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Ma femme, ma pute 2

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Ma femme, ma pute 2On sonna et je demandai à Julie d’aller ouvrir. Elle tituba jusqu’à la porte et nue dégoulinante de sperme alla ouvrir aux copains de Jamal.Elle revint au salon accompagnée de trois nouveaux hommes qui le regardaient avec envie.— Bonjour, Messieurs, Ma femme Julie est à votre entière disposition !— Waouh ! Mec ! Toi au moins t’es un vrai pote.Ils se déshabillèrent pendant qu’Abdel et son copain se rhabillèrent. À peine Abdel et son copain partis que je vis ma Julie de sa propre initiative empoignée un des sexes présent et l’engloutir de façon vorace.Les trois hommes nus et leur sexe raide s’occupèrent de ma Julie pendant plus d’une heure, alternant double sodomie et double fellation. Comme s’ils en avaient reçu instructions, les trois hommes la pilonnaient de toutes leurs forces mais, éjaculaient uniquement dans sa bouche. Je pouvais voir ma Julie avaler ce nectar avec gourmandise.« Serais-je déjà arrivé à mes fins ? » Pensais-je ! En effet, Julie participait activement a son viol par les trois inconnus.Elle eut plusieurs orgasmes pendant cette heure et lorsque les trois hommes furent rassasier de son corps, ils l’abandonnèrent à même le sol, se rhabillèrent.— Merci, mec d’avoir donné ta femme à nos bites, on reviendra, c’est sur !— Vous êtes les bienvenus quand vos couilles sont pleines, ma femme restera à votre disposition ! Dis-je excité par ce que je venais de voir.— Ok ! Pote ! Compte sur nous pour la remplir !À peine quittèrent-ils l’appartement que je me précipitai sur Julie et l’embrocha par l’anus. Une dizaine de vas et vient profond et violents suffirent à me faire éjaculer pour la énième fois de la journée.Mon portable sonna à cet instant. Ne quittant pas l’anus débordant de ma femme, je tendis le bras et pris mon Gsm.— Salut, mec ! Ici c’est Jamal, je t’attends toi et ta pute au 23, rue de la…. ! Et dépêche-toi car j’ai déjà des clients pour elle !— Pas de problème, monsieur Jamal, le temps d’un peu la nettoyer et nous arrivons !— Ok ! Ne traîne pas !Je raccrochai et regardai ma Julie complètement naze et à demi consciente. Elle avait la respiration saccadée et son regard semblait absent. — Alors, ma chérie ? Tu es contente de ce que je fais de toi ?— Je… Je… Voudrais me laver, s’il te plait mon chéri !— Ok, ma petite pute, je vais t’aider !Après avoir rendu Julie propre en la lavant de la tête au pied, en lui faisant deux lavements pour que son magnifique petit cul soit bien propre, je lui donnai des vêtements extra courts et provocants pour nous rendre au bordel de Jamal.Nous prîmes le bus et métro pour nous y rendre ce qui provoqua des touchés et caresses sur les fesses presque découvertes de Julie. Elle failli presque se faire prendre dans le métro par deux jeunes de son âges mais, ce fut la montée d’une patrouille de sécurité qui les en empêcha.— Voici, le n° de son portable ! Dis-je au deux jeunes. Vous pourrai ainsi la baiser dès lundi.— Oh, merci !... Mais,… T’es qui toi et combien ça coûte ?
— Je suis son mari et c’set totalement gratuit.— Gratos ? Alors pas de problème, je suis partant !— Moi aussi ! Dit l’autre jeune.— Ok ! Affaire conclue ! Dis-je en tapant dans leur main.On arriva devant le bordel de Jamal, une sorte de maison de passe qui ne pouvait pas cacher sa destination. Vitrine munie de lumière rouge et bleue fluo, rideaux chamarrés et décorations adéquates.À peine entré, c’est une grosse femme très maquillée qui vint nous accueillir et regarder Julie de tous côtés.— Hum ! Pas mal ! J’espère qu’elle peut assurer car ici nous avons beaucoup de client ! Nous travaillons directement avec le grand chantier du RER et mes filles ont parfois difficile à suivre.— Vous pouvez compter sur ma femme, je suis sur qu’elle va assurer mieux que vos filles.— Mouais ! On verra ! Allez ma belle ! à poil !Julie se retrouva en string en deux minutes et la grosse femme émis un sifflement d’admiration. — Je pense qu’on va faire du bon boulot nous deux ! Ok ! Je m’occupe du reste. Venez la chercher demain dans la matinée !— Mais, Heu !... Jamal m’a dit que je pouvais rester et assister ! Dis-je un peu angoissé.— Ah bon !... Ok ! Mais pas d’intervention de votre part, sinon mes gorilles vous jette dehors illico ! Ok ?— Ok, Madame… !— Madame Fatima ! Dit-elle d’un air fier et sans réplique.— Bien… Madame… Heu !... Fatima !— Ramasser ses vêtements et suivez-moi !Je pris les quelques vêtements de ma Julie et suivit la grosse femme. On traversa deux salles dans lesquelles se trouvait plusieurs filles en tenue affriolante et me regardant comme un client potentiel. Plusieurs d’entre-elles me firent des sourires et même des propositions bien claires sur la façon de vider mes couilles.Une seule attira mon regard, c’était une jeune arabe, très typique avec ses long cheveux noir, c’est grand yeux noir également et des petits seins d’adolescentes. Je me demandais même si elle avait dix-huit ans.— Hum ! Fit Madame Fatima ! Il me semble que Leila vous plait bien ?— Heu !... C’est que… — Bon, je vous fais un prix et elle va avec vous dans le local des voyeurs… Ok ?— Mais… heu !... Dis-je en regardant Julie qui semblait déjà dans un autre monde.— Bon ! Ok ! On ne va pas discuter des heures !... Leila ? Vient avec nous.— Mais… Heu ! … Attendez !... Elle à quel âge ?Madame Fatima me regarda avec des yeux méchants et me jeta à la figure :— Quand on donne sa femme à un bordel, on fait confiance aux gérants ! Ici toutes les filles ont plus de dix-huit ans… Compris ?— Heu… Excusez-moi, Madame Fatima !La jeune arabe se leva et vint littéralement s’enrouler autour de moi. Je n’avais jamais été avec une autre femme que ma Julie et voilà que cette gamine m’attirait comme un aimant.Julie fut placée dans un local qu’on appelle « Glory hole » ouvert des deux côtés. Julie fut mise debout, les jambes bien écartées et pliée à 90° de cette façon sa bouche était devant un des trous et son derrière devant l’autre. L’espace avait bien été calculé car dès qu’elle fut en position pas un centimètre ne séparait sa bouche ou son cul des deux parois.Madame, Fatima referma la porte et nous amena vers le côté opposé qui se trouvait être un local contenant une dizaine de fauteuils et qui donna sur une grande vitre derrière laquelle je pouvais voir ma Julie prête à l’emploie.— Si tu veux garder Leila une heure ou deux, je te la laisse pour 100 euro, Ok ?— Heu… Oui ! Oui! Bien sur ! Heu… Je peux vous payer plus tard ?— Ok ! Et n’oubliez pas…. Pas d’intervention de votre part !… Mais, vous pouvez utiliser les trous de votre femme aussi, si vous avez envie. Je pense que Leila vous videra bien mieux que votre pute de femme.Je m’assis dans le fauteuil le mieux placé, au premier rang et bien en face de la grande vitre et je pus voir les premiers clients de ma Julie.Deux beaux sexes bien raides embrochèrent ma Julie par la bouche et le cul. Je ne pu voir si celui derrière elle la baisait ou l’enculait mais, la force avec laquelle il pénétra ma femme et le spasme du corps de celle-ci me fit penser qu’il était dans son vagin.Leila se plaça à genoux devant moi et s’occupa de ma braguette. Elle emboucha mon sexe et commença une fellation profonde. J’étais fasciné par les coups de bassin que, donnaient les deux hommes, l’un dans la bouche de Julie l’autre dans son vagin, leur bassin se collant à chaque enfoncement contre la parois qui les séparaient de ma Julie.Celui dans la bouche devait surement dépasser la gorge de ma femme car, j’avais pu voir qu’il était bien monté avant de pénétrer la bouche de ma Julie.Le premier à jouir fut celui dans son vagin et fut remplacé dès sa sortie par un autre homme, noir celui-là et ayant un sexe de cheval. Ma pauvre Julie allait en dégustée d’ici demain.Leila parvint rien qu’avec sa bouche à me faire gicler mais probablement aidée par les images de ma femme se faisant remplir le ventre par les deux côtés.En quelques dizaines de minutes le petit local de voyeur se rempli et je pu voir ces hommes se masturber en regardant ma femme se faire prendre à la chaîne.Leila, profita pour récupérer dans un bocal les jouissances des hommes autour de moi. Pour deux raisons. En premier lieux pour ne pas salir le local et en deuxième lieu pour en faire profiter, si j’étais d’accord, ma femme.Julie eut droit à huit hommes dans son cul ou vagin et dix dans sa bouche. Le trop plein de sperme s’écoulait le long des cuisses et jambes de Julie quand au trop plein de sa bouche, ce qu’elle n’avait pu avaler s’écoulait dans un récipient placé sous son menton.Julie fut libéré de son local plus ou moins deux heures plus tard et mise à disposition dans une chambre dans laquelle les hommes se succédèrent sans presque de repos. Leila disparu du local dans lequel j’avais pris place pour regarder ma femme se faire baiser par un nombre de type qui visiblement prenait énormément de plaisir car, c’était gratuit.Vers la fin de la nuit, ils furent à trois pour jouir dans les orifices de Julie. Je n’avais jamais vu Julie aussi active dans ses viols répétitifs, elle semblait indestructible et assurait comme une putain professionnelle. La seule différence c’est qu’elle avalait le sperme et que je n’avait vu aucun préservatif sur les sexes qui embrochèrent ma petite femme.Vers cinq heure du matin, je récupérai ma Julie dans un état pas croyable et c’est emballée dans un drap que je la ramenai à notre appartement.Je mis encore une bonne heure pour la laver et lui rendre une apparence de femme normale puis, je l’ai mise au lit.Le lendemain, je me réveillai avec une agréable sensation dans le bas ventre. J’ouvris les yeux et vis ma Julie à genoux à côté de moi en train de me faire un pipe comme jamais elle ne m’avait fait depuis qu’on se connaissait.C’était aussi la première fois qu’elle faisait un acte sexuel de sa propre initiative. J’en était tellement surpris que j’éjaculai rapidement et lorsque je vis qu’elle avala mon sperme sans dégout je failli jouir une deuxième fois.— Ma chérie ! Tu es formidable !— Oui mon chéri, j’ai compris ce que tu attendais de moi et je suis heureuse d’avoir fait ce que j’ai fais ce week-end. Merci mon amour de m’avoir ouvert les yeux. Dit-elle en se léchant les lèvres comme pour récupérer de mon sperme qu’elle n’aurait pas pu avaler.— Tu… Es… Tu es heureuse ??— Oh ! Oui, j’attends les copains de Jamal avec impatience.Son Gsm sonna à ce moment et lorsqu’elle raccrocha, elle me dit que c’étaient les deux jeunes du métro et qu’ils l’attendaient à la station Mo… — Va ma chérie et revient vite pour les amis de Jamal.Julie s’habilla rapidement d’une mini-jupe, de botte et d’un T-shirt moulant. Elle me donna un baiser avant de rejoindre les deux jeunes qui l’attendaient.— Tu me raconteras ? Dis-je avant qu’elle ne sorte !— Promis !Une heure plus tard, Julie revint un peu désordonnée, les cheveux en bataille et la mini-jupe froissée. — Alors ma chérie ?— Des bêtes !... Des bêtes de sexe ces deux là !.... Trois ils ont jouis en moi, ils ont utilisés mes trois trous. Putain !... Infatigable ils étaient.— Mais, Tu as fait ça où ?— Dans les toilettes de la station !— Et…. Personne n’est venu ?— Heu !... Non… Enfin si !— Raconte !— Les deux jeunes me prenaient pour la deuxième fois, un devant et un dans mon cul lorsque la porte c’est ouverte brutalement et qu’un grand noir nous a regardé. Je l’ai reconnu de suite car il m’avait baisée hier chez Madame Fatima. Alors, il à sorti son sexe et pendant que les deux jeunes ont continués de ma baiser à deux, je lui ai pompé son énorme sexe. Ensuite il est parti mais à pris mon numéro de Gsm.— Et ensuite… Plus rien ?— Non, les deux jeunes m’ont encore repris en changeant de côté et sont partis en me promettant de me rappeler pour une soirée entre copain.La sonnette de l’appartement retenti et c’est Julie qui se précipita pour ouvrir. Des bruits de voix puis des sons bizarres retentirent. Je me levai pour voir et vis trois hommes, deux que je connaissais déjà et un inconnu, debout devant ma femme à genoux la bites d’Abdel profondément en bouche et ses mains sur le sexe des deux autres entrain de la masturber.Tout cela à l’entrée de l’appartement, la porte grande ouverte. Je vis d’ailleurs passé mon voisin de palier derrière les trois hommes, regarder en s’arrêtant quelques instants, sourire et disparaitre dans le hall.— Ben, mon pote ! S’écria Abdel. Quel changement depuis hier ! On n’a rien fait, mec ! C’est ta pute qui nous as sorti la bite et à pris la mienne en bouche.— Oui, Je sais, je crois que ma Julie est devenue la reine des putes et est prête à tout pour recevoir vos jouissances en elles.— Et même plus ! Regarde ce que j’ai apporté !Je vis Abdel leva son bras au bout duquel il tenait le bocal rempli de sperme de chez Madame Fatima.Les deux heures suivantes, je pu admirer les performances de ma femme avec trois bites bien raides. Elle s’occupa de vider les couilles de ces trois hommes avec un réel plaisir et même prenant par deux fois son pied en ayant l’orgasme explosif. Julie bu devant nous le bocal de sperme froid sans avoir eu à aucun moment un rejet ou un dégout de ce qu’elle buvait. Il devait y avoir bien une vingtaine de jouissance dans le bocal.Oui, Cette fois ma Julie était devenue un jouet sexuel et je pensais déjà à l’avenir en permettant à tous ces hommes de l’engrosser et qu’elle ait des enfants venant des ses amants.Je voyais déjà ma Julie grosse d’une maternité et avoir dans ses trois trous de gros sexes bien baveux qui lui rempliraient le corps de sperme.
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