On ouvre, c’est sa femme…étonnée de me voir elle me demande si j’ai rendez-vous.Je lui réponds que je dois voir son mari, que j’ai des points à éclaircir avec lui. De mauvaise grâce, elle s’écarte et me laisse rentrer, elle me dit d’aller l’attendre dans son cabinet.Je la dévisage, elle est étonnée de mon semblant d’intérêt pour elle, mais conserve un regard hautain, dénué d’aménités.Pourtant elle est pas mal du tout…53 ans à vue de nez, un visage dur mais joli. Des cheveux noirs de jais, mi longs.Elle est habillée d’une robe blanche plutôt moulante qui lui fait découvrir ses formes.Pas mince, plutôt charpentée avec des formes harmonieuses, son décolleté est plongeant. Elle porte des collants ? Gris.En la suivant, je cherche la trace d’un string ou d’un tanga, en vain. Par contre le mouvement de ses fesses laisse apparaitre la forme d’une jarretelle. Des bas ! Nue sous sa robe…Quand je pense que ma femme doit arriver dans à peu prés 2 heures, je me dis qu’il doit s’en passer ici …ou alors j’ai l’esprit paranoïaque et pervers… « Quand vous aurez cessé de reluquer mes fesses, vous pourrez rentrer dans le bureau et attendre mon mari. Et ne vous masturbez pas les méninges en vain, je suis nue sous ma robe et je porte une guêpière, en cuir si vous voulez tout savoir.Si vous avez vos chaleurs, il y a un bac d’eau glacé à l’extérieur, vous pourriez y tremper votre derrière » Serrant les dents, je rentre dans le cabinet et m’installe devant le bureau…elle referme la porte. Putain la salope ! Elle est redoutable, elle sait tout, elle sent tout.Ça fait longtemps que je ne me suis pas fait remonter les bretelles comme ça ! Il va falloir jouer serré…Bon sang dans quel panier de crabes j’ai fait atterrir ma femme ! Putain de zona !
Le type arrive, il me serre la main, et s’assoit derrière son bureau : « Je vous écoute. — Que faites vous avec ma femme, vous couchez avec ou quoi ? Ou plutôt vous la baisez tous les deux, vous et votre femme ! — Ça sent le fantasme non réalisé…décidément vous ne cessez de me décevoir M Cxxxx. Vous croyez vraiment que je la ferais venir chez moi tous les jours aux mêmes horaires, si c’était le cas…très discret non ? Le mari serait aussitôt alerté…d’ailleurs vous êtes là, curieuse coïncidence n’est-ce pas ? — … (je suis bouche bée, je ne sais plus quoi dire. Ce type m’a désarçonné en une phrase !) — Alors à court d’arguments ? Je vous dois néanmoins une explication. Votre femme a un gros problème d’ordre sexuel…même plus que ça. Ses fantasmes et ses désirs cachés d’une sexualité déviante, suivant son modèle moral hérité de son éducation contraignante, sont tels que cette force menace de disloquer sa persona et son psychisme.Vous en avez déjà vu une manifestation, son inconscient a choisi de détruire son corps et tous les symboles de sa féminité plutôt que de s’attaquer à son esprit… — Tiens parlons en du zona, elle n’a plus rien !Vous êtes en train de vous foutre de ma gueule et le porte- jarretelles ? Ça fait aussi partie de la thérapie ? — Tiens je ne pensais pas qu’elle s’en était ouverte à vous. J’aurais cru qu’elle avait gardé tout cela caché…très bon signe pour la suite.Elle vous accorde à nouveau sa confiance. — Pas du tout, je l’ai vu nue par inadvertance alors qu’elle revenait de chez vous. Mais vous n’avez pas répondu à ma question. — Bon alors on n’a toujours pas avancé, dommage pour vous et pour elle.Vous croyez donc qu’elle est guérie ? Quant au porte-jarretelles, oui ça fait partie des jeux de rôle que je lui ai conseillés. — Vous commencez à me péter les couilles M le guérisseur de mes deux !Ma femme se rend chez vous à poil en porte- jarretelles, sous son imperméable, comme une pute de bas quartier et vous allez me faire croire que ça fait partie de sa thérapie ! — L’insulte ne vous mènera à rien. Vous vivez avec une bombe atomique qui peut vous péter à la gueule d’un jour à l’autre. Et vous jouez les matamores avec moi…quelle dérision ! Décidément vous la connaissez bien votre femme ! — Une bombe, je ne comprends pas ? — Imaginez qu’elle rompe les digues de sa sexualité exubérante, qu’elle vous raconte un bobard pour disposer de sa soirée…Vous ne la voyez pas rentrer de la nuit, ni le jour suivant et en ratissant les quartiers chauds de la ville parce que, intuitivement vous sentez que vous allez la trouver par là, vous la trouverez. Et vous savez à quoi elle aura occupé son temps ? — Non mais vous allez me le dire… — Vous ne devinez pas ? Imaginez un peu…et je sais que vous avez de l’imagination. Elle aura commencé par un bar, se sera laissé brancher par un des nombreux affamés qui hantent ce genre d’endroit. Après une vodka ou deux elle suit le mec dans sa voiture et là elle lui taille une pipe et puis elle veut qu’il la baise. Oh, ce sera rapide, 6 ou 7 coups de reins et l’affaire est faite, le mec aura joui en elle.Problème, elle n’aura pas trouvé son plaisir mais elle aura une confirmation de ce qu’elle pensait : elle est très attirante et elle peut conduire les hommes par la bite. Il est minuit.Ne vous inquiétez pas elle ne rentrera pas tout de suite. Elle trouvera une soirée étudiante ou une boite peuplée de jeunes gars en rut. Là, après s’être un peu déhanchée sur la piste de danse, elle aura été abordée par 3 ou 4 potes, ravis d’avoir l’aubaine de se taper une « vieille de 38 ans », bonne et chaude comme la braise. Alors ils iront dans les toilettes des hommes, déshabilleront votre femme qui aura bien pris la peine de revêtir un des porte- jarretelles dont vous raffolez tant… par exemple celui que vous lui avez acheté très cher aux galeries Lafayette à Paris…vous savez l’ensemble Lise Charmel noir et rouge. Apres l’avoir bien plotée, ils la mettront dans un des chiottes et commenceront à la baiser deux par deux.Ce sera un peu exigu mais ils y parviendront. Imaginez- la empalée par la chatte ou le cul sur un mec assis sur le wc et un autre en train de se faire sucer, ou en double pénétration. Et, en 2 heures de boite, combien lui seront passés dessus, parce que forcement la rumeur aura parcouru toute la boite qu’une BCBG nympho accueille tous les mecs qui en veulent : 30, 40 ou même 60.Alors quand la boite fermera elle se rhabillera et il y aura toujours une âme charitable pour lui proposer de finir la nuit dans son petit appart d’étudiant. Là, le mec seul ou avec un pote baisera votre une femme tout le reste de la nuit, après une bonne douche quand même.Le matin elle se réveillera dans un lit inconnu avec le ou les mecs, discrètement elle sortira de la pièce et reprendra sa voiture. Là, vous vous vous dites qu’elle rentrera chez vous pour se blottir dans vos petits bras musclés, et en pleurant, vous avouera son infidélité (en masquant quand même le nombre de ses amants),et vous, magnanime vous lui pardonnerez, c’est ça, n’est-ce pas ?
— Euh oui… (J’étais blanc comme un linge, j’avais l’impression que je perdais pieds. Son récit était terrifiant mais je sentais que c’était relativement plausible.) — Eh bien NON ! Elle a encore tellement de choses à découvrir. Elle ira dans un sauna libertin, comme c’est une fille, on la laissera rentrer gratis. Et après une bonne douche, elle goutera à la pluralité masculine ou féminine de personnes mûres, quadras et quinqua. Et alors là, bien qu’elle pense avoir joui avec les étudiants, elle découvrira la vraie jouissance féminine qui la fera gémir, crier, rire et pleurer en même temps. Alors encore combien de partenaires en une après- midi…15, 20, plus ?Un type lui proposera d’aller au resto et ensuite, l’emmènera dans son club libertin favori où votre femme sera la reine de la soirée. Vous la retrouverez peut être entravée, nue sur une croix de saint André, en train de gémir sous les coups de cravache et les coups de martinet, alors qu’une petite jeune femme brune de 19 ans, avec un bronzage Ambré, lui léchera la chatte avec circonspection après l’avoir copieusement fouettée. Elle aura un orgasme colossal lorsqu’une de ses amies, Juliette, lui versera de la cire brulante sur le corps … Alors la petite jeune femme lui apprendra certaines pratiques saphiques en la sodomisant avec un gode-ceinture. Votre femme jouira énormément de se faire dominer par une jeune étudiante.Cette dernière ira raconter ses exploits du weekend à sa meilleure amie en fac de lettres, en ayant pris soin de prendre le 06 de votre épouse…dommage pour vous, vous ne serez pas convié à leurs agapes pornographiques et saphiques à 3. Votre femme sortira du club libertin tellement fatiguée et moulue qu’elle s’endormira peut être sur un parking, dans sa voiture.Le lendemain au détour de ses pérégrinations, elle décidera de gouter à un nouveau fantasme : s’offrir gratuitement sur les grands boulevards. Elle aura préalablement choisi des tenues très suggestives payées avec votre carte de crédit, chez le sexe shop du coin avec à la clé quelques étreintes s rapides. Alors les clients surgiront, surtout quand la rumeur aura fait le tour du quartier qu’une pute fait open bar.Intrigué vous vous rendrez à l’endroit indiqué et avec effarement vous verrez votre petite Cécile, en bas résilles, une jupe au raz de la moule sans culotte, un petit haut minimaliste avec décolleté plongeant, un rouge à lèvres très agressif, du rimmel et de l’eyelineur autour des yeux.Je vous dirais que quand vous la verrez ainsi, au delà du dégoût vous n’aurez qu’une envie, la prendre sur le capot de votre voiture. L’ennui…c’est que vous serez le seul homme au monde à ne pas y avoir droit !C’est ballot hein ?
— Mais pourquoi ? — Si j’étais pervers, je vous répondrais comme à ce pauvre détenu de Dachau « ich ist keine waraum » durant la dernière guerre.« Ici il n’y a pas de pourquoi ! » Vous êtes son mari, vous n’avez pas su détecter sa sexualité exubérante, vous ne l’avez pas aidé à l’apprivoiser, à cause de vous elle ne peut s’empêcher de s’enfoncer dans le type de débauche que je viens de vous décrire. Selon elle, vous êtes responsable de sa dépravation et de son avilissement, alors certainement qu’elle va vous accorder « l’amitié de ses cuisses » !Elle vous hait, et ne vous pardonnera pas, à moins que je réussisse à lui faire admettre ses fantasmes par petite dose et qu’elle cherche à les réaliser avec vous…ça vous plairait hein ? alors que décidez vous…On arrête tout ou on continue ? »
La réponse ne faisait pas l’ombre d’un doute.
Je repartis la queue entre les jambes…soit, il avait peut être raison, son explication se tenait.En tout cas j’avais placé 3 cameras boutons dans son bureau et un micro sur son téléphone fixe…
