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La femme du proprio

Chapitre 1

Hétéro
Cette histoire se passe il y a 15 ans maintenant, dans les alentours de Liège en Belgique. J’avais 20 ans à l’époque et je louais un appartement au père de ma meilleure amie Sophie.On est ami depuis plusieurs années donc je connais très bien sa famille, je suis d’ailleurs déjà parti plusieurs fois en vacances avec eux.Un jour je rentre chez moi et je découvre plein d’eau dans le hall d’entrée. Ça vient du plafond, la salle de bain est juste au dessus. Le verdict tombe assez vite, canalisation percée, tout est tellement trempé que le carrelage se décolle, il va falloir refaire toute la salle de bain. Au minimum 15 jours de travail.Le père de mon amie m’annonce qu’il n’a pas d’autres appart pour me loger en attendant donc il me propose d’aller vivre chez eux durant les travaux, de toute façon j’y vais souvent dormir vu que quand je suis trop bourré durant nos sorties en boite, Sophie me ramène chez eux, elle vit juste à côté mais préfère me faire dormir dans son ancienne chambre chez ses parents que dans son divan. N’ayant pas d’autres possibilités, j’accepte, et puis il faut dire que ça me rapproche bien du boulot que j’ai à ce moment là. Me voilà donc à vivre chez mon proprio pendant quelques jours voire semaines. Mon proprio est quelqu’un de super sympa, il a créé sa propre société qui marche bien, il bosse beaucoup pour ça. Sa femme ne travaille qu’à mi-temps comme réceptionniste dans une société, elle n’a pas besoin de travailler mais ça l’occupe. Je l’ai toujours trouvé bandante, elle s’habille souvent en tailleurs, jupe ou robe avec des chaussures à talons et elle a des formes que je trouve terrible, des rondeurs juste la ou il faut.
Au début, je ne les vois pas beaucoup. Je travaille la nuit pour les 15 premiers jours, je pars le soir vers 21h30 et je rentre le matin vers 6h30, je prends le petit déjeuner avec eux, puis ils partent travailler et me laissent seul à la maison, je prends une douche puis je pars me coucher.Le début de la première semaine se passe comme ça, sans vraiment rien de spécial. Je suis ravi d’arriver au mercredi après-midi pour passer du temps avec la femme de mon proprio, elle travaille les lundi et mardi toute la journée et le mercredi matin. J’ai d’ailleurs profité de mes premiers jours seul à la maison pour me rendre compte que sa garde robe est bien remplie question lingerie et mes douches matinales sont rythmées par mes masturbations frénétiques en pensant à elle.Les jours ou elle ne travaille pas, dès que je me réveille, je l’aide a faire les courses ou a faire 2-3 bricole à la maison et elle me flatte en me disant que cela lui fait du bien d’avoir un homme à la maison de temps en temps.
Le samedi matin, en rentrant du travail, pas de déjeuner, je monte me laver et dans le couloir j’entends du bruit venant de la chambre des proprio, je m’avance sans faire de bruit et je le vois en train de besogner sa femme en levrette, je n’ai pas une super vue d’où je suis mais suffisante pour voir qu’elle a une bonne grosse paire de seins qui balancent sous les coups de butoir de son mari. Elle aime ça visiblement « vas-y, plus vite, plus fort… défonce moi », il redouble d’ardeurs et se vide en elle. Je m’éclipse et fonce directement dans la salle de bain prendre une douche. J’ai une trique d’enfer suite à ce que je viens de voir et je me masturbe comme un fou sous la douche lorsque la femme du proprio entre dans la salle de bain, me regarde, soulève sa robe de nuit, baisse sa culotte, s’assoit sur les toilettes et commence à pisser sans me quitter des yeux. « Tu peux continuer, ça ne me dérange pas, bien au contraire… » me dit elle avec un regard lubrique.Je recommence une lente masturbation en la regardant et surtout en pensant à ce que je pourrais lui faire. Elle m’encourage « vas-y, je veux te voir gicler » et après quelques minutes, j’explose et ma semence gicle sur les parois vitrées de la douche. « Merci pour le beau spectacle me lance-t-elle, c’était très excitant.» Et elle sorti de la salle de bain.
J’étais un peu mal à l’aise à mon réveil et je me demandais comment allait se passer la fin du weekend avec eux. Mais plus rien ne se passa, mon proprio me demanda juste si j’avais entendu quelque chose en rentrant le matin et sa femme fit comme si de rien n’était.
Je retourne donc travailler le lundi soir et revint prendre le petit-déjeuner avec eux le mardi matin. Mon proprio parti travailler juste après, sa femme est prête peu après, toujours habillée aussi sexy, je la regarde sortir et monte me laver. En mettant mes habits dans le bac à linge, je remarque une paire de bas et un porte-jarretelle. En voyant ça, je suis déjà excité et je commence à me masturber avec la paire de bas. Le contact du nylon sur mon sexe m’excite terriblement et il ne me faut pas longtemps avant d’exploser sur le carrelage de la salle de bain… « Hummm c’était encore plus excitant que samedi» entends-je. Elle était là, juste à la porte de la salle de bain.Voyant mon interrogation sur le visage « en rentrant dans la voiture, j’ai eu envie de voir si j’aurais encore droit au spectacle de samedi. Je n’ai pas été déçue…, bonne journée ! » et une fois de plus elle parti…Le lendemain matin, après le départ de son mari, alors que je suis toujours assis à table, elle revient dans la cuisine et me dit directement, « alors j’aurais encore droit à mon petit spectacle ce matin ? » Pourquoi pas, mais allons plutôt dans le salon, vous verrez beaucoup mieux comme ça… « Dis donc on s’enhardit dirait-on, viens ! » elle entra dans le salon, s’assis sur le divan et me dit de me mettre à côté d’elle qu’elle voit bien ma queue.J’enlève mon bleu de travail, m’assied, prend ma bite directement en main et commence à me masturber en la regardant, Elle a les yeux rivé sur ma bite. Alors ça vous excite de me voir me masturber ? « Oui très fort » et moi je n’ai droit à rien ? Ce n’est pas très juste, faudrait me stimuler un peu…« Dis donc mon cochon, faudrait voir à pas pousser le bouchon trop loin… juste un peu alors, elle relève sa robe jusqu’à la taille, juste assez pour voir qu’elle porte un porte-jarretelle avec des bas couleurs chair avec juste un petit string.« Alors, satisfait ? »Presque…« Dis donc, qu’est-ce que tu veux de plus ? »Je lui prend la main et la pose sur ma bite tout dure… j’aimerais que vous me masturbiez…
Elle ne s’attendait visiblement pas à ça, elle reste quelques instants sans réaction, et alors que je me branle doucement avec sa main, me repousse, attrape ma bite et recommence à me masturber lentement en me regardant.« Tu aimes ça petit cochon ? » Ouiiiiiiiii c’est super continue…D’une main elle me branle lentement et de l’autre m’astique les couilles, je suis au bord de l’explosion, je me tourne vers elle, lui attrape à la tête et l’embrasse. Après un moment d’hésitation, elle ouvre la bouche et nos langues s’entremêlent. Tout en l’embrassant, elle continue à me masturber et moi je commence à la peloter les fesses, les seins, l’entrejambe.« humm mon cochon, tu m’excites, donne moi encore ta langue » et me ré-enfourne sa langue dans ma bouche, je la pelote de plus belle et dégrafe son soutien-gorge, lui malaxe les seins et abandonne sa bouche pour lui téter les mamelons.« oooooh petit vicieux j’aime ça, oui, vas-y, mange les, mords les ». Tout en m’affairant sur ses seins, d’un main j’écarte son string et commence à la doigter, elle est trempée tellement elle mouille. Elle écarte ses cuisses en grand pour me laisser faire et je la doigte de plus en plus fort. Elle gémit de plus en plus, je me mets alors entre ses jambes et lui enfourne ma langue dans sa fente. « c’est bon ouiiiiiiii bouffe ma la chatte » Elle est complètement offerte, et ma plaque littéralement le visage sur sa chatte. Je joue avec ma langue sur son clitoris et il ne faut pas longtemps pour que je la sente se crisper et son corps pleins de spasmes. « hmmmmmmmmmmm ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, mon salaud tu m’as fait du bien ». Et alors qu’elle se redresse, a moi maintenant, je présentai ma queue face à elle, allez, suce moi, lui saisit le visage et enfourne ma bite dans sa bouche.Elle ne rouspète même pas, attrape ma bite et me pompe comme une folle, elle m’aspire, me lèche, l’enfourne jusqu’au fond de sa gorge tellement fort qu’il ne me faut que quelques minutes pour lâcher tout mon jus dans sa bouche. Elle continua à me pomper jusqu’à la dernière goutte tout en me regardant droit dans les yeux.
Elle se lève, m’embrasse à nouveau, « merci c’était merveilleux, tu m’as bien fait jouir, mais promet moi de ne raconter à personne ce qu’il vient de se passer. » Promis juré ! « Merci, et puis c’est dans ton intérêt, on pourra recommencer alors… » me dit-elle avec un sourire et un regard lubrique.Mais moi j’en veux encore maintenant…en la ramenant contre moi. « Hummm tu es déjà prêt à recommencer, ça me plairait vraiment mais je vais être en retard au travail, tu sais je fini à 13h aujourd’hui, je serais toute la journée rien qu’à toi ».Allez, juste un dernier baiser avant de partir. Et je lui roule une pelle d’enfer. « j’adore quand tu m’embrasse comme ça, ça fait des années que mon mari ne m’embrasse plus, j’ai l’impression de revenir à ma jeunesse » et nos langues s’entremêlent de plus belle.Évidemment, on s’excite mutuellement et alors que je lui pelote à nouveau les seins et les fesses, elle ondule du bassin pour faire coulisser ma bite le long de sa fente qui mouille tant et plus.N’y tenant plus, je la soulève, la porte et la couche sur la méridienne, relève ses jambes contre mon torse et la pénètre d’un seul coup.Je lui donne des grands coups de queue et il ne lui faut que quelques allers-retours pour avoir un nouvel orgasme. Je la besogne sans ménagement, alternant les mouvements rapides et lent, sortant ma queue jusqu’à l’entrée de sa grotte pour y replonger d’un grand coup jusqu’au fond. Ah Salope, tu aimes ma queue hein, ça te plait de te faire prendre comme une chienne par un petit jeune hein.« oh oui c’est bon, ca m’excite énormément de sentir l’ardeur d’un jeune pour une vieille comme moi, prends moi encore à fond, je suis à toi »Ah tu veux être ma chienne, alors prend la position, elle se met à 4 pattes sur la méridienne, je lui lèche la chatte puis la prend sauvagement en levrette. Elle gémit de plus belle, «vas-y, baise moi fort, défonce moi la chatte, comme ça oui… hu hu hu oh c’est bon oui aaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhh » et elle part dans un nouvel orgasme qui m’excite tellement que je jouis aussi et lâche toute ma semence au fond d’elle…« oh mon dieu qu’est-ce que tu m’as mis, c’était super, nous nous embrassons encore. Olala, je suis en retard maintenant, faut que j’y aille, je lui tends ses vêtements mais je garde le string, faudra qu’elle aie travailler sans, elle s’habille, revient vers moi, m’embrasse à nouveau et me saisit la queue, « lave la bien et repose toi , on a toute l’après-midi pour nous aujourd’hui… » et elle partit travailler…
La suite bientôt si ça vous dit…
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