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Le Fils du Forgeron

Chapitre 1

Divers
Le Fils du Forgeron - 1
Au Moyen Âge, dans un village reculé d’une immense vallée, une jeune femme marchait sur un petit sentier qui menait à la forge, hors du village. Ses longs cheveux bruns se balançait au fil de ses pas, ses yeux verts regardaient le chemin sinueux qui traversait les grandes prairies, vallonnées ici ou là. Elle avait 20 ans mais elle semblait plus mature avec ses formes très appréciées au village: des seins fermes qui tenaient largement dans les mains, une belle chute de reins, des fesses rebondies et de longues jambes effilées qui se terminaient par des petits pieds aux chevilles potelés. Son père, le chef du village, l’avait envoyée pour passer commande auprès du forgeron pendant qu’il travaillait au champ. À l’approche de la forge cachée derrière une petite colline, elle voyait le panache de fumée noire qui sortait de la grande cheminée et elle entendait déjà les coups de marteau résonnant sur l’enclume. Passé la colline, elle arriva enfin à la forge. L’ancien forgeron, grisonnant et plus maigre que la dernière fois qu’elle était venue, était en train de couper de bois à la hache devant la forge. Il avait beau prendre de l’âge, il était toujours aussi vigoureux. En la voyant arriver, il s’arrêta, posa sa hache et la rejoignit pour l’accueillir chaleureusement: « Bonjour Marie!Tu es venue pour la commande de ton père? Les fers seront prêts ce soir, si Marc veut bien se dépêcher un peu! Dit-il en haussant le ton pour que son fils puisse l’entendre pendant qu’il battait le fer.— Oh ça va! J’ai presque fini, il n’est pas le seul à demander des fers!" s’exclama Marc avant de revenir battre le fer sur l’enclume.Marie s’était approchée de l’entrée de la forge. À l’intérieur il faisait assez sombre dans l’atelier, une petite fenêtre permettait d’éclairer d’une faible lueur l‘enclume où Marc travaillait le fer. L’autre lumière provenait du foyer rougeoyant et éclairait de dos du jeune forgeron en train de marteler un bout de fer chauffé à blanc. Sans la voir, il se retourna pour remettre le fer à chauffer et tira sur une corde qui pendant à sa droite pour actionner le soufflet. Avec les jeux de lumière, Marie put voir le dos musculeux du jeune forgeron ainsi que ses bras puissamment développés. Elle eut un moment d’égarement en s’imaginant un instant arracher le tablier de cuir du jeune homme pour aller au contact de cette force de la nature, mais se souvint soudainement de la nouvelle commande de son père. « En fait, commença-t-elle, en plus des fers pour le cheval, mon père voudrait une nouvelle épée. L’autre a rouillé…— Mais pourquoi il a besoin d’une nouvelle épée? Je pourrais très bien réparer l’autre, affirma Paul, le vieux maître de forge.— C’est différent. Nous avons eu vent des nouvelles de la ville par les marchands: des barbares arrivent du Sud pillant tout sur leur passage, tuant les hommes, violant les femmes pour les tuer après… Mon père veut être prêt au cas où il serait appelé à se battre.— Bien, on va lui préparer ça. Reviens à la fin de la semaine, tout sera prêt. »Sur ces mots, elle dit un au revoir assez fort pour que Marc l’entende mais il ne lui répondit pas.
À la fin de la semaine, par un beau matin chaud et ensoleillé, elle revint avec son père et son cheval. « Pourrais-tu aller me chercher Marc s’il te plaît, demanda Paul à la jeune femme, j’ai besoin de son aide pour ferrer le cheval. Il est parti à la rivière. » Pendant qu’elle se dirigeait vers a rivière non loi de là, le maître de forge faisait essayer l’épée au père. Arrivée à la rivière, elle ne vit personne. Elle décida alors d’aller plus en amont. Plus haut, en effet, la rivière rapetissait en un large torrent et tout en haut, on voyait l’eau jaillir de la roche sous forme de cascades. Elle s’approcha des cascades. De son côté, elle était cachée par la forêt et surplombait de quelques mètres la bas de la cascade où elle avait aperçu quelqu’un. Du côté de l’autre berge, l’espace était plus dégagé, quelques arbres et bosquet ici ou là, et elle repéra des habits jetés négligemment près d’un arbre. En s’approchant encore plus près, mais tout en restant cachée derrière un arbre, elle put reconnaître Marc et observer tout les détails de son anatomie. D’abord de dos, elle avait reconnu le dos noueux et musclé du jeune forgeron, puis elle put apprécier ses jolies fesses bien faites pour finir sur ses jambes bien développées et poilues. Puis il s’était retourné, et là, Marie fut comme envahie d’un immense plaisir. Il avait toujours sa gueule d’ange avec sa tignasse de cheveux bruns et à la mâchoire carré cernée d’une petite barbe qui lui courrait tout le long de cette mâchoire comme un collier, renforçant cette sensation de force. Sous son coup de taureau, elle admira le corps de Marc taillé dans le roc: les pectoraux bien dessinés et poilus, et un mince filet de poils courait vers le bas en passant par les abdos sublimement sculptés, et arrivant à une zone plus touffue mais qui fut un émerveillement pour la jeune vierge. En effet, au village, les filles du boulanger avaient lancé une rumeur assez scabreuse sur le fameux fils du forgeron qui disait que son marteau ne le quittait jamais…Marie compris enfin en voyant son ami d’enfance enfin nu: de là où elle était, elle remarquait que, même au repos, Marc avait un véritable marteau entre ses jambes! Elle se sentait toute chose, une vague de chaleur l’envahissait petit à petit, et sans s’en rendre compte, elle avait porté la main à son entrejambe pour se caresser. Puis, ayant fini de se laver, Marc alla rejoindre ses affaires sur la berge d’en face et il s’allongea sur l‘herbe, les mains derrière la tête, offrant son corps à la nature. Ainsi, face au soleil matinal, son corps luisant d’une lumière presque angélique, faisant brillait sa toison brune sur le torse ainsi que son membre décidément toujours aussi gros malgré l’eau froide. Mais du coin de l’œil, elle aperçut 2 silhouettes se diriger près de l’arbre où Marc se séchait au soleil. Elle reconnut les filles jumelles du boulanger. Cachées derrière l’arbre, elles l’épiaient également, attendant qu’il s’endorme profondément. Quand elles virent que Marc respirait calmement, l’une d’elle s’approcha et pris les habits de Marc. Mais elle fit suffisamment de bruit pour que celui-ci se réveille. Le jeune homme se releva très vite pour poursuivre la jeune fille. Avant qu’il ne puisse l’attraper, la jeune fille envoya les affaires roulées en boule à sa sœur jumelle. Marc, courant totalement nu, les parties à l’air libre, changea de direction pour suivre l’autre sœur, mais une fois de plus, avant qu’il ne l’attrape, elle avait renvoyé les habits à sa sœur. Et le jeu dura un petit moment, jusqu’à ce que Marc cesse de courir pour leur demander gentiment de lui rendre ses affaires. « On doit avoir 2 ou 3 ans de moins que toi, et on cours plus vite… commença l’une des sœurs.— Si tu veux récupérer tes affaires, il va falloir que tu uses toute notre énergie, continua l’autre sœur avec un grand sourire.— Et comment puis-je user toute cette énergie? Demanda Marc. »Pour seule réponse, il vit les deux sœurs se déshabiller pour découvrir leurs jolies formes pour des jeunes femmes: leurs cheveux blonds arrivés jusqu’aux seins biens ronds, un peu petits, mais bien formés, leurs hanches ne demandait qu’à être prises, et elles avaient réussi à se raser la motte pour l‘occasion. Marc compris alors sa mission et s’approcha des jumelles. Elles s’organisèrent: l’une, Léa, à cause de sa petite taille, se pendant d’une main au coup de taureau de Marc et l’embrassait goulûment pendant que l’autre main caressait son torse musclé et velu; l’autre, Zoé s’était agenouillée entre les jambes de Marc et tentait tant bien que mal de s ‘occupait de l’énorme engin du jeune homme.Marie, en voyant se spectacle l’échauffer, déboutonna sa chemisette et releva sa jupe pour caresser plus facilement sa vulve. De l’autre côté, Marc bandait maintenant comme un vrai étalon, la pauvre jumelle essayait vainement de rentrer plus que le gland dans sa bouche, mais elle dut se contenter de cette partie. Elle lui léchait le bout, puis descendait lui sucer ses énormes bourses bien lourdes et revenait sur le gland tout en le léchant sur toute la longueur de la verge. Elle le masturbait à 2 mains, et avec une main elle ne pouvait même pas en faire le tour tellement la queue était épaisse. Ensuite elles échangèrent leur place, mais cette fois-ci, Marc s’allongea. Ainsi pendant que Léa passait ses mains sur son gros calibre, Zoé pouvait dans un premier temps embrasser Marc profondément puis elle s’assit sur son visage, la chatte sur sa bouche. Sa petite barbe chatouilla l’entre jambe de la fille qui lui caressait le torse et le ventre encore mouillé en suivant le filet de poils jusqu’au pubis. Il avait ses deux mains posées fermement sur le cul de la jumelle sur lui, il lui léchait et même lui rentrait sa langue dans le con pour goûter un maximum de son jus. Plus il rentrait sa langue profondément, plus elle gémissait, plus elle mouillait, et plus il pouvait rentrait loin. En même temps, l’autre sœur s’affairait à le sucer en se décrochant la mâchoire. Puis Marc mis une ses mains sur la tête de celle-ci pour la forcer à aller plus loin, mais elle résistait. C’est avec sa force de forgeron qu’il appuya sur la tête blonde et la pauvre fille dut engloutir la grosse queue en l’avalant, lui obstruant ainsi la respiration. Il resta appuyé un moment, en sentant que la jeune fille se débattait. Il ne retira sa main que quand il sentit les muscles de la gorge se décontracter, il avait compris qu’il l’avait presque étouffé. En se redressant, elle prit de grandes bouffées d’air tout en l’insultant. Il enleva la jumelle sur lui et dit: « et si on passait aux choses sérieuses ? » Il prit Zoé à qui il venait de faire un cunnilingus et il la mit à 4 pattes. Il introduisit d’abord un doigt dans son vagin, puis 2, puis 3.Il essaya un quatrième, bien que se soit déjà assez serré avec 3. « Mets moi la main! » gémit-elle et c’est ce qu’il fit pendant qu’elle criait de douleur quand il enfonça son poing entier et qu’il allait toucher le fond. Il retira rapidement son poing, arrachant un autre cri de douleur à la jumelle. Du sang s’écoula et Marc nettoya avec de l’eau. Toujours à 4 pattes, elle sentit Marc présenter son gros gland à l’entrée de son antre. Il enfonça d’abord le gland, puis l’enfila jusqu’à lui toucher le fond. « Oh putain! S’exclama l’autre sœur, il est au fond, et tout n’est pas dedans! Il doit rester 10 bon cm dehors. » Marc lima Zoé d’abord doucement, le temps qu’elle s’habituât à la grande taille de sa queue. Pendant ce temps, Léa s’était placé derrière Marc, ses seins plaqués contre son dos, et elle enlaçait la bête tout en lui caressant la toison sur le torse. Sa tête blonde dépassait l’épaule musclée du jeune homme, si bien que, celui-ci en tournant la tête pouvait l’embrasser, et la fille pouvait voir l’énorme pieu disparaître dans le vagin de sa sœur. C’était un spectacle à la fois fascinant et terrifiant. Marc s’arrêta soudain, tourna son beau visage vers la sœur qui le caressait et lui dit avec un grand sourire: « Maintenant, les choses sérieuses commencent. » Et il parti dans un va-et-vient démentiel, tellement rapide que la jumelle derrière lui tomba en arrière, mais elle se releva et se mis à côté de sa sœur en train de crier sa douleur. Elle se faisait limer de fond en combles, en bon forgeron il lui martelait le fond à chaque coup, la grosseur du membre la perforait de toutes parts, ses mains bien agrippées aux hanches empêchaient toute fuite de la jeune femme. Après 5 bonnes minutes de ce traitement qui parut des heures pour Zoé, il eut des soubresauts et s’arrêta net au fond des entrailles des la jumelle pour lui délivrer des jets importants de sa semence, la sœur à côté regardait et surtout écoutait horrifiée, le son des jets propulsés à l’intérieur de sa sœur qui avait la bouche grande ouverte comme si elle essayait de crier, mais que quelque chose de plus fort la retenait. Il se retira en la poussant violemment et elle s’avachie sur l’herbe totalement ravagée de l’intérieur, mais avec un petit sourire en coin. Et elle s’endormit d’épuisement, le con dégoulinant abondamment de sperme chaud et épais. Il bandait toujours et tourna son regard vers Léa. Ses yeux noirs fixés la jeune femme comme un prédateur fixe sa proie avant de lui sauter dessus, puis lui dit sur ton calme qui la fit frémir de peur : « à ton tour maintenant… »Marc se jeta sur elle telle une bête carnivore, il la plaqua au sol en lui bloquant les bras avec ses puissantes mains, il appuyait de tout son poids avec son bassin sur l’entrejambe de Léa pour qu’elle ne puisse lui donner de coup de pied dans les bourses. Elle tentait de se débattre, elle remuait la tête comme une folle, mais il parvint à plaquer sa bouche contre la sienne, à l’embrasser et lui enfoncer sa langue au fond. Devant une telle ardeur et une telle force qui émanait de ce mâle, Léa se détendit pour profiter pleinement du baiser et relâcher tout son corps. Alors Marc desserra son emprise pour qu’ils puissent s’enlacer, elle en-dessous à lui caresser le dos, lui au-dessus caressant le visage et les seins de Léa. Puis il redressa et rabattit les jambes de la jeune femme sur elle, de sorte qu’elle était toujours sur le dos, mais le con relevait. Marc put donc lui bouffer littéralement l’abricot, la faisant mouiller comme sa sœur. Ensuite il présenta son gros pieu à la petite entrée, il entra le gland ce qui fit gémir Léa. Il se pencha sur elle, une main à côté de chaque épaule, les jambes de la fille étaient donc contre son ventre et son torse, et ses pieds encadraient le visage de Marc. Il eut un sourire en coin, elle lui rendit son sourire puis compris que c’était le calme avant la tempête. Effectivement, un éclair de douleur la déchira soudainement de l’intérieur, Marc butait contre le fond de son vagin incroyablement dilaté. Elle voulut pousser un cri mais son souffle était coupé. Elle ne savait plus si elle avait mal ou si elle jouissait. Ce dont elle était certaine, c’était que Marc continuait son martèlement intérieur. Enfin, il cessa en s’arrêtant dans le fond, il l‘a regarda droit dans les yeux bleus de la jumelle: « T’as sœur a déjà reçu par là, elle te racontera. Toi, tu lui raconteras pour l’autre côté! » Il se dégagea rapidement en emmenant du sang et la retourna pour la prendre en levrette. Il enfonça d’abord doucement son gland dans la petit rosette de la jeune femme qui recommençait à se débattre, il lui mit une claque pour essayer de la calmer, mais comme ça ne marchait pas, il décida d’employer les grands moyens: il s’enfonça d’un coup sec, ce qui fit crier Léa qui, à nouveau, sentit un déchirement mais beaucoup plus profond cette fois-ci. Marc lui touchait le fond des entrailles à chaque coup de reins, et il allait à une vitesse telle que son cerveau ne parvenait plus du tout à différencier la douleur et le plaisir, elle était au bord de l’évanouissement. Le jeune homme, sentant la sauce monter, eut une idée originale pour lui envoyer tout son foutre au fond de ce petit cul. Il releva le buste de Léa qui se laissait faire par manque de lucidité, la plaquant contre lui, puis il se releva, toujours fiché en elle. La pauvre fille trop petite touchait avec la pointe des pieds, elle dut s’accrocher au coup de taureau de Marc. Celui-ci l’avait prise sous les cuisses la soutenant ainsi, les jambes bien écartées, le minou au quatre vents pendant que la grosse queue de l’étalon lui remplissait toujours son petit trou intime. Il la souleva doucement, permettant à Léa de sentir son dos frotter contre la toison du torse de Marc ainsi que ses muscles qu’elle sentait se contracter contre elle. Marc s’arrêta quand il ne lui restait plus que le gland à l’intérieur, son visage était au même niveau que la fille et lui demanda, toujours avec un sourire malicieux: « Prête? » Elle fronça les sourcils, intriguée. Et là, Marc la laissa tombé d’un coup, l’empalant jusqu’à la garde, lui coupant le souffle à nouveau, ne laissant échapper qu‘un léger gémissement, ses yeux bleus étaient exorbités. Marc la souleva à nouveau, ce coup-ci, il allait tout lui envoyer dans le fond. Il la laissé à nouveau s’empaler complètement sur le marteau vivant de Marc qui lui envoya plusieurs giclée importantes au fond du cul de Léa. Marc eut un râle de satisfaction, resta un moment dans cette position, puis se retira pour balancer Léa par terre devant lui. Il voyait le trou béant d’où il venait de se retirer, et d’où un flot impressionnant de foutre s’écoula sur l’herbe. « C’est bon? J’ai usé toute votre énergie? », les sœurs jumelles lui répondirent « oui » d’un souffle faible. Marc, satisfait, alla se nettoyer l’engin avant de remettre son pantalon de cuir qui lui moulait bien son entrejambe.Pendant qu’il s’était rhabillé, Marie avait retrouvé ses esprits, avait ajusté ses vêtements pour retrouver une apparence convenable, et s’était mise à courir à couvert pour retrouver le chemin du retour. Ainsi, elle devançait Marc, et s’arrêta un moment, et revint sur ses pas, très tranquillement. Elle avait donc repris un souffle normal quand elle tomba, « par un heureux hasard », sur Marc. Il était torse nu, marchait pieds nus sur le petit sentier qui longeait la rivière. Il lui souriait, visiblement joyeux de la voir, et ils rentrèrent ensemble à la forge en discutant de chose et d’autre, chacun ayant un bras sur les hanches de l’autre. Marc voyait bien que Marie avait le béguin pour lui et se dit que la prochaine fois qu’ils seraient seuls, juste tous les deux, il lui avouerait que ses sentiments étaient réciproques, et qu’il était sous le charme de Marie depuis de nombreuses années. Mais son énorme membre le gênait, il ne voulait pas faire mal à sa bien-aimée. Il décida qu’il irait voir la sorcière dans la forêt pour voir si elle avait un remède à cela.
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