Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 28 J'aime
  • 3 Commentaires

"Ma femme a une grossesse fort peu ordinaire !" , partie II

Chapitre 5

La revanche de Cécile

Trash
« Voilà, vous savez tout de ma vie, désolé mon chéri, mais voilà pourquoi je t’en voulais toujours et pourquoi notre vie sexuelle était si peu satisfaisante !!
— C’est monstrueux ma chérie, comme tu as dû souffrir…
— Oui et non, j’ai vraiment aimé tout ce qu’elle m’a fait, mais je lui en veux de m’avoir humiliée et de m’avoir privée de ma sexualité, et imposé la sienne !Je pense qu’elle voulait coucher avec toi et te garder pour elle, elle me jalousait et je suis sûre qu’elle aurait adoré faire l’amour avec toi devant moi, me montrant le plaisir qu’elle pouvait te donner alors que j’en étais incapable…c’est une vraie perverse et une manipulatrice !!Mais je vais m’occuper d’elle !!
— Laisse-moi lui parler d’abord, ma chérie, je connais les ressorts psychologiques qui nous permettront de faire d’elle ce que nous voudrons … »

Abandonnant les autres discrètement, je gagnai le domicile de ma belle-mère.
Je me rendis silencieusement dans sa chambre, et doucement en lui caressant les cheveux, je la réveillai.Étonnée elle me regarda, mais sans effroi, je lui expliquai alors que Cécile, sa fille avait complètement évolué dans sa sexualité et qu’elle concevait une violente aversion envers elle.Elle devait venir sous peu s’expliquer avec elle, « entre mecs » avait-elle dit, et je craignais beaucoup que ma belle-mère ne s’en tire pas indemne, psychologiquement parlant ; car Cécile allait « déballer son sac » et ça allait faire très mal…De plus j’expliquai à Martine que je me demandais si Cécile ne faisait pas une erreur pour son bien-être psychologique à elle.Ma belle-mère était assise en nuisette presque transparente devant moi, sans aucune gêne, et je devinai, à l’érection des pointes de ses seins, que tout cela l’excitait.
Elle me demanda d’ailleurs dans le détail, de lui raconter les aventures sexuelles de sa fille.
Lorsque je lui racontai tout cela et passant, preuve à l’appui, le petit film montrant sa fille baiser une autre femme et ensuite se faire partouzer, elle commença à se caresser le sexe au travers de sa nuisette.
Je lui montrai aussi le film que j’avais réalisé au moment de sa séance de masturbation et là, écartant franchement les cuisses et soulevant sa nuisette, me révélant un petit triangle blond bien taillé et de belles lèvres intimes charnues et gonflées, elle me demanda de la prendre « comme une chienne en chaleur ».
Je refusai, lui disant que les réjouissances seraient pour plus tard, il fallait régler le différend d’avec sa fille.Sa décision ne fut pas longue à prendre, elle me proposa de s’offrir sexuellement, en vengeance symbolique aux amis de Cécile… elle allait nous laisser faire tout ce que nous voudrions d’elle, avec l’assurance que j’allais lui permettre d’exercer tous ses fantasmes avec moi …
Néanmoins, je lui demandai de rédiger un document stipulant qu’elle était consentante à cette orgie, qu’elle n’y était pas forcée et que c’est elle même qui l’avait proposée. Cela afin que « quelques esprits chagrins » n’y voient pas l’apparence d’un viol, mais bien un gang bang consenti.Me regardant avec intérêt, ma belle-mère me traita de suspicieux, quand je lui fis envoyer le document par mail à son notaire…
J’imaginais la tête de ce dernier en train de lire la prose de la « si bourgeoise et pieuse Martine A. »
" En tout cas Martine, si vous aimez le cul, je crois que vous allez avoir un nouveau fan …en la personne de maitre Leblanc !
— Va mon cher gendre, j’attends tes amis avec impatience, je suis déjà toute mouillée !"

Ayant rejoint les autres, je refis avec eux le même chemin, évoquant la petite discussion que je venais d’avoir avec Martine, je leur expliquai qu’elle nous conviait à une partouze dont elle serait la vedette principale.Nous entrâmes silencieusement dans la maison, rejoignîmes la chambre à coucher de Martine, qui nous attendait…Entourant son lit, les trois hommes et moi allions saisir ma belle-mère par les pieds et les bras.Cécile, par pure malice, la « réveilla » brutalement en lui lançant un grand verre d’eau froide à la figure, le spectacle allait pouvoir commencer !!
« Ah ! Que voilà de beaux mâles, c’est pour satisfaire toutes mes envies que tu les as amenés, mon cher gendre ??
— Ma chère maman, je les ai fait venir pour me venger de toutes les saloperies et les humiliations que tu m’as fait subir depuis mes 18 ans alors que je commençais à flirter avec Paul, mon mari.Tu vas être prise par tous les trous, partouzée, enculée par ces hommes, baisée par moi et cette femme.Nous allons te faire tous les supplices que tu m’as infligés, je suis sûre que tu y prendras autant de plaisir que moi à l’époque parce que tu es une salle perverse de sadomaso, mais je suis comme toi maman, seulement les rôles sont inversés maintenant !!
— Cela apaisera ton courroux de me voir livrée bestialement à ces hommes, ma chère fille ? Si cela peut apurer nos comptes, alors je suis partante pour une partouze...Tu sais que je suis très demandeuse et très vicieuse, comme tu as pu t’en rendre compte… ?
— En plus belle-maman, je crois savoir que vous aviez envie que l’on passe le film de vos exploits sexuels de la veille, quand vous vous êtes branlée devant ce film porno, lors de la prochaine soirée de bienfaisance de la paroisse.Je suis sûr que Monsieur le curé, votre ami et vos copines de grenouilles de bénitier vont apprécier le spectacle !!Ils vous regarderont d’un autre œil après et peut être que Monsieur le curé voudra même gouter à vos charmes, bon allez on la sort du lit et on la fout à poil cette salope. Elle aime le cul, on va lui en donner !!
— (Et me lançant une œillade lubrique), je préfère encore que toi, mon gendre tu me fasses subir toutes les pires humiliations sexuelles pour venger ta femme…J’en viendrais à me plier à tous tes caprices même les plus dégueulasses !Vas-tu m’offrir à tes amis ? À ta femme ? »

Ma femme comprenait que loin d’être la punition envisagée par elle-même, la séance que nous allions lui faire subir serait plutôt une partie de jouissance pour elle…mais bon on avait menacé, on ne pouvait pas repartir la queue entre les jambes !Surtout que le trouble de la situation faisait que je sentais une bosse caractéristique dans mon slip…décidément cette vieille rombière était une goule, une harpie !

Alors commença une séance de BD SM très créative…
Nous la sortîmes du lit, et les autres hommes s’aperçurent qu’elle portait un déshabillé très vaporeux qui laissait distinguer toutes ses formes alléchantes !!Nous la portions, le vieux, Marco Enzo et moi par les membres dans l’escalier.Arrivés en bas Cécile nous arrêta :
« Attendez, j’ai une idée très vicieuse, on va l’empaler sur le montant de l’escalier !! »
Cécile alla dans la cuisine et revint avec le beurre.
« Vous avez vu « dernier tango à paris ?? » on va en faire une version SM !! »

Le bas de la rampe d’escalier était décoré d’une pomme de pin (fermée heureusement…) d’environ 20 centimètres de hauteur avec une base de 12 centimètres de diamètre, que Cécile enduisit généreusement de beurre.

Puis ma belle-mère fut mise à poil, retournée la tête en bas, et Eva ayant compris le caprice de Cécile, s’enduisit la main de beurre et commença à lubrifier la chatte de la vieille qui se dandinait et essayait d’échapper à notre prise, elle aussi avait compris…je la regardai, guettant son approbation :
« Pour toi oui, mon pervers de gendre, je le ferai, tu peux tout exiger de moi …
— Je m’en souviendrai belle-maman ! »

Cécile qui s’amusait beaucoup de voir sa mère humiliée, à poil, la tête en bas en train de se faire tartiner les lèvres et la fente avec du beurre par Eva, mais aussi un peu excédée par la complicité qu’elle sentait entre nous deux, dit avec un sourire :
« Mais ma chère maman, on y ferait passer le métro dans ta chatte…tu te souviens quand tu m’obligeais à la lécher et à la doigter pendant que tu me fistais avec ta main ? »

Cécile « travailla la chatte de sa mère avec 2 doigts, puis 4 et elle lui beurrait généreusement le mille feuilles, ce qui déclencha inévitablement des spasmes de jouissance dans son ventre de perverse.
« Alors tu vois maman que ça te plait !!Allez-y les gars, empalez-la, mais doucement quand même, on en fera encore usage. »

Martine fut soulevée au-dessus de la pomme de pin en laiton et les hommes la descendirent très doucement sur la pointe arrondie qui s’enfonça comme par magie dans son sexe.On aurait dit que son vagin, affamé, gobait l’objet de laiton !!!Après quelques va-et-vient très doux et lents, la chatte se dilatait aux contours de l’objet, et bientôt Martine se retrouva les fesses au contact du bois : tout la pomme de pin avait été « avalée » par son vagin !!

Alors Marco et Enzo soutenant toujours ma belle-mère sous les cuisses la faisaient coulisser sur l’objet de décoration, entrainant des gémissements de plaisir de Martine de plus en plus forts !!!Martine jouissait maintenant à gorge déployée sous l’horrible intromission dans son sexe :
« ouiiiiiii !!!! C’est boonnnn, continuez bande de salops, je suis votre chose, votre salooooopppe !!!! »

Cécile n’en revenait quand même pas de voir avec quelle facilité Martine avait été empalée jusqu’à la garde…Il faut dire que sa mère s’enfilait des godes de gros calibre dans la fente, c’était un peu « les canons de Navarone » du cul !!!

Après l’avoir emmenée dans le living, elle fut attachée sur la grande table, bras et mains liés aux pieds de cette dernière, la tête penchée dans le vide.
Nous nous sommes tous déshabillés, les hommes étaient en érection et Eva et ma femme commençaient à s’exciter après le spectacle déjanté dont tous avaient été témoins !

Chacun commença à flatter, caresser, qui le sexe de ma belle-mère, qui ses seins, ses hanches, son cul.Eva lui roulait de grosses pelles bien baveuses et lui enfonçait ses doigts dans la bouche qu’elle avait préalablement trempés dans son sexe dégoulinant de mouille. Martine acceptait tous ces touchers, toutes ces pénétrations avec beaucoup de soupirs et de petits cris de joie !!Elle m’appela par mon prénom et me demanda de lui faire un cuni, je n’hésitais pas et me retrouvais en train de lécher la belle chatte de ma belle-mère !! Sous le regard sans concession de ma femme !!
« Dis donc Paul tu es là pour me venger des saloperies qu’elle m’a faites ou pour l’emmener au septième ciel ??? »Devant son regard exaspéré, je me retirai de l’étau si accueillant des cuisses de ma belle-mère…

Cécile alla chercher le bougeoir sur la cheminée, alluma le gros cierge et commença à faire couler de la cire brulante d’abord sur le ventre de sa mère, tournant bien autour des seins, puis sur ses cuisses autour de sen sexe.
Martine gémissait et couinait en même temps.
Puis elle aspergea généreusement ses seins, des petites stalactites se formaient sur les pointes dressées vers le ciel.Et enfin elle laissa durablement la bougie bruler au-dessus du mont de Venus, si bien qu’une rivière de cire chaude se déversait et se solidifiait aussitôt sur sa fente et ses lèvres.Martine criait de douleur ?? Mais peut-être aussi de plaisir, la distinction était malaisée ; en tout cas quand Cécile éteignit la grosse bougie et la fourra d’une traite dans sa chatte déjà dilatée, sa mère poussa un grand cri, ahana bruyamment et se déchaina dans un orgasme fantastique !!Cécile dit aux hommes :
« Messieurs baisez moi cette vieille truie, elle est à vous !!Non pas toi Paul, toi tu regardes… »

Le vieux dégagea la cire collée sur le sexe de ma belle-mère et introduit sa queue, il devait effectuer des mouvements de va-et-vient en biais ou tourner en tire-bouchon dans sa chatte tandis qu’il la pénétrait : Martine était aux anges…Elle prit de sa propre initiative la queue d’Enzo qu’elle branla avec efficacité, tandis qu’elle tailla une pipe enthousiaste à Marco.
Elle jouit beaucoup pendant que les 3 hommes se relayaient dans ses différents trous et qu’Éva se plaça la vulve sur sa bouche, à califourchon pour se faire sucer la chatte.Ma femme et moi regardions ce spectacle de débauche et m’asseyant dans le fauteuil en face, je pris ma femme qui vint s’empaler sur ma queue, dans la direction de sa mère.
Sous mes va-et-vient puissants et s’excitant du spectacle de sa mère partouzée par les 4, Cécile vint très rapidement à l’orgasme, nous jouîmes de concert avec délectation !!

Cécile regarda sa mère alanguie sur la table :
« Maman pourquoi m’as-tu traité comme cela dans ma jeunesse ??
— Quand ton père est parti avec cette trainée, je me suis sentie sale et inutile, alors je me faisais jouir et ensuite me fouettais moi-même, en pure masochiste pour me punir de ne pas avoir réussi a gardé mon mari, parti à cause de mon peu d’enthousiasme au lit.
Quand tu as rencontré Paul et que j’ai vu qu’il t’épanouissait, je ne l’ai pas supporté.Pourquoi serais-tu heureuse et comblée sexuellement alors que moi j’avais tout perdu ??Alors je me suis vengée sur toi j’avais une haine de tout, moi-même, toi, ton futur mari…
Je voulais abimer votre amour et j’y suis arrivée.Je t’ai rendu frigide par mes mauvais traitements et j’avais compris que tu t’étais protégée en te cachant tes propres souvenirs de débauche avec moi, qui te donnaient du plaisir et te dégouttaient en même temps.
D’après ce que j’ai compris, ce sont ton état de femme enceinte, ton excitation sexuelle chronique, et ta rencontre avec ces gens qui t’ont libéré de mes chaînes, t’ont fait retrouver la mémoire et tu as voulu te venger de moi.Je le comprends et l’accepte. »

Sur le pas de la porte, habillée d’une robe de chambre en soie, Martine regarda le vieux et ses enfants partir, elle leur dit :
« Si vous avez du temps à perdre…. »
Le vieux se retourna, fit OK de la tête et mit son pouce vers le haut…
« Quant à toi mon cher gendre, si vaillant, si beau, si endurant, ta belle-maman aura toujours sa porte ouverte pour toi, et pas que…. »

Épilogue :
Cécile accoucha d’un très beau garçon de 4,2 kg, qui était déjà en érection à son arrivée dans notre monde.Il était sorti par les voies naturelles et, nous, ses parents pensions bien que ce ne serait pas son seul contact avec l’appareil génital féminin.
Nous l’avons appelé « Marco », allez donc savoir pourquoi ; si ça avait était une fille, son prénom était tout trouvé aussi… ce serait pour la suivante…

Fin de « Ma femme a une grossesse peu ordinaire ! II »
Diffuse en direct !
Regarder son live