus en plus fort sa moule en couinant. Elle remue tellement que ses nichons sont ballottés sans ménagement. — Ouaaaiiis !! Secoue tes mamelles de grosse truie ! alleeeez? secoue bien tes grosses mamelles !!L ?excitation est à son paroxysme. Le clodo n?en peut plus, il pousse un petit cri et gicle dans la gorge de Simone. C?en est trop pour notre bourgeoise qui, telle la grosse vache qu?elle est, jouit en meuglant.
casimir@estvideo.fr
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