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Ma femme a une drôle d'idée de l'Education / réécrit

Chapitre 2

Un cours d'informatique particulier et " vraiment bien particulier " ! " !

Voyeur / Exhibition
Ce chapitre s’insère directement avant «  Douche glacée et si chaude, à la fois ! »  de la série «  Ma femme a une drôle d’idée de l’éducation »

Deux mois, ont passé, depuis cette fameuse petite réception organisée dans mon entreprise, où j’ai pu découvrir ma collègue Coralie et la secrétaire du patron, Claire, dans une tenue pour le moins exceptionnelle !J’ai été envoyé, à la Silicon Valley, avec une brochette d’experts de la boite, afin de mettre en place les conditions de notre collaboration avec le géant Microsoft.Au cas où il y aurait de nouveaux contrats juteux à signer.De plus «  je spak english veiry vell ! » Non je plaisante bien sûr, il se trouve avec moi un très bon interprète !

Je rentre chez moi, après toute cette absence. Il est environ 18h00, on est samedi…Tiens ? On dirait que mes fils ont amené des potes à la maison…Je rentre dans le grand salon …Des copains de Damien sont là, assis dans le sofa, avec leur Smartphone à la main, en grande conversation avec mon épouse assise, en face, seule dans un fauteuil taille basse.D’après ce que je comprends, ma femme fait une petite leçon de mise en sécurité informatique des réseaux domestiques ou professionnels…

Un cours particulier, quoi…J’espère que les gamins mesurent la chance qu’ils ont de se faire enseigner par ma femme, un samedi après-midi, gratuitement, en petit comité.Et comme je m’en apercevrai plus tard, c’est vrai qu’ils en ont eu «  de la chance » et c’est vrai qu’ils en ont appris des trucs…mais pas que de l’informatique !
Car ma femme est experte en sécurité informatique dans la boite pour laquelle je bosse, et de temps en temps elle est rétribuée pour donner de petites conférences dans plusieurs facs…
Et dire qu’il y a des jeunes pour avaler ces conneries au lieu d’aller courir le «  guilledou »…drôle d’époque !Après le petit bisou d’usage, à ma chère et tendre…je trouve l’atmosphère, comment dirai-je… spéciale ?Ou suis-je pour le coup, vraiment devenu parano ?


Je m’assois dans un fauteuil prés de celui de ma femme et participe, enfin plutôt tente de comprendre les concepts informatiques, que mon épouse essaie de faire passer à son auditoire.
Les jeunes ont l’air subjugués par les théories informatiques de ma femme, ou par me femme elle-même ?
Pour moi en tout cas la question ne se poserait pas…je sais que les jeunes hommes fantasment comme des fous sur les jolies mères de leurs camarades, avec lesquelles ils aimeraient bien suivre des cours de relations sociales très intimes. Le fameux fantasme de la « MILF  »: « Mother I’d like to fuck » (une mère de famille que j’aimerais bien baiser !)
Personne ne souffle mots; seule ma femme parait diriger tout ce petit monde par sa logorrhée… que personnellement je trouve pénible.
A chacun ses passions.

Un petit détail, je remarque que Céline porte une petite robe moulante grise très courte, que je trouve absolument sexy et qu’elle refuse de porter pour moi, habituellement…ainsi que des collants gris qui lui vont très bien.De quoi exciter mon imaginaire érotique après toute cette absence !

Une fois les jeunes partis, je vais embrasser ma femme, l’attire dans un coin et lui dit que je la trouve très désirable, en lui remontant sa robe et en lui caressant l’entrejambe.
Céline se raidit alors que ma main effleure son porte-jarretelles et se retrouve à caresser la petite toison de sa chatte ainsi découverte.Je suis extrêmement excité, par cette découverte impromptue ; ma femme commencerait-elle à se libérer sexuellement ?J’ai très envie de lui faire passionnément l’amour, là, ici, tout de suite !
D’autant plus que l’idée même de porter de la lingerie fine, du genre bustier, guêpière, porte-jarretelles et bas, lui était carrément inconcevable.En vingt ans de vie commune, je lui avais constitué une véritable penderie sexy digne de Mme Claude, avec des articles provenant des meilleures marques : Aubade, Victoria’s secret, Darjeeling, Lise Charmel…Cela en faisait de l’investissement, j’aurais presque pu m’acheter une voiture avec tout cet argent !

Et pour quel résultat ? «  Nada ! Walou ! Nietchevo ! Makash ! »
Elle n’a jamais rien voulu porter de tout cela.Et cela m’énerve, à un point indescriptible ! Oui je sais, je suis sans doute un vaurien, égocentrique, et radin en plus…Peut être… en tout cas je restais fidèle, bravant ouragans et tempêtes conjugales, et d’ailleurs l’atmosphère semblait se tendre inévitablement.

«  Ben dis donc, tu es terriblement sexe, mon amour! Robe courte, porte- jarretelles, pas de culotte ! C’est pour moi ? C’est pour fêter mon retour ? »Mais malheureusement comme avant mon départ pour les USA, mon enthousiasme est rapidement douché !
«  Écoute Guillaume tu m’emmerdes, dit-elle en me repoussant et en baissant sa robe. Si tu veux la réponse, non! Ce n’est pas pour toi, je bosse moi ! »Ah ! Là je retrouve ma chère Céline, toujours épidermique quand on parle de sous- vêtements et de sexualité un peu pimentée !Mais la suite allait vraiment m’étonner sur l’état d’esprit et la psychologie actuels de ma femme.

Et tout en s’éloignant, elle dandine du cul, s’arrête et me fait face :«  C’est dommage d’ailleurs, regarde ce que tu rates…. » Et elle remonte la robe au-dessus de sa tête et apparait nue, seulement en porte- jarretelles noir et bas gris sans même un soutien-gorge.
Sa poitrine est splendide, les seins pointent fièrement, elle se retourne, fait des moulinets avec sa robe au milieu du salon et avant de quitter la pièce se baisse en équerre et saisit ses chevilles avec les mains.Mon Dieu, mais qu’elle est belle ma femme, j’en suis tout déboussolé, comme un adolescent qui va se dépuceler !En la regardant, et en l’admirant, je comprenais pourquoi j’étais toujours resté avec elle, malgré les tempêtes familiales et pourquoi j’étais toujours parvenu à éviter l’écueil de l’adultère.
Ma femme serait-elle devenue une vraie stripteaseuse pendant mon absence ?Mon cœur cesse de battre, les jarretelles se tendent, elle m’offre une vue magnifiquement érotique de son petit cul parfait, son abricot délicieux entre ses deux cuisses splendides !

Puis elle disparait dans le couloir comme ça…Alors je me dis que décidément l’atmosphère est devenue très étrange dans cette maison : on dirait qu’il y a quelque chose qui ne tourne pas rond !
Quelque chose qui me laisse con ! Voir l’objet de mon désir s’éloigner alors que résonne la voix de stentor de mon fils Damien ; à la rigueur j’aurais préféré entendre la sonnerie stridente du téléphone…
«  Bon tu viens maman ! Faut qu’on discute de l’appréciation de mes potes sur ton cours particulier de tout à l’heure. J’ai les retours par téléphone ainsi que des images. Tu as été sublime maman ! Ils ont tous adoré ! Je crois qu’il faudra en organiser d’autres !  »
J’imagine qu’elle s’est précipitée pour rejoindre son fils ainé adoré dans sa chambre ; pas en porte-jarretelles, j’espère !

Il est vrai que Damien est autant accro d’informatique que sa mère, mais quand même, c’était un dialogue plus proche d’un entremetteur de relations, plutôt que du langage binaire !Et j’avoue que je n’apprécie pas trop l’ascendant de Damien sur sa mère alors que cette dernière m’avait traité comme un con.
Je me dis que, quand même, ça craignait de se balader toute nue dans la maison juste avant le repas du soir.Les garçons auraient pu sortir de leur chambre et tomber sur leur mère à poil !

Dans un état de nervosité extrême je prends 2 comprimés de tranquillisant en compagnie d’un bon whisky.Et voilà ! On part deux mois pour bosser pour sa boite aux «  States » et quand on revient…On a l’impression d’être un étranger dans sa propre maison !
J’arrivais à comprendre les difficultés d’Ulysse dans l’Odyssée, lorsqu’il est revenu à Ithaque, dans son palais ! Mais au moins lui, son chien l’avait reconnu !
Ah ! Du Bellay avait raison ! «  Heureux, qui comme Ulysse a fait un beau voyage… », enfin dans l’absolu…parce que si j’en ai fait un beau de voyage, j’ai encore du mal à appréhender le fait d’être heureux en rentrant chez moi !

Seul sur le fauteuil, en train de siroter mon verre, je repensais aux événements, mon cerveau tournait en boucle et des mots se présentaient à mon esprit :«  Tu m’emmerdes, moi je bosse, appréciation des potes, spectacle, téléphones, images, sublime, robe courte, porte-jarretelles, pas de culotte… »
Pas de culotte ! Bordel ! Je revoyais Céline dans le fauteuil bas, les jambes plus ou moins écartées devant ces jeunes mâles en rut, la bave aux lèvres, le téléphone en main !Non seulement ils ne pouvaient pas ne pas voir la chatte de ma femme, que celle ci leur présentait généreusement !Mais en plus ils la filmaient !Non seulement ma si prude et honnête épouse se fout de ma gueule, en s’exhibant sexuellement, devant les petits cons de copains de mon fils !Mais en plus c’est lui qui dirige la partie !

Que se passe-t-il sous mon toit pendant mes absences ? J’ai peur de le savoir.Mais en même temps j’ai une immense envie de comprendre ce qui se passe exactement dans la tête de ma femme.Je veux comprendre quels sont ses nouveaux rapports avec son fils ainé, rapports qui me paraissent insolites entre une mère et son fils.

Dans un état second, à cause de tout ce stress accumulé et puis de mon retour de voyage, je passe devant la chambre de Damien, inondée d’une musique au tempo très agressif, la porte est entrebâillée…je passe devant, lance un regard de façon mécanique et j’ai une vision fugitive, presque irréelle.Celle de ma femme, nue, toujours en porte- jarretelles mais sans les bas cette fois-ci, debout sur le lit de Damien, en train de se trémousser comme une harpie, au son de cette musique démente en présence d’une ombre qui ne peut être que mon fils.Vision fugitive car un courant d’air fait claquer la porte en la refermant !
Je me serre les tempes dans les mains : trop de pression, pas bon !

Par prudence je dissimule deux cameras minuscules, durée trois heures, dans le salon et dans notre chambre à coucher, je sais, j’ai l’esprit tordu !Mais j’ai vu tellement de trucs tordus dans la vente et des bassesses pour coincer des clients juteux, embobiner des concurrents, que j’en ai gardé certains réflexes !
Mais au moins comme ça toute conjecture sera invalidée…. ou pas!Je sens en tout cas que je vais être relativement nerveux pendant cette partie de tarot de merde ! Je n’ai vraiment pas la tête à ça…mais comme j’ai donné ma parole ! Pas le choix, je boirai le calice jusqu’à la lie !Je dois repartir dans trois heures pour ma soirée tarot, qui va finir fort tard…
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