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La femme de ma vie

Chapitre 2

Inceste
La nuit fut courte, agitée.En descendant vers dix heures, je la vis. Elle avait préparé le petit déjeuner, elle était toute pimpante, joyeuse, comme si de rien n’était.Je m’attablais, silencieux, presque embarrassé, elle au contraire était aux petits soins pour son petit chéri, comme si de rien n’était.Si elle avait pu une seconde se douter de ce qui emplissait mes pensées.Son corps offert à ma domination, lui faire subir tout les outrages, sans modération, la prendre, la baiser sans faillir jusqu’à ce qu’elle cri grâce, jusqu’à ce qu’enfin, ce soit mon prénom qu’elle hurle à s’en crever les poumons.
Maman me demanda si j’avais passé une bonne soirée.Je restais un peu évasif, un "Mouais !" sortit péniblement de ma bouche.Elle pendant ce temps là, me beurrait mes croissants, me resservait un café.Elle avait l’air si sereine, rien à voir avec la grosse salope lubrique que j’avais découvert la veille.
Elle commença à me parler de sa copine "malade", de sa nuit à son chevet, à me raconter les soins, les attentions qu’elle lui avait prodigué.C’est là que mon sang n’a fait qu’un tour.Mes poings ont frappés la table d’un coup sec, je n’avais pas réussis à me contenir.Le pot de confiture tomba par terre et se fracassa, ma tasse s’était renversée sur la nappe." - Que t’arrive t-il ? ", me demanda t-elle, un peu surprise par mon attitude.Moi je fulminais, je ressentais mon sang bouillir dans mes veines.Maman me mentait effrontément alors qu’il eut été plus simple pour elle, de juste me dire qu’elle était sorti sans trop entrer dans les détails. Mais là, la rage montait en moi.Tout s’entrechoquait, ma mère masochiste, ma génitrice chérie, devenue créature soumise à toute cette débauche, sa déchéance honteuse... mais tellement excitante.Je ne savais plus quoi penser, à maman ou à cette femme mure et belle, si désirable dans l’abandon de sa luxure.Que faire ?, l’enlacer, la chérir ?, ou me précipiter sur elle pour la dominer... toute entière... pour qu’elle soit mienne.
Je me suis levé sans rien dire, je suis allé vers le secrétaire, j’en ai sorti un cahier et un stylo plume.De retour auprès de ma mère, j’ai posé le tout devant elle.Alors je lui ai rappelé l’éducation qu’elle m’avait donné.
"- Ne jamais se mentir ! " tu te souviens ?Je lui expliquais clairement que je n’étais pas dupe, que je savais incontestablement qu’elle avait inventé cet alibi plutôt que de me dire qu’elle était sorti.Mais je n’en dis pas plus sur ses frasques de la nuit, ce serait à elle de me les avouer, si elle en avait le courage, ou la volonté.
A chaque fois que je lui mentais, maman me faisait faire cent lignes, aujourd’hui ce serait son tour." - Tu vas me copier 100 fois: Maman ne doit pas mentir à son fils chéri.Soignes ton écriture, sinon tu recommenceras... ".Elle restait interloquée, paralysée sur place, alors mon doigt se fit autoritaire et se planta sur la page blanche, comme la nuit qu’elle et moi venions de passer." - Confiance, respect, pas de mensonge... Voilà les notions morales que tu m’as donné, maman.Elles valent pour tout dans la vie, en famille comme en couple.Tu aurais pu me dire simplement, que hier soir tu es allé faire la fête, tu en as le droit.Peut-être m’aurais tu raconté ta soirée, en détail, sans rien omettre de tes frasques. Mais non... toi, tu préfères me raconter des bobards !Alors fais tes lignes... ".
Maman avait attrapé le stylo et débuta sa punition, sans pipé le moindre mot.Je la contemplais en silence, je voyais bien qu’elle savait évidemment qu’elle venait de se faire prendre en faute.Elle se demandait surtout ce que je pouvais bien avoir découvert. D’un coup, elle se ravisa... dans sa mine je pus lire un peu de ses pensées: Non, son secret était bien gardé, se disait-elle.Si elle se doutait... la pauvre.
Je suis allé cherché une éponge, une pelle et un balais, histoire de ramasser mes bêtises.En me voyant faire, ma mère s’écria qu’elle nettoierait après." - A ce que je sache, tu n’es pas encore mon esclave Maman ? ".Les mots étaient sortis tout seul. Intérieurement je me délectais du double sens de mes paroles... Aussitôt l’idée espiègle, de jouer sur l’ambivalence des termes se fit impérieuse." - Papa était le maître ici... tu faisais tout pour lui... de quel droit devrais-je prendre sa place ? ".Elle resta interloquée, mais repris consciencieusement sa calligraphie, comme une élève studieuse.Moi une fois mes conneries réparées, je terminais mon petit déj, comme si de rien n’était.
Une heure plus tard elle s’approcha de moi, et me tendit son cahier.Je pris un air professoral et relu lentement la punition.Les caractères étaient soignés, mais avec ce détail charmant, le point sur le i de "chéri", qui avait été remplacé par un adorable petit cœur.Je comptais chaque ligne avec minutie, sans ouvrir la bouche. Une fois la lecture terminée, je signais la feuille, comme maman le faisait avec moi, lorsque s’était moi qui avait fauté, et, toujours autant silencieux, je me levais pour aller à l’étage, prendre une bonne douche revigorante.J’en avais besoin.
Une fois lavé et habillé, en arrivant en bas, la maison était vide.Ma mère était parti sans rien dire.Sans m’en rendre compte, mon regard se posa sur le radiateur, la culotte graissée de mon sperme n’était plus là... Elle avait dû l’enfiler à la hâte.Je restais seul, comme une âme en peine.Peut-être avais-je été trop dur...Maman n’avait-elle pas le droit à sa vie privée ?, je n’étais plus sûr de rien.Vers 18 heures ne la voyant toujours pas revenir, j’avais entrepris de rentrer chez moi.Mon sac et mes affaires étaient prêt de la porte quand elle arriva.
D’abord elle fut surprise par mon bagage." - Tu pars ? "." - C’est peut-être mieux... non ? "." - Et tu vas me laisser seule, sans même une explication ? ".A cet instant précis, je suis redevenu son petit enfant. Mes yeux ne quittaient pas mes chaussures, j’étais là, tout penaud ne sachant quoi répondre...
" - Maman... hier soir... je t’ai vu... au club... ".Ma confession la fit frémir. Maman comprenait que je l’avait découverte, et moi, honteux d’avoir pénétré son intimité je restais tétanisé.
Ma mère se mit à sangloter, elle bredouillait des excuses, exprimait sa honte, tentait de m’expliquer le pourquoi du comment... et moi piteux, je finis par la serrer dans mes bras.Elle s’était collée à moi, ses gros seins tièdes contre mon torse, moi je n’arrêtais pas de lui faire des petits bisous, sur les joues, les yeux, le nez. Je séchais ses larmes de mes lèvres, parfois je m’aventurais timidement à l’orée de ses commissures, mais je n’osai pas aller trop loin.Mes bras la plaquais contre moi, mes mains allaient et venaient de sa nuque jusqu’à la limite de ses fesses, mais jamais plus bas.Maman pleurait toutes les larmes de son corps et marmonnait un semblant d’explication.Pour enfin l’apaiser toute entière, je pris sa tête entre mes mains et posais sur sa bouche un petit bisou." - Maman chérie, je ne te juges pas... J’ai juste été surpris... "Elle était enfin calmé, ses yeux brûlaient de mille feux, elle semblait à présent si heureuse, comme si cette révélation forcée lui avait enlevé un poids.
D’un coup, je remarquais qu’elle tenait un sac de pharmacie à la main." - C’est pour soigner tes blessures ? "," - Oui ! ", bégaya t-elle." - Je me doute bien que cette nuit tu as dû déguster... Viens je vais m’occuper de toi. Je vais te soigner, comme tu le faisait avec moi quand j’étais gamin... ".
Maman se laissa faire, elle n’eut aucun mouvement de résistance, même lorsque je finis par faire tomber à ses pieds sa robe.Elle resta inerte, juste parée de sa culotte et de ses escarpins à talons.En la tirant par le bras, je l’avais entraîné jusqu’au canapé, où je pris place. J’attrapais le tube de crème apaisante, m’en enduis abondamment la paume et d’une tape ferme sur ma cuisse, je lui fit signe de venir s’allonger sur mes genoux.Elle hésita une dizaine de seconde, puis vint se placer.Maman était certes grande mais aussi un peu boulotte, mais une fois installée, elle pesait presque comme une plume.Je fis glisser son slip jusqu’à mi-cuisse et découvris son gros popotin.Elle ne broncha pas.Son derrière était écorché, Maman avait probablement été fouetter sans ménagement au vue des estafilades et des ecchymoses.Il était rouge vif, le fouet avait outrageusement marqué le cuir de son cul.
Ma main étalait le baume, par petites touches circulaire très légères. Je faisais bien pénétrer la pommade.Ma mère s’était totalement abandonnée à mes caresses. Sa croupe se relevait parfois comme un signal de complaisance.Elle grognait paisiblement, mes menottes sur sa peau semblaient ravir la quadragénaire.Au fur et à mesure ce n’était plus ma génitrice que je cajolais, cette croupe offerte était à présent le plus merveilleux des terrains de jeu. Ce postérieur tant convoité, devait peu à peu ma propriété, elle me l’offrait sans rougir, comme l’une de mes maîtresses dociles.Alors j’abusais de la situation. Je me tartinais de nouveau la pogne et repris mes soins.D’une petite claque sur son derrière je lui intimait l’ordre de se relever.Dorénavant il me fallait soigner sa poitrine, son ventre, sa vulve tuméfiée...
Ma mère toujours aussi docile, s’était avachie sur le sofa. Le besoin de se confier devenait impérieux, peut-être souhaitait-elle soulager sa conscience, alors elle commença à m’expliquer.
C’était mon défunt père qui l’avait initié aux jeux pervers du sadomasochisme. Elle avait adoré cela dès la première séance. Moi durant toutes ces années, je n’en avais jamais rien su.A sa mort, elle avait cessé un temps sa perversion, mais au fur et mesure, l’envie de recommencer s’était faite de plus en plus présente.Alors chaque soir, elle prenait l’album de famille et se masturbait en regardant les photos de papa.Mais une nuit, elle m’avoua que dans la confusion de ses orgasmes, ce fut mon portrait qui lui fit atteindre l’extase." - Vous vous ressemblez tellement toi et ton père.Quand je te vois, je retrouve ma jeunesse.J’ai souvent l’impression qu’il est là, avec moi... à mes côtés... ".Je devinais son trouble, Papa, Moi, son fils, son couple...Elle continuait à m’expliquer son cheminement. La découverte d’un club spécialisé, ses bas instincts à satisfaire, même jusqu’au jour de ma venue. L’envie était si forte qu’elle s’était empresser d’aller apaiser ses ardeurs, pour pouvoir redevenir ensuite ma tendre maman.
J’avais finis de m’occuper de ses seins. Les deux pointes s’étaient dressées de manière effronté, ses nichons déjà bien gros avait quasiment doublé de volume sous mes attouchements.Je fixais ses belles aréoles, larges et brune.Maman, indolente, m’avait laissé faire sans broncher.Alors je m’enhardis et vidait le tube sur son ventre, juste à la lisière de son sexe.
" - Tu dois me trouver dégoûtante, abjecte... Ta mère est une catin putride, qui aime les coups, la dégradation... ".Je ne dis rien." - Je suis sale n’est ce pas, dépravée... Je dois te faire honte... ".
Je pris mon courage à deux mains, sa vulve était là, à portée de mes doigts, attendant d’être bichonner." - Non Maman, je n’ai pas à te juger, ni à te condamner, surtout que tout les deux, nous avons en commun ces goûts si particulier.Mais chacun à une extrémité du fouet...Toi c’est les lanières, moi j’aime saisir le manche... ".
Ma mère avait fermé les yeux, et s’abandonnait totalement en entendant mes douces paroles. Le bichonnage de son corps l’avait amadoué. Ses paupières closes semblait être le signal pour moi de poursuivre mes soins, jusqu’au bout, même là, sur ce mont d’ordinaire interdit aux mains de son fils.Ma paume effleurait son bidon, puis insensiblement glissa vers sa chatte, elle me laissa faire, entièrement conquise.Mes doigts allaient et venaient entre ses lèvres tuméfiées.Je frôlais son clitoris, il croissait peu à peu sous mes phalanges.Son ventre humide s’inondait davantage, une senteur musquée s’échappait maintenant de son bas-ventre.J’étais en train de lui faire du bien, non ce n’étais plus des gestes médicaux que je lui prodiguais, mais bien d’incestueuses câlineries.Elle soufflait de plus en plus fort, alors j’osais encore plus.Finis les mignardises sur son intimité, à moi de prendre les devants, de lui imposer ma volonté.Lentement je la masturbais.Index et majeur coulissaient dans sa fente détrempée et finirent par déflorer ce trou, d’où j’étais sortis, il y a trente ans...Je palpais ses muqueuses, je m’enfonçais plus profondément et lorsque mon annulaire rejoint les autres dans les tréfonds de son sexe, Maman capitula une première fois et hurla son plaisir.Je venais de la conquérir, dorénavant je n’aurais de cesse que lorsqu’elle sera mienne.L’auriculaire força son ouverture avait une facilité déconcertante. J’avais quatre doigts enchâssés dans son ventre. Je flattais son conduit avec fougue, sans précaution.Je fouinais dans ses abîmes, son utérus était là, à portée, maintenant entre-ouvert n’attendant plus que je le corrompe à son tour cette matrice qui m’avait vu naître.Maman hurlait de plus belle, elle n’était plus qu’exaltation, jouissance impudique, luxure...Un long jet d’urine jaillit de son méat, elle venait de jouir pour la quatrième fois.
J’extirpais ma main, elle était gluante de tout son amour.Dès lors, je caressais doucement son clito, son pubis, ses poils broussailleux.Je la badigeonnais de cette mouille abondante qui venait de me crier son émoi.Elle resta là, lascive, me laissant la maculer de son plaisir." - Tu devrais t’épiler... J’aime les femmes lisses, qui ne cachent rien de leur secrets les plus intimes... Le ferais tu pour me faire plaisir ? Maman chérie... "." - Oui, je le ferais pour toi, mon cœur, mon amour... ".
Alors je me suis levé, j’ai déboutonné ma braguette, sorti ma verge et dans sa culotte, je me suis de nouveau branler dans la soie de son dessous.Puis je lui est tendu son dessous maculé de ma semence.Elle a compris bien vite ce qu’elle devait en faire et la rapidement enfilé.Elle me fixait du regard, dans son œil plus rien ne serait comme avant.Maman avait abdiqué, elle commençait à s’offrir, trop heureuse de le faire.
Dès lors je n’avais plus qu’un but, qu’il n’y aurait plus de mère, plus de fils, juste elle et moi, le nouvel homme de sa vie...
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