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La fermière dévouée

Chapitre 1

Zoophilie
Emilie est une jeune fermière trentenaire célibataire. Jolie ? Elle l’est de surcroît. Brune aux yeux chocolat en amande. Ses lèvres pulpeuses feraient fantasmer les anges. Et ses divines formes harmonieuses appelaient aux plaisirs charnels. Celle-ci était assez coquine pour garder un homme dans son lit sans qu’il craigne la routine.
– Pourquoi la jeune femme si mystérieuse est-elle célibataire ? Se demandait le village.Les rumeurs la concernant allaient bon train. Certaines vous feraient rougir.

Comme tous les matins, Emilie avait attaché ses longs cheveux raides en queue de cheval. Vêtue de son bleu de travail à même sa peau nue et de ses bottes en caoutchouc, celle-ci se rendait à l’écurie.
Pompon était un jeune cheval âgé de quatre ans, encore en croissance. Le dernier cadeau que la jeune femme s’était offert pour Noël. Celui-ci avait une magnifique robe caramel, sa crinière et sa queue étaient blonde. L’animal attendait impatiemment de recevoir ses soins et la tendre affection de sa maitresse. Celle-ci chargea une brouette d’un seau d’avoine et un autre d’eau.
Arrivée au box, elle ouvrit et serra affectueusement le cheval contre sa poitrine généreuse. Puis, la jeune fermière remplit ses auges. Celle-ci commença à brosser sa robe soyeuse. Le gros gland noir de l’animal déjà visible excitait la jeune femme. Son vagin se contractait délicieusement avec l’envie d’être pénétré en profondeur. Sa chatte se liquéfiait entre ses cuisses.
Emilie ouvrit son bleu jusqu’à l’entre-jambe. Celle-ci passa sa main à l’intérieur. N’ayant pas mis de sous-vêtement, comme à son habitude, ses doigts rencontrèrent ses lèvres toutes trempées et gluantes. Son clito gonfla sous la délicieuse caresse. Son autre main affectionnait le gland. La longue bite noire ne tarda pas à sortir de son fourreau.
La gourmande la prit aussitôt en bouche. Ses lèvres l’aspiraient profondément à s’en donner des hauts le cœur. Ce gourdin était si délicieux. Elle était en adoration devant ce don de la nature. La jeune fermière expérimentée le suçait avidement. La verge était brillante de salive. Parfois, elle la sortait de sa bouche pour lécher amoureusement le gland gonflé. Excitée par cette grosse queue et le doigt qui astiquait savamment son clito, le plaisir brûlant la mena à l’orgasme. Celle-ci jouissait en se caressant le visage avec le merveilleux gourdin tendu. Après ses hurlements de femelle satisfaite, elle le reprit en bouche et le suça de plus belle. Les vigoureux va-et-vient de ses lèvres serrées le firent gonfler à l’extrême. Des litres de sperme se déversaient sur sa langue qui tournoyait sur le gros gland. Sa bouche inondée, la jeune fermière buvait la délicieuse liqueur à grosses gorgées. La semence débordant de cette grotte salvatrice se déversait sur ses seins à nus.
La jeune fermière se lécha ses lèvres avec gourmandise. Ses doigts récupéraient la semence qui nappait son ventre et ses seins. Elle les portait à sa bouche et les léchait avidement.
Emilie changea consciencieusement la litière de Pompon et l’emmena au pré à une centaine de mètres de chez elle. Les vaches y paissaient tranquillement. Soudain, les pattes du taureau agrippèrent les flancs de l’une d’entre elles. Dressé sur ses pattes postérieures, le puissant mâle donnait des coups de reins contre la croupe tendue. C’était un des moments que la jeune fermière affectionnait. Ravie, celle-ci alla prêter main forte au taureau en rut. Elle caressait l’excroissance masculine. Un long et gros membre rose sortait progressivement de son fourreau entre ses mains expertes.
La jeune femme en profita pour lui prodiguer quelques caresses salvatrices. Le gourdin se tendit à l’extrême. Celle-ci le glissa dans la vulve offerte et gluante d’envie. Elle admirait les quelques va-et-vient du membre tendu brillant de mouille en se mettant deux doigts dans son vagin douloureusement dilaté. Le membre s’immobilisa. Des litres de sperme se déversaient dans la vulve de la femelle.Le taureau se retira de ce fourreau soyeux. La main de la fermière le retint. Ses doigts recueillirent les dernières gouttes de semence qui perlaient à l’extrémité de ce membre tendu. La jeune femme le libéra. Le mâle en rut s’affaissa sur ses pattes. Celle-ci le félicita en pourléchant ses doigts. Elle se délectait de la savoureuse liqueur crémeuse.
Emilie s’en retourna à la ferme. Celle-ci fut attirée par des gémissements bruyants en provenance de l’enclos des chèvres. S’y rendant, elle découvrit le bouc en rut qui s’affairait dans les profondeurs de la dernière femelle pas encore prise. La jeune femme savait qu’un chevreau naitrait de cette longue union bestiale. Pour que cela se produise, celle-ci devra séparer le couple, sans quoi le bouc lui fera subir de puissants assauts quotidiens qui la feraient avorter.
La jeune fermière se déshabilla et caressa son clito gonflé d’excitation. Sa chatte trempée glissait entre ses doigts experts. Son esprit fertile imaginait les importantes giclées de sperme qui s’échappaient de cette longue verge rougie immobile. Son corps brûlant de désir et de plaisir atteignit l’orgasme. Ses cris se répercutaient sur les parois en bois de l’enclos. Le bouc en rut libéra sa femelle.La jeune femme l’agrippa par derrière. Celle-ci apprécia la caresse de la fourrure soyeuse sur ses seins volumineux. Elle aligna son bassin sur celui de la chèvre. Les pattes du bouc en rut agrippèrent ses hanches. Son gourdin rougit et encore tendu se frotta sur la croupe offerte. Le gland gonflé en trouva l’entrée soyeuse et gluante. La verge glissa d’un trait dans les profondeurs de ce vagin dilaté. La jeune fermière hurla de plaisir, les yeux mi-clos. De puissantes giclées de sperme brûlant inondaient sa douce grotte. Le mâle se retira vivement. Des filets de semence crémeuse s’écoulèrent de ces lèvres rougies distendues.
Le bouc en rut renifla l’intimité de sa maitresse en chaleur. Agrippant de nouveau ses hanches, il enfila son gourdin dans les profondeurs de cette chatte soyeuse qui en réclamait encore. Son sperme abondant en tapissa le fond. Celui-ci en retira son gourdin gluant et blanchit.
Le mâle répéta ces actions de nombreuses fois pour le plus grand plaisir de sa maitresse. Jusqu’à ce que ses bourses soient entièrement vidées dans son délicieux corps. Il se détourna de la jeune fermière rassasiée et bien remplit.

(A suivre)
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