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Ma fiancée me trompe avec...

Chapitre 1

Hétéro
"Je ne l’ai pas vu venir. Pourtant ce ne sont pas les signes qui manquaient... Il m’en aura fallu du temps pour faire toute la lumière sur les récents événements, impactant mon couple de manière significative.
Trois mois ont passé tandis que je rédige ces quelques mots. Guillaume, c’est mon prénom. Je me marie dans moins de vingt-quatre heures..."

***

24 décembre 2014,
Je ne les ai pas revus depuis mon départ... Mon père et ma mère patientent dans le grand hall de l’aéroport, trépignent à l’idée de me serrer dans leurs bras et enfin faire la connaissance de Lucile.
Lucile... Merveilleuse Lucile... J’avais à l’époque accepté un poste de consultant à Los Angeles. très loin de chez moi. C’est là que j’ai rencontré Lucile pour la première fois. Elle était alors animatrice dans un centre de fitness, dynamique et toujours le sourire aux lèvres. Nous avons tout de suite sympathisé.
Un joli brin de fille... Brune, les yeux bleus, et des formes sensuelles. Elle attirait à coup sûr le regard des hommes (et à l’occasion celui des femmes) qui se rendaient à la salle de sport mais c’est sur moi qu’elle jeta son dévolu, à mon grand bonheur.
Et me voilà de retour au bercail, acceptant l’étreinte des parents avec une joie non dissimulée, après une longue séparation qui aura duré deux années.
— Notre fils n’a pas menti à votre sujet, annonce mon père à Lucile. Vous êtes...— Vous êtes ravissante, termine ma mère.
Lucile ne peut s’empêcher de rougir, émue par tant de gentillesse. Elle ajoute :
— Guillaume m’a dit le plus grand bien de vous, monsieur et madame Cointrel. Je suis heureuse de pouvoir enfin vous rencontrer.— Plaisir partagé, fit mon père, courtois. Mais pas de "monsieur" entre nous... Appelle-moi Charles, je t’en prie. Et voici ma femme, Marie.

La fatigue a eu raison de nous... Je m’endors au côté de Lucile durant le trajet en voiture, la serre dans mes bras. Nous sommes presque arrivés lorsque je reprends conscience, identifie très vite le quartier où j’ai grandi. Mon père ralentit, puis arrête la voiture face à la maison qui n’a pas changé depuis mon départ à l’étranger. J’organise une visite rapide de la propriété à Lucile avant de ranger nos valises dans ma chambre, recouvre peu à peu mes repères.
Nous profitons qu’il fasse encore tôt pour se poser sur le divan et récupérer de notre voyage, en prévision d’une promenade à l’extérieur. La journée passe à une vitesse folle.
Mon père nous sert l’apéritif à moi et Lucile, ne lésine pas sur les doses. Je jette un coup d’œil par la fenêtre, constate qu’il fait nuit noire. Ma mère est aux fourneaux, garde un œil sur la cuisson, se permet quelques allées et venues dans le salon pour déguster un alcool avec nous. J’ai la tête qui tourne... Ce n’est pas uniquement à cause de la boisson, si vous voulez tout savoir. Ma chérie qui se trouve à mes côtés a revêtu sa plus belle robe de soirée, noire, retenue par une cordelette, et qui descend jusqu’à mi-cuisses. Je me penche vers Lucile, lui adresse un baiser à la base du cou. Elle est resplendissante.
Ce ne sont pas les sujets de discussion qui manquent. Mon histoire avec Lucile, bien sûr. Ainsi que mes débuts professionnels. Mon père nous réapprovisionne en alcool, partage une plaisanterie avec ma chérie, déclenchant son hilarité.
— Tu es mignonne à croquer. Si j’avais quelques années de moins... — Je vous aurai peut-être donné votre chance, répond Lucile avec une pointe d’ironie.
Je m’interpose entre les deux, amusé.
— Désolé papa, j’étais là en premier !
Nous rions tous aux éclats tandis qu’il affiche un air triste. Il s’est écoulé trente minutes (et deux autres services) avant de rejoindre la tablée et apprécier les mets succulents préparés par ma mère. Mon père aide Lucile à s’installer, chuchote je ne sais quoi à son oreille, et la fait rire. Je profite de cet instant en famille pour porter un toast, lève mon verre, très vite imité. Maman s’est surpassée... Je reprends même du dessert.
Il est presque une heure du matin quand nous regagnons le séjour, et en particulier le confort des fauteuils rembourrés. Ma mère nous a quittés il y a déjà un moment, trop épuisée pour continuer la soirée... J’ai moi-même des difficultés à rester éveillé. Lucile tapote mon épaule pour me faire réagir, ne cache pas son amusement. Mon père revient avec un album photo sous chaque bras et une bouteille de vin dans sa main droite.
— De sa naissance à aujourd’hui, raconte mon père, les yeux brillants. — J’ai hâte de voir cela, continue Lucile.
Je m’assoupis une poignée de secondes... Mon père vient de déboucher la bouteille de vin, remplit les deux verres posés sur la table de salon, en propose un à Lucile. Mes paupières sont lourdes, très lourdes... Pas la moindre idée du temps qu’il s’est écoulé lorsque je sors de ma léthargie.
Lucile se tient au côté de mon père, à distance raisonnable. Je la vois tourner les pages de l’album, éplucher à la loupe chaque photo, tout sourire. Je m’absente une fois de plus... Ils sont maintenant bien plus proches.
— Vous me faîtes marcher, s’esclaffe Lucile.— Je ne me permettrais pas. — Je me fais sans doute des illusions, Charles, mais... J’ai la sensation très étrange que vous essayez de me séduire.
Mon père ne répond pas tout de suite, soutient le regard de Lucile, et se risque à poser une main sur son genou. Ma chérie a bien du mal à ne pas dissimuler son émoi, ignorant sûrement la conduite à suivre.
— Et ça fonctionne ? demande mon père, affermissant sa prise. — Peut-être.
Lucile n’a toujours pas dégagé la main de mon paternel, esquisse un sourire timide. Elle trouve son réconfort dans le contenu de son verre, ce qui fait rire son voisin. Je me sens à nouveau défaillir. Ma vision se trouble…
Les images se bousculent dans ma tête. Je découvre Lucile dans les bras de son futur beau-père, sa bouche prise d’assaut, faisant virevolter sa langue autour de la sienne, comme le feraient deux amoureux. Puis je les regarde se toucher. Mon père dénoue la cordelette retenant la robe de Lucile, libère une poitrine ronde et ferme, et dont les caresses font très vite durcir les tétons.
— On ne peut pas faire ça ailleurs ? déclare Lucile entre deux gémissements. Guillaume…— Je ne m’inquièterais pas à ta place. Il dort comme un loir.
Je perds encore une fois le fil du temps.
— Une si belle femme, entendis-je. Ce ne sont pas les garçons qui devaient manquer. Mais je doute que tu ais déjà couché avec le père de l’un d’entre eux. — Mmmmh… Jamais.
Lucile est à présent allongée sur le dos, écarte un peu plus les jambes. Elle laisse mon père écarter son string en dentelle et dégager sa chatte entièrement épilée, lâche un soupir de bien-être lorsque débute la fouille intime. Je l’imagine déjà toute mouillée.
Plus tard, je perçois les bruits de vêtements qu’on enlève, et la surprise de ma fiancée.
— Qu’est-ce que… Elle est énorme ! — Je savais qu’elle te plairait.
Je la regarde courber l’échine et baisser la tête pour saisir le gland entre ses lèvres délicates, très vite englouti par sa bouche experte. Sa langue enlace la verge de mon père, la lèche sous toutes les coutures, imperturbable.
Il ne faut pas longtemps à mon paternel pour mettre Lucile à quatre pattes et frotter sa chatte trempée du bout de son gland, la pénètre en profondeur, infatigable. Lucile pousse des petits cris surexcités tandis que la verge s’enfonce toujours plus loin dans son vagin.
— Aaaah… Oui ! Comme ça !—Attends ma jolie ce n’est que le début, lui promet mon père.
Malgré mes efforts je n’arrive pas à garder les yeux ouverts plus de quelques secondes, retrouve Lucile et mon père engagés dans une multitude de positions sexuelles, inépuisables.
Je surprends ma fiancée accepter l’index de mon père dans son anus… Elle entreprend alors de chevaucher son partenaire en prenant appui sur ses quatre membres, approche son bassin de la verge et exerce des pressions contre le gland, qu’elle frotte ensuite contre son petit trou dilaté. Elle comprime le pénis et exerce des rotations qui enflamment le coït. Puis elle pose ses pieds sur les genoux de mon père, qui enchaîne les va-et-vient. Il la tient par la taille et exerce des mouvements de bas en haut, des petites rotations et pressions.
— Ooohhh…
Lucile observe dans ma direction, plus souriante que jamais. Mes yeux sont presque fermés… Sait-elle au moins que j’assiste à toute la scène ?
— Ah ! s’écrie-t-elle, saisie de tremblements. Je… Ouiiii !
Lucile jouit comme rarement, très vite rejoint par mon père qui sort son pénis et arrose copieusement son ventre et ses gros seins. Je le regarde étaler le trop-plein de sperme sur le clitoris et la vulve de ma chérie avec son gland, tout fier.
— Charles… Vous avez été fabuleux, dit Lucile une fois remise de ses émotions. — Toi aussi, très chère. Et si on remettait ça ?
C’est ce qu’ils ont fait. Je ne saurais dire combien de fois car je me suis endormi pour de bon.
Je me réveille dans mon lit après quelques heures de sommeil, au côté de Lucile. Je ne me souviens pas avoir monté les marches… Tout est embrouillé dans ma tête. Je dévisage ma copine qui dort paisiblement, en proie à la confusion. Le dérapage de cette soirée était-il le fruit de mon imagination ?
J’obtiens ma réponse à l’heure du petit-déjeuner, à l’instant où mon père passait dans le dos de Lucile et lui glissait une main discrète aux fesses.

Ps : n’hésitez pas à laisser un petit commentaire si vous avez apprécié cette histoire, merci.
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