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La femme de ma vie

Chapitre 1

Inceste
Je n’avais jamais pu imaginer que cela se produirait un jour.Mais la vie est ainsi faite, avec son lot de bonnes et de mauvaises surprises.Au chapitre des déceptions, ma séparation avec Coralie, vingt trois ans, qui qui partageait ma vie depuis trois ans...Du coup, une vie toute tracée de patachon s’ouvrait devant moi...Je sortais beaucoup, en boite mais aussi dans certains clubs très privés.Je collectionnais allègrement les aventures d’un soir, sans me faire le moindre souci. A trente ans, je profitais enfin sans vergogne de tout les fruits qui m’avaient été défendus durant ma vie en couple. Bref, j’étais noceur et jouisseur jusqu’à l’excès et je m’en accommodais parfaitement.
J’avais pris quelques jours de congés, du coup j’en avais profité pour passer un peu de temps chez Céline, ma maman. Elle, malgré ses quarante cinq ans, se faisait déjà une joie toute maternelle de retrouver son petit chéri.Je serais couvé, choyé, nourri et logé dans le plus douillet des cocons...Oui m’a mère m’avait eut très jeune, il avait même fallu une dérogation pour qu’enceinte jusqu’au yeux, elle épouse mon père à peine plus âgé.Il avait vécu heureux, jusqu’au décès de papa, il y a cinq ans de cela.
Mais bon, le cocooning ne serait sûrement pas pour ce soir, ma mère m’ayant informé qu’elle serait chez une copine une bonne partie de la soirée.Une fois à la maison familiale, j’avais découvert dans la salle, tout le nécessaire, apéro, vin, petits plats, etc. Même absente elle me couvrait de toute son attention. Ah le bonheur de l’amour maternel...
Un ami m’avait refilé l’adresse d’un club libertin à une quarantaine de kilomètres, et comme j’étais seul devant la télévision, à regarder une bande d’imbéciles jouant les Robinson de fortune sur une île déserte, je décidais d’aller y faire un tour.A mon arrivée sur le parking, le grand noir qui filtrait les entrées, me confia un masque, un loup noir, le thème de la nuit était "fétichisme et soumission féminine", un grand classique, pour mon plus grand régal.J’avais découvert sur le tard les plaisirs SM avec des copines. J’aimais bien les fouetter, les fesser, leur tordre les pointes des seins, c’était une sensation exquise.Contre toute attente, j’étais même plutôt doué au dires de certaines couguars que j’avais dressé le temps d’un soir.Je ne me passais pas les nerfs sur les soumises bien au contraire, je savais d’instinct doser les punitions et les alterner de doux réconforts, pour mieux reprendre ensuite la correction.Ce que j’aimais par dessus tout, c’était le spectacle des vulves boursouflées par les coups de badines, les zébrures du fouet sur les fesses, le ventre, la poitrine.
Une fois sur place, il y avait un peu de monde, toujours un peu les mêmes habitués que je reconnaissais malgré leur semblant d’anonymat.Je commandais une coupe de Champagne, et je commençais à déambuler dans la salle. Tout n’était que cuir, latex, piercing, chaînes et menottes, comme à l’accoutumé.Je n’étais pas particulièrement d’humeur autoritaire, j’étais là pour regarder et apprendre, avec la ferme intention de ne pas trop tarder...

C’est dans une des petites alcôves que je l’ai vu, sur le dos vautrée à même le sol, complètement asservie.Ses jambes grandes écartées avaient été remontées sous ses bras, un gros joug lui passait derrière la nuque et la maintenait dans une position totalement indécente.A tour de rôle, maîtres et maîtresses la fouettait, sa chatte était tout gonflée par les raclées successives, c’est à peine si on distinguait son clitoris. Le cuir des lanières lui avait rougi les seins. Elle était en sueur, ses cheveux étaient détrempés, mais elle ne lâchait rien, elle subissait sans relâche.Chaque châtiment la faisait jouir sans honte, elle mêlait cris de douleur et râle de jouissance.Elle était magnifique malgré sa quarantaine, toujours bien gaulée, quelques rondeurs, mais surtout de gros nichons bien dodus.Parfois sous la correction, elle lâchait un petit jet d’urine, et la pisse chaude en retombant sur son sexe poilu, exacerbait d’avantage ses écorchures.Elle était comme en transe...D’un coup une petite bande de jeune est venue au dessus d’elle, les garçons commencèrent à se masturber, déjà elle dégoulinait de sperme, la semence copieuse des mâles lui recouvrait l’intimité.Elle pendant ce temps là forçait sur ses entraves, la chienne semblait n’avoir qu’une seule envie, l’étaler davantage, mais les liens tenaient bon.
A présent filles et jeunes hommes lui pissait dessus, elle, en rut leurs hurlait à tue-tête, de souiller maman.Je la trouvais belle, attirante, désirable, je n’avais qu’une envie, c’était de la prendre, là, ligotée, soumise, offerte.Mais les jeunes ne relâchaient pas leur dominance, de toute façon, ma présence aurait eu quelque chose d’importun...Pour l’heure, le spectacle de sa déchéance me suffisait et me ravissait.
C’est là, quand elle à commencer à lécher les minous ou les raies offertes des garçons et que son masque a glissé, que je l’ai reconnu.J’aurai dû pourtant reconnaître ce corps que j’avais souvent vu nu dans la salle de bain, la forme de son visage, sa longue coiffure blonde aurait pu me mettre la puce à l’oreille...Mais là, dévoilée au grand jour, sous mes yeux, c’était ma mère...
Alors j’ai fuis, comme un pleutre, comme un enfant pris en faute.Ce merveilleux fantasme de femelle servile qui m’avait échaudé était en fait ma propre génitrice.Je me suis engouffré dans ma voiture et j’ai foncé, roulant au hasard, deux bonnes heures.La vision de cette femme dominée hantait mon esprit, mais le visage de Maman se superposait immédiatement par dessus.J’étais perdu, mais surtout excité comme jamais je ne l’avais été.Mon éducation était mise à rude épreuve, j’essayais de me réfugier derrière mes derniers tabous, mais c’était peine perdue... Je bandais comme un âne.
Une fois rentré, vers trois heure, la maison était calme. Ouf, elle n’était pas revenue au bercail.D’un coup, un SMS me fit sursauter...C’était elle, elle m’avertissait qu’elle ne rentrerait pas de la nuit, son amie étant soi-disant souffrante...Mon cul oui, elle devait être en train de se faire bourrer par tout les trous, ou se faire cravacher encore et encore.J’étais en colère, probablement jaloux aussi...Ils la baisaient et moi je restais à me morfondre, avec ma gaule qui ne dégonflait toujours pas.
Dans un coin du salon j’aperçus le Tancarville plein de linge.J’attrapais sa plus belle culotte, et furibard, je me branlais dans l’étoffe.Mon éjaculation fut copieuse, plus qu’à l’ordinaire, quand à la sensation elle bouscula tout, je n’avais plus aucune retenue.Jamais je n’avais connu pareille extase...Le slip était plein de foutre, mais comme je ne ramollissais pas, je repris ma branlette, toujours avec cette frénésie perverse au ventre.J’ai jouis cinq fois avant d’être enfin calmé. Les orgasmes était si intenses, si puissant... et le visage de Maman si présent à chaque fois...
J’ai regardé un instant la fine étoffe, elle était gavée de foutre.Alors je l’ai déposé sur le radiateur pour qu’elle sèche, mais surtout pour qu’elle garde en elle ce précieux nectar d’amour que j’avais répandu, avec l’image omniprésente de ma mère qui ne m’avait pas quitté une seule seconde.Demain, peut-être Maman la portera t-elle, sans se douter une minute que ma semence serait là, tout contre elle, et cette idée vicieuse ne quitta plus mon esprit.
J’avais fini par aller au lit.Je n’ai pas bien dormi, la vision de maman, offerte, dépravée m’avait hanté un long moment.Je ne savais plus si je devais partir ou rester.Faire comme si de rien n’était me semblait la plus sage des attitudes, mais dans mon fort intérieur je savais pertinemment que cela ne serait sûrement pas facile.Vers cinq heures du matin, la tête farcie, j’ai fini par sombrer...La nuit porte conseil, ne dit-on pas ?
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