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Ma femme et le puceau

Chapitre 1

Divers
Je l’avais espéré et elle l’a fait. Elle a fait quoi ? Me diriez-vous ? Et bien, je vais vous le raconter. Lors de nos galipettes, j’ai souvent soumis à Claire, ma femme, le souhait qu’elle couche avec un autre partenaire que moi. Mais pas n’importe lequel. J’aimerai que ce soit un puceau, à vrai dire. Et comme fait exprès, depuis quelques semaines, un jeune stagiaire a été alloué à Claire. J’ai pu constater par moi-même, lors de mes visites, qu’il était parfait. Le garçon idéal pour réaliser mon fantasme. Réservé, doux comme un agneau, mais aussi mignon, pour rien gâcher. Mais à présent le plus dur restait à faire : l’amorcer. Et pour ça je comptais bien sur les talents de Claire. Après quelques cuisants échecs, le jeunot avait enfin, pourrais-je dire, daigner mordre à l’hameçon. Dès son arrivée ce soir-là, par son rayonnement, je sus que c’était fait. Elle l‘avait ferré, et j’étais impatient qu’elle se confesse. Devant une coupe de champagne, elle se lança. « J’étais en train de recharger la photocopieuse de papier, me baissant au maximum pour exhiber ma chatte nue sous ma jupe. Je prenais un plaisir pervers à troubler mon collègue qui devait, le soir venu, se branler en pensant à mon cul. C’est alors, qu’il me prit fermement dans ses bras, avec cette audace folle que manifestaient parfois les timides, et m’entraîna sur le bureau. Amusée, je me laissais guider. - J’ai envie de toi depuis le premier jour. Me dit-il, j’ai bien vu que vous ne portiez pas de culotte, ce matin. Tout s’est passé si vite que je ne trouvais pas les mots pour réagir. Je me vis coincée en compagnie du jeune homme qui commençait à me peloter avec maladresse. Il haletait en me regardant. Il fourra sa main sous ma jupe et me palpa la motte. Je me sentais défaillir. Heureusement que nous étions seul. Ses gestes gauches m’excitaient de plus en plus. J’aimais sa bestialité avec laquelle il me pétrissait le clitoris. Je pris alors l’initiation de m’agenouiller, d’ouvrir sa braguette et sortir sa queue toute raide. Avec ma langue je me mis en devoir de titiller son gland et comme par réflexe, le stagiaire me donna des coups de reins pour enfoncer sa bite au fond de ma bouche. Je crus m’étrangler, la verge au fond de ma gorge. Je la fis entrer et sortir de ma bouche avec délectation. Mon rouge à lèvres se perdait sur la hampe généreuse. Mais le stagiaire me menaçait d’éjaculer, aussi je décidais de lui offrir mon cul, à genoux sur le parquet. Denis resta sans voix devant mon sexe aux lèvres bien écartées et suintantes de mouille. Le coquin approcha son nez et donna un coup de langue sur mon clitoris. J’encourageais, je lui demandais qu’il me lèche mon bouton. Il parcourut les replis de ma vulve avec application, allant là où je lui dictais d’aller. Puis comme l’aurait fait un coutumier, il guida sa verge tendue jusqu’à l’entrée de mon vagin inondé de sécrétion, et poussa d’un coup sec. Je ne pus que m’agripper aux rebords du bureau pour me tenir. Sa bite me défonçait à m’en donner du plaisir. Je sentais son membre vivant en moi. En transe, le gamin se mit à m’insulter comme pour se donner une conduite. Je prenais un plaisir intense à me faire humilier par ce garçon d’ordinaire sage. Puis il se retira en continuant de se branler. - Montre moi tes nichons, salope ! Me lança-t-il. Je m’exécutais, retirant mon bustier et mes seins jaillissaient, le bout dressé. - Masse te les, souffla-t-il en se masturbant. De ma main droite, je malaxais un sein tandis que de l’autre, je pressais son clitoris. Je voulais le voir cracher sa purée. Puis je me mis à fouiller ma vulve. Je distinguais mes doigts entourés d’un manchon de poils soyeux. Une épaisse bave engluait l’entrée de mon vagin. Je n’en pouvais plus, je me suis mis à délirer. - Baise-moi, je t’en pris… baise-moi, lui criais-je. Il me pénétra et cela provoqua un bruit visqueux. Tout mon bas ventre se mit à bouger au rythme de la queue qui me pénétrait. - Je me doutais bien que tu aimais ça, l’entendis-je me dire. - Oui, j’aime ça ! Lui répondis-je, à demi inconsciente, tant ce qu’il me faisait me mettait dans tous les états. Il était en sueur et ahanait. Je sentis soudain une crème brûlante fouetter les parois de mes entrailles. Il déchargeait, tout en continuant sa besogne, attendant peut-être que je jouisse à mon tour. Je me laissais aller à gémir pendant l’orgasme ». Troublé, je la fis s’asseoir à croupetons sur mon visage. Mon nez emprisonné entre les fesses, je suffoquais. J’agitais ma langue entre les lèvres épaisses du vagin de Claire. Faisant un maximum de bruit, je lapais le mélange de sécrétion et sperme qui s’écoulait. Un épais ruban de ce cocktail pendait sous mon menton. - Cochon ! Tu dois être content ? Me lança Claire, tu as eu ce que tu désirais… Penchée en avant comme si elle urinait, elle se tortillait sur mon visage. Des sursauts secouaient son bassin, et elle jouissait. L’orgasme lui arracha des cris étranglés. Elle avait bien mérité ce plaisir, non ?
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