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Ma fille fait le trottoir.

Chapitre 1

Inceste
Ma fille fait le trottoir.
La nuit est fraiche, le vent soulève délicatement la mini-jupe d’une prostitué entraînant lascivement son client dans les bois. A cette vue mon excitation grandit et un début d’érection m’est perceptible. Des murmures et des gémissements lointains me parviennent. Je ne peux m’empêcher de me toucher. La voilà de retour, un sourire coquin au coin des lèvres mis en valeur par quelques gouttes de spermes, je jouis à cette vision. Voilà maintenant plus d’un mois que ce manège dure. Depuis que j’ai découvert que cette pute est ma fille.
Ma fille, ma propre fille fait le trottoir. Cette découverte m’avait révulsé, mais je n’avais pu intervenir et rapidement la colère avait fait place à l’envie. Je veux ma fille, je veux être en elle. Marie est vraiment belle, elle est grande, fine, l’air si fragile, même son petit 85c me donne envie d’elle. Mais avant ce jour je ne l’avais jamais vu comme une femme ayant potentiellement un rôle sexuel. Mais savoir que ses activités de bénévoles qu’elle prétendait avoir avec la paroisse locale cachée en réalité son épanouissement sexuel lui conféraient un tout autre visage.
Je ne sais pas quelle était l’idée la plus excitante pour moi. Que ma fille soit désirable et que son corps me nargue tel un fruit défendu ou bien l’idée d’imaginer ma fille se faire prendre par d’autres hommes, une expression perverse sur le visage, et d’entendre ses hommes prendre plaisir à baiser ma fille. La situation devenait intenable à la maison, sa vue me faisait perdre le contrôle de mes sens, j’en devenais fou. Jamais je ne m’étais autant masturbé depuis l’adolescence. Il fallait que je me tape Marie et vite.
Hors je ne pouvais pas simplement coucher avec comme ça. Il m’a fallu une longue réflexion et l’aide d’un ami, José que ma fille ne connaissait pas. José allait servir d’entremetteur et organiser un gang bang dont ma fille allait être le plat principal. Pour nous accompagner trois autres compagnons : Bakary un grand black avec qui je bosse sur le chantier, dont la bite monstrueuse devrait ravager la petite chatte de Marie. Hervé son parrain et mon ami de toujours, l’idée de se taper sa filleul l’existant au plus haut point, secrètement j’espérais voir ses instincts de dominateurs au cours de la soirée. Et enfin Florent le petit voisin encore au Lycée et puceau. Nous sommes tous là à attendre cagoule sur le visage.
Vingt-deux heures. La porte s’ouvre, José est de retour avec la marchandise. Elle est magnifique, elle porte une magnifique robe courte rouge, au dos dénudé, accompagné d’escarpins toutes aussi rouges. Rouge comme le sont ses lèvres pulpeuses. Son regard est noir et d’or sous sa frange brune. La vision d’une déesse si seulement elle n’avait pas ouvert la bouche pour réclamer son argent et finir de négocier le prix. Rompant le charme l’entourant.
D’un claquement de doigt, j’ouvre le bal. José, Florent et Hervé s’empressent de pointer leurs sexes sur ma petite fille, qui professionnellement s’empresse de s’agenouiller et de masturber les bites en érections. Sa première victime est celle de Florent, qu’elle prend goulûment en bouche. Et surprise, visiblement notre jeune ami est un précoce, voilà ma fille déjà souillé par le sperme d’un puceau, qui dégouline sur son visage et sa robe. Malgré la surprise elle sourit, et lèche le sperme amoureusement avec ses doigts puis elle reprend son œuvre. Mon dieu, j’ai élevé une salope.
Nouveau claquement de doigt. Bakary s’approche de ma fille. Lentement, commence à s’amuser avec son petit trou de balle, sa bite en érection est vraiment énorme, elle va déguster, j’espère qu’elle va apprécier le cadeau. Puis lentement il soulève ma fille et vient s’empaler d’un coup sec sur son cul. Elle ne peut s’empêcher de pousser un cri. Je souris. Elle gémit vraiment fort, je suis sûr qu’elle n’avait jamais pris aussi gros. Pendant ce temps Florent devient un homme, elle aussi prend du plaisir temps son petit minou est trempé. Pendant qu’Hervé agacé par les cris stridents et le langage de pouffiasse qu’utilise ma fille s’empresse de lui mettre sa bite dans la bouche, histoire de la faire taire. Si seulement je pouvais utiliser cette technique tous les jours à la maison, la vie serait plus facile.
Voilà maintenant deux heures que ma fille est nue, prise et reprise. Je crois que c’est le moment pour un nouveau claquement de doigt. Tous mes amis se mettent en cercle autour de ma fille, se masturbant devant elle, l’insultant de tous les noms. Elle les aidants. Florent est le premier à dégainer, un long filet de sperme aléatoire sur son visage. José lui s’amuse à lui faire le cuir chevelu et sa magnifique chevelure brune. Bakary lui ne peut s’empêcher de lâcher la plus forte dose sur son cou et sa magnifique petite poitrine. Enfin comme espéré d’Hervé et de ses penchants sadiques, il choisit de viser les yeux de ma petite fille.
Puis lentement mes amis s’écartent pour me laisser enfin ma fille, seule rien que pour moi. Il exalte d’elle une odeur de sueur et de sperme. Une odeur de salope en somme. Je prends le temps de l’admirer et de graver ce moment dans mon esprit. Mon petit trésor est magnifique, ainsi souillé par la semence de mes amis. La vue de son petit minou, si semblable à celui de sa mère dont du sperme commence à ruisseler sur les poils pubiens taillé, en ticket de métro fini d’achever mon érection, si jamais il y avait encore besoin.
Je commence par lui présenter mon gland, qu’elle s’empresse de smacker et d’envelopper délicatement dans ses lèvres pulpeuses. Je comprends la réaction de Florent. Elle me taille une pipe divine, digne des meilleures putes, sa langue jouant avec ma verge, avec charme et dextérité. Mais ce n’est pas dans sa bouche que je veux jouir. Je sors mon sexe brusquement et fait vaciller ma fille sur le sol. Elle écarte les jambes si facilement, une véritable traînée. Je veux voir son visage si mignon pendant que lui prendrais sa chatte. Son vagin est si incroyable, sa chaleur m’emporte et je ne peux m’empêcher de pousser d’énorme râle de plaisir, pendant que j’explore son intimité, plus si intime. Son visage est vraiment indécent, elle prend son pied autant que moi. Enfin dans une étreinte langoureuse ma bite vient cracher ma semence au plus profond d’elle.
Ça, ça c’était une pute qui valait le coup. Je ne regrette pas les trois cents euros que m’ont coûté la soirée, et qui ironiquement ont servi à ma payer mon cadeau d’anniversaire. Ma fille c’est vraiment quelque chose.
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