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Fétichisme lesbien

Chapitre 1

SM / Fétichisme
Chapitre 1: Une révélation conjointe
Je m’appelle Ingrid, 36 ans, j’ai hérité de mes parents d’origine scandinave mon prénom, ma stature athlétique et la blondeur de ma chevelure. Je gagne plutôt bien ma vie, je suis coach sportif à domicile dans la capitale et ma clientèle est de plus en plus importante. Je fais attention à avoir une alimentation saine et je suis très attirée par toute les méthodes naturelles d’entretien du corps. Je suis bisexuelle et je l’assume pleinement, ma dernière histoire d’amour remonte maintenant à 8 mois mais le célibat ne me pèse pas.
J’attends l’arrivée d’Elsa, mon cours de 14H. Elle vient directement chez moi car étant étudiante, son studio est trop petit pour mon activité. Mon salon est suffisamment vaste pour effectuer à deux des mouvements de gymnastique au sol. La voilà qui arrive. Elle est étudiante en lettres, a 22 ans et possède un corps frêle qui me fait penser un peu à l’actrice Jane MARCH. Elle souhaiterait s’étoffer harmonieusement, c’est pourquoi elle a entamé avec moi des séances de renforcement musculaire.
Nous commençons comme d’habitude le cours par l’absorption d’une boisson énergisante à base de concombre, persil et jus de citron fraichement pressé. Après avoir bu son verre, elle grimace :
— Erk, c’est vraiment pas bon! Je m’y fais pas!
Je hausse les épaules en lui disant que ce n’est qu’une question d’habitude et que moi, tous les matins je bois bien un verre de mon urine et que ce n’est pas si pire que ça!
Elle est décontenancée, je vois la stupéfaction dans ses yeux. J’en ai trop dit, je commence alors à lui expliquer les vertus de l’urine. Comme je l’ai dit précédemment, les médecines alternatives trouvent écho en moi et après m’être longuement documentée, je me suis lancée dans l’urinothérapie pour mes besoins personnels. Je lui explique alors mon système d’automédication à base de liquide doré et que la base de la bonne santé c’est de consommer sa première urine du matin. Au fur et à mesure de mes explications, je sens son attention augmenter, elle me pose des questions et je lui réponds le plus simplement du monde… J’interromps cependant notre discussion :
— Allez, on commence? L’heure tourne et il faut qu’on transpire!
Elle rit et nous nous sommes mis sur les tapis pour débuter nos exercices.
A la fin des enchainements, je finis toujours par un massage des différents muscles de mes clients afin de prévenir les courbatures et tonifier les membres. C’est un moment apaisant et reposant pour les corps. C’est pendant que je lui masse les jambes qu’Elsa me murmure :
— Ingrid?
— Oui?
— Je,…. J’aimerais bien essayer ce que vous disiez tout à l’heure…

Je ne m’attends pas à une demande comme celle-là! Mais je n’arrête pas mes pressions sur ses cuisses.
— Si tu le souhaites, lui dis-je d’un ton doux, mais c’est le matin, il faudra décaler notre cours…
— Je suis d’accord… Sa voix n’est plus qu’un filet.
Après le massage je l’invite à prendre sa douche. Pendant qu’elle se lave, je reste songeuse au salon. Cette jeune femme fluette m’intrigue. Une fois sa douche finie et le prochain rendez-vous fixé un matin, nous nous bisons. Son grand regard noisette m’accroche en partant, elle a vraiment de jolis yeux !
Le matin venu, elle est là, face à moi. Je ne l’aurais pas crue. Elle vient tout juste d’enlever son blouson et frisonne un peu. Je mets cela sur le coup de l’appréhension. Je lui demande si elle est toujours d’accord pour commencer l’expérience et elle me répond d’un hochement de tête à peine perceptible. Je lui tends un verre à jus de fruit, lui explique qu’elle pourra s’isoler après moi dans la salle de bains et que l’on boira ensemble si elle le souhaite. Elle acquiesce, je me dirige vers la salle de bains et en ressort après avoir vidé une partie de ma vessie dans mon verre. Elle prend ma suite, le temps dure, elle ressort enfin tenant fébrilement son verre à la main.
— Tu es prête?
— Oui.
Je porte alors mon verre à la bouche et commence à en boire des gorgées. Mon liquide tiède est comme à son habitude, clair et légèrement salé, j’en profite pour observer Elsa.Elle approche sa bouche de son urine plus foncée, prend un temps de réflexion, trempe ses lèvres et en avale un petit peu. Son expression est indéfinissable, mais elle reporte de nouveau son verre à la bouche et, tout en soutenant mon regard, elle le vide.
Doucement je lui demande si ça va, elle me répond par l’affirmative. Nous nous mettons alors en tenue afin de commencer notre entrainement musculaire. Elsa n’est pas très bavarde. Pendant le cours je regarde son corps se mouvoir, il semble si fragile. En même temps, son regard de tout à l’heure était si intense que je dois avouer qu’il m’a troublé.
A la fin de notre gymnastique, elle me demande si elle peut reprendre un cours du matin pour la prochaine séance. Je n’y vois pas d’objection et lui fixe rendez-vous 2 jours plus tard. Une fois parti, je me fais la réflexion que cette petite commence à avoir un bien étrange comportement.
Deux jours plus tard nous nous retrouvons de nouveau dans mon salon. Cette fois, Elsa me demande a aller la première dans la salle d’eau. Je patiente, l’attente se prolonge et enfin la porte s’ouvre. Elsa réapparait son verre vide à la main.
— Je n’y arrive pas me dit-elle baissant le regard.
— Ne t’inquiètes pas, lui dis-je pour la réconforter, c’est pas une obligation tu sais, tu peux t’en passer !
— Peut-être que…
— Oui?
— Peut-être, peut-être que vous pourriez me remplir mon verre… me dit-elle tout bas.
Si je m’attendais à ça! La petite étudiante de fac me demandant d’uriner dans son verre pour qu’elle puisse le boire !
— Euh, tu sais, en principe, pour que ça fonctionne bien, c’est son propre liquide qu’il faut ingérer… Elle regarde toujours le sol sans dire un mot. Devant sa petite mine dépitée je lui sors un : « Bon, pour cette fois, si tu veux…»
— Oui, s’il vous plait, me répond-t-elle seulement.
Je ressors de la salle de bains tenant à chaque main un verre de ma miction et je lui en tends un. Elle le prend d’une main frémissante et le porte à sa bouche en même temps que moi. Comme le matin du cours précédent son regard me traverse et sans sourciller elle boit la totalité de mon urine. Je suis de plus en plus attirée par cette petite et son regard si perçant.
Le cours se déroule de manière habituelle, sauf qu’à la fin, je me risque à la provoquer: je lui explique qu’il existe un massage bienfaisant où les huiles de massage sont remplacées par du liquide doré. Je continue en l’informant que je ne l’ai jamais pratiqué auparavant, mais, comme elle partage désormais cette pratique avec moi, voudrait-elle l’essayer?
— Oui, s’il vous plait…
Elle commence sérieusement à échauffer mes sens! Je lui demande de se dévêtir.
— La brassière et la culotte aussi s’il te plait!
Elle laisse tomber au sol les derniers remparts à sa nudité qui se trouve désormais exposée devant moi. Quel adorable corps, ses seins sont petits, ses côtes légèrement apparentes, son ventre plat et son abricot rasé soigneusement. Je la contemple, faisant durer mon plaisir de la voir nue debout sans bouger, attendant mes instructions. Elle frisonne.
— Je reviens, lui dis-je en me dirigeant vers la cuisine. Elle est dos à moi, je prends un saladier dans le placard, le pose au sol et décide de me vider là, derrière elle. Elle entend le bruit de clapotis caractéristique, elle ne bouge pas, seulement un léger mouvement de sa chevelure traduit son effort pour ne pas tourner sa tête vers ma direction.
Je remonte mon tanga puis mon leggins, m’approche d’elle et lui souffle:
— Allonges toi sur le ventre s’il te plait.
Elle s’exécute, elle a froid, sa peau est parcourue de chair de poule, son souffle s’est accéléré. Je pose mon bol à côté de son bassin, me positionne à califourchon sur ses cuisses, humidifie mes mains dans le liquide et commence à masser ses épaules. Le premier contact de mes mains la fait sursauter, puis je sens que son corps qui s’était contracté commence à se détendre. J’imprègne mes mains fréquemment et descends le long de sa colonne vertébrale pour atteindre ses deux petits globes que je malaxe affectueusement.J’applique à ses fesses des mouvements de rotations qui me permettent d’observer à loisir son petit anus foncé et ses petites lèvres qui s’ouvrent progressivement. C’est sûr, au vu de l’humidification apparente de celles-ci, elle doit ressentir un certain plaisir. Elle soupire doucement. Je poursuis mon massage sur ses cuisses en insistant sur leur intérieur et descends ainsi jusqu’au bout de ses orteils.
— Ça va?
— Oui, c’était bien. Me dit-elle.
Elle est toujours aussi peu loquace, mais son visage paraît bouleversé! J’espère ne pas être allé trop loin ! Je lui propose d’aller prendre une douche, mais elle refuse, se rhabille et me demande si elle peut revenir dès le lendemain… Je lui accorde et elle sort discrètement de mon appartement.
Le lendemain, elle ressort de nouveau de ma salle de bains le verre vide. Son regard est implorant, j’ai compris le message, je prends les choses en main.
Je sens monter en moi une drôle de sensation, une puissance méconnue, un désir d’autorité sur elle, une violence…
Sans aucun ménagement, je la déshabille entièrement et après l’avoir empoignée à la gorge je l’entraine vers la salle de bains. Elle a du mal à me suivre, je tiens son cou fermement à bonne hauteur ce qui l’oblige à courir derrière moi sur la pointe des pieds. Arrivées dans la pièce d’eau, je la fais agenouiller sans délicatesse auprès de la baignoire. Elle me regarde, ses yeux me fascinent. J’ôte devant elle pantalon et culotte et pose mon pied sur le rebord de la baignoire. De cette manière, ma chatte s’entrouvre.
— Approche! Ouvre grand ta bouche.
Fébrilement, elle s’approche de ma vulve découverte et écarte sa mâchoire au maximum. Je vois le fond de sa gorge, ses narines et ses grands yeux qui attendent tout de moi. Je sens la fièvre monter en moi, cette petite est toute offerte et je n’en reviens pas moi-même de ce que je m’apprête à lui faire… Je me concentre et laisse échapper doucement un filet d’urine dans sa gorge, je vois celle-ci se remplir peu à peu, il n’y a que le clapotement du jet qui trouble le silence. Lorsque le niveau de liquide commence à atteindre la commissure de ses lèvres je m’arrête:
— Avale!
Elle referme sa bouche, je la vois déglutir et aussitôt elle reprend sa place, bouche ouverte sous ma fente. A aucun moment elle n’a détaché son regard du mien.
— Avale! Je viens à nouveau de lui remplir son orifice. Elle ingurgite de la même manière que précédemment. De nouveau sa jolie bouche s’offre à moi, je décide de ne plus arrêter ma vessie et la vide complètement dans sa bouche. Elle ne la referme pas, elle attend, le liquide déborde et coule maintenant sur ses seins, glisse le long de son ventre et atteint son sexe où je remarque sa main en action! Elle se caresse la chatte avec mon liquide!
— Avale!
Je viens de finir, j’ai l’impression qu’elle prend son pied dans l’humiliation et moi, je me découvre des envies de domination. J’ai de plus en plus envie de l’asservir, qu’elle soit à moi, totalement.
Alors, Je lui attrape les cheveux et lui plaque le visage dans la flaque qui s’est formée au sol. Je me sers de sa chevelure comme d’une serpillère, sa belle crinière blonde est désormais toute mouillée et parait ainsi plus foncée. Tout en maintenant fermement ses cheveux, je remonte son visage vers ma chatte. Ses yeux sont humides mais une lueur ardente de désir les illumine. J’enfonce son visage au creux de mon intimité, je lui ordonne de lécher et elle s’exécute du mieux qu’elle le peut car je bouge frénétiquement mon bassin sur sa face. Je me branle littéralement sur son nez et sa bouche, je la sens suffoquer dans mes replis. Ma chatte est en eaux et je jouis sur sa figure. Je ne me reconnais plus, je retire brusquement sa tête de mon sexe et me dirige vers le meuble sous évier.
Toujours agenouillée dans le liquide ambré, elle m’observe en reprenant difficilement son souffle. C’est alors que j’extirpe un gode ceinture de couleur noire, cadeau d’une de mes ancienne conquête. Elle ne détache son regard de la proéminence de latex que je suis en train d’enfiler. Une fois harnachée, je me présente à elle, le pénis en plastique trônant devant ma vulve. J’utilise ses cheveux trempés pour humidifier le latex, cela fait le fait luire.
— Suce! Et fais le bien car tu vas te le prendre au plus profond de ton corps!
Elle s’avance doucement à quatre pattes, tout dans son attitude transpire la soumission et cela ne fait qu’accroitre mon désir de la posséder. Le gland est trop gros pour sa petite bouche, mais elle s’efforce de l’enfoncer profondément au fond de sa gorge. J’ai envie de lui baiser la bouche, mais vu les dimensions de la chose, je ne voudrais pas la blesser. Elle quitte le gland pour lécher l’ensemble de la tige, sa bave coule abondement, elle a raison car je ne la préparerai pas !
— Ça suffit, tourne-toi!
En silence elle me présente sa croupe, elle est positionnée en levrette, toujours à quatre pattes, la tête haute regardant droit devant elle. Cette attitude me déplait, je lui appuie sur l’épaule pour que son visage soit de nouveau en contact avec la mare, elle n’a maintenant plus que les fesses qui pointent en l’air. Je positionne le membre en plastique face à sa petite moule et la pénètre violemment. Cela lui arrache un cri, voilà qui me plait, je me retire et me renfonce aussitôt. Ces râles m’enflamment, je m’accroche à ses petites hanches et me mets à la pistonner comme une furie pendant de longues minutes. Je sens son corps animé de soubresauts, je n’en reviens pas elle est en train de jouir de plaisir!
Je me retire de son antre et son postérieur s’affaisse sur le carrelage. J’ai l’impression qu’elle s’est évanouie car elle a les yeux dans le vague. Elle respire plus lentement, ses yeux se tournent alors vers moi.
— Merci, me dit-elle dans un murmure.
Je suis debout, elle sur le sol, je regarde autour de moi:
— T’as intérêt à me nettoyer ce chantier, et puis lave-toi !
Je quitte la pièce, enfile un peignoir, me dirige vers la cuisine et me fais infuser un thé. Ma respiration est forte, je peine à retrouver un rythme plus calme. Je repense à ce que je viens de faire à Elsa. Il faut dire que je n’y suis pas allée de main morte, c’est vrai je ne connais rien d’elle, je ne sais même pas si elle était vierge ou non…Jamais je n’avais eu de réaction de la sorte avec mes anciennes relations, ni avec les hommes, ni avec les femmes… C’est elle, qui a déclenché ça en moi. J’y ai pris du plaisir et cela me dérange vis-à-vis d’elle. Mais après tout il me semble que c’est ce qu’elle voulait.
J’entends le jet de la douche puis, quelques temps après la porte de la salle de bains s’ouvrir. Je lui tourne le dos assis à la table, je sirote mon thé. Elle passe en silence derrière moi, ouvre la porte d’entrée et sort.
Une fois la porte fermée je me mis à penser que je ne la reverrai plus. Et bizarrement cette idée me pinça le cœur.
L’avenir allait me prouver le contraire.
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