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De fille sage à dépravée

Chapitre 1

Point de départ

Hétéro
« T’es vraiment bonne », c’est la dernière phrase que je viens d’entendre avant de me mettre à écrire ce récit. Tout ce que je vais vous raconter ici est vrai et j’espère retenir votre attention au long des chapitres qui vont suivre. Tout d’abord une légère présentation de ma personne, je suis Miranda, 25 ans. Je suis brune très foncée, cheveux mi-long, des yeux couleur noisette et j’ai la chance d’être vraiment jolie, ce n’est pas par prétention que je dis cela mais bien parce que ce sont les faits, j’ai cette chance. De plus j’entretiens mon corps et je suis fine, sans forme particulière, une poitrine de taille correct, bonnet B.  Etudiante sérieuse, j’obtiens mon diplôme de kinesithérapeuthe après 5 ans d’enseignement supérieur mais je ne m’installe pas tout de suite, je commence par faire des remplacements et je cherche un poste décent pour être en CDI dans un cabinet.  Ma situation amoureuse était au début de cette histoire très heureuse, j’étais en couple depuis 6 ans, nous ne vivions pas ensemble mais avions une relation qui me paraissait très complice et transparente. J’ai tout donné à cet homme y comprit ma virginité et tout le monde lui disait qu’il avait beaucoup de chance d’être avec une belle femme comme moi et je complétais naïvement que c’était moi la plus chanceuse. Mais un jour en ouvrant la porte de son appartement, dont j’avais les clefs, j’entends des bruits au fond du logis, je me déplace jusqu’à l’origine du bruit et je tombe sur mon copain au lit avec deux femmes. J’avoue ne pas pouvoir donner plus de détails de cette scène car la colère m’a envahi et je suis entrée dans une crise de rage dont j’ignorais le potentiel jusqu’à ce jour au point d’en oublier les détails. Je demanda aux filles de partir sur le champ et entama une dispute apocalyptique avec ce garçon que je ne reconnaissais plus. J’ai appris à ce moment là qu’il m’avait toujours trompé, avec des tas de filles, sans état d’âme, mon monde que je croyais si parfait venait de s’écrouler.
 Je repartis chez moi triste comme les pierres et m’enferma dans mon intérieur pendant deux jours sans en sortir, il fallut encore trois jours de plus pour que j’avertisse mes parents de notre rupture. J’étais perdue et triste, j’avais perdu confiance en moi, la jolie fille joyeuse, qui éclaboussait tout le monde de son bonheur avait disparue. Certaines de mes amies me conseillaient de sortir, d’aller faire de nouvelles rencontres, de m’envoyer en l’air avec n’importe qui pour l’oublier, mais j’en étais incapable. J’avais toujours refusé de coucher avec un homme car je voulais une première fois parfaite, avec un homme que j’aimais, puis je l’avais trouvé et avec lui j’avais découvert les plaisirs charnels, tendre, sensuel, plein de douceur, je n’avais connu que ça. 
 C’est environ cinq semaines après l’incident que nous démarrons notre récit. J’avais trouvé un poste de remplaçante dans un centre de rééducation sportive, pour des athlètes de haut niveau, l’une des kiné habituelles venait de partir en congé de maternité. C’était un travail sympa et cela changeait des personnes agées que l’on voit la plupart du temps, là j’avais à faire à de véritables athlètes, bien que souvent peu agréables car ils supportaient mal d’être éloignés de la compétition et de se sentir loin de leur niveau de performance.  Un vendredi après-midi, je me suis retrouvée seule à travailler, tout les autres praticiens étant parti pour suivre leurs athlètes dans des compétitions. Il se trouve que je n’avais qu’un seul rendez-vous et j’étais libre. Je ne connaissais pas mon nouveau patient. Je vis à 15h arriver un homme noir, très grand, très séduisant et en me saluant il me complimenta d’un : « je sens que la séance va être agréable. ». Je trouvais souvent ce genre de remarque un peu mysogine mais à ce moment là, cela me fit sourire.  Nous avons entamé la séance, il était très sympathique, j’appris qu’il était basketteur professionnel, d’où la grande taille et qu’il se remettait d’une grave entorse du genoux, je vous passe les détails techniques. Il me faisait rire et nous passions un moment agréable mais je trouvais ses mains de plus en plus balladeuse, il se faisait de plus en plus insistant avec ses remarques sur mon physique, cela éveillait en moi une certaine gêne que je réussi à contenir. Quand l’heure de terminer fût venue, je me mis dos à lui pour remplir son dossier, il se leva, se plaça derrière moi et passa ses mains sur mes épaules et les descendit jusque sur mes hanches :  « Rudy que faites vous ? 
 - Vous êtes tellement belle, j’ai envie de vous. Et il vint m’embrasser le cou  - Arrêtez, on se connait à peine, je ne suis pas comme ca. J’essayais de le repousser en écartant les bras. - Laissez vous aller. »
À ces paroles je pensa à tout ce qui m’étais arrivé jusque là, à la jeune fille sage et sérieuse qui s’est faite tromper pendant des années, aux conseils de mes amies qui voulaient que je passe à autre chose. Sa remarque sonna comme une épiphanie dans ma tête, j’allai lacher les rênes en matière de sexe et me laisser aller : « Vas-y alors, laissons nous aller. »Sur ces mots, mon nouvel amant ne se sentant plus de joie, me cambra sur le plan de travail où j’écrivais et après m’avoir caressé les fesses, souleva ma jupe et descendit ma culotte. Il passa un doigt dans ma fente et commença à me caresser, puis enfonça un doigt dans mon intimité, c’était agréable. Au bout de seulement quelques minutes il s’enleva en disant « ca y est t’es toute mouillée, je vais pouvoir commencer ». Cette façon de faire m’interpella sur le coup, je n’avais toujours connu que la tendresse, la sensualité, la douceur, à chaque fois qu’on m’avait doigté, c’était pour me donner du plaisir, non pas pour juste me faire mouiller et pénétrer. Mais je laissa faire, car cela me plaisait et après tout, c’était moi l’inexpérimentée.  Il sorti un préservatif de son sac et me pénétra sans crier gare. Il commença des va et vient rapide, il gémissait telle une bête, m’aggripant par les hanches. À ses gémissements se joignaient mes cris de plaisir : « Anh ! Anh ! Anh ouiiii ! c’est bon !! ». Je ne pensais pas que mes cris lui donneraient autant de fougue, à chacune de mes paroles il me mettait une claque sur le cul et de temps en temps répliquait à mes jouissances par des « Salope ! », « Ah ce que t’es bonne ». Je découvrais tout cela et y prenait un certain plaisir, j’aimais la sauvagerie de Rudy. Notre coït dura vingt bonnes minutes, dans la même position, même s’il me faisait changer d’endroit de temps en temps, contre la porte, contre la table de massage, le bureau, pour la toute première fois je ne faisais pas l’amour, je me faisais baiser, baiser comme une chienne. Cela dura jusqu’à ce qu’il sorte sa queue de mon vagin, retira la capote et tout en me maintenant contre le bureau, déchargea une dose de foutre sur mon cul.
Je restais de marbre après notre partie de jambe en l’air, je n’avais pas eu d’orgasme mais j’avais pris beaucoup de plaisir dans notre jeu, je me posais la question de l’origine de ce plaisir, était-ce la performance de Rudy ? Ou bien la façon de faire, le fait d’être une « salope » ? Tant d’intrigue que je me devais de résoudre. Je me nettoya et me rhabilla, je pensais prendre un peu de temps pour discuter avec ce bel étalon mais lui coupa court et me dit qu’il était en couple, qu’il avait juste fait ça parce que j’étais un canon et qu’on ne remettrait jamais cela. Je trouvais un peu gonflé de me dire que ce n’était que pour une fois étant donné l’insistance qu’il a eut mais je me fit rapidement à l’idée et dès le soir même je n’étais même pas déçue de ne pas le revoir, seul comptait la réponse à ma question, désormais existentielle, de savoir si c’était si bon d’être une fille facile, de se laisser aller à nos instincts bestiaux et sauvages ? Je me devais d’y répondre.
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