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Chapitre 2

Hétéro
Le lendemain, c’est le 14 juillet. En début de soirée, toute la famille est prête. Ils n’attendent que moi. Si je me fais un peu attendre, c’est que la journée a été longue. J’ai attendu ce moment dès mon réveil tout en faisant mon maximum pour l’éloigner de mon esprit. Mais les vagues revenaient sans cesse. Pourtant, je ne m’étais masturbée qu’une fois, juste après midi, aux toilettes.
A la salle de bains, j’essuie mon sexe encore une fois. Je mouille encore et encore rien qu’en pensant que je vais peut-être le voir. Un dernier coup d’œil dans le miroir : je n’aurais jamais pensé que je porterai ce débardeur blanc côtelé sans soutien-gorge. Il ressemble à un marcel bien moulant, avec une fermeture éclair jusqu’au sternum. Si l’on devine seulement mes seins, mes tétons, eux, marquent le tissu de leur empreinte. Thierry verra immédiatement que je n’ai pas de soutien-gorge et je pense que cela devrait lui plaire.
En bas, je me félicite d’avoir acheté cette jupe colorée, courte, à volants. Taillant haut, elle est idéale avec le débardeur. Par contre, après avoir trempé deux strings, je prends le risque de ne rien porter dessous. A part un oubli de rechange un jour à la piscine, il ne m’est jamais arrivé de ne pas mettre de culotte depuis que je connais Thierry. Dans ces conditions, pas simple de le justifier. Nous partons.
Nous nous installons à la terrasse de la pizzeria. Derrière mes lunettes de soleil, je n’ai d’yeux que pour la foule qui passe devant le restaurant. Rien. Personne, y compris lorsque nous mangeons. Et s’il ne venait pas ? Cela me soulage et me frustre. J’engueule les enfants. Mince, ce n’est pas leur faute ! Thierry paie l’addition et nous nous dirigeons vers les manèges.
Tellement de monde… Comment le repérer ? Soudain, je sens une main qui se pose juste un instant sur ma hanche. Je sursaute. Je me tourne. Lui. Il me sourit. Je me penche vers Thierry :— Chéri, je dois faire pipi. Je retourne au resto.Mon cœur s’emballe, mon corps frémit. Je me fraie un passage au milieu de la foule et je sais qu’il me suit. Nous sommes sur le port, je descends deux marches. Je ne sais pas où aller. Je file vers la capitainerie, il y a un canal derrière et un pont. Je ne me retourne pas, sauf au moment où j’emprunte le pont. Il est là.
A la sortie du pont, le chemin part à droite. A gauche, des roseaux comme on en trouve partout en Provence. Un ancien petit chemin semble y être tracé. Pas sûre de moi, du tout, mais tant pis, j’y vais. Je me faufile au milieu des roseaux. Il y a longtemps que personne n’est passé par là, mais cela devait réellement être un chemin. Alors que la densité des roseaux diminue, le chemin est brusquement interrompu par un mur. Je me retourne, il arrive et m’embrasse à pleine bouche.
Oh, enfin ! Sa langue dans ma bouche est comme un shoot de plaisir, mais j’ai envie de sa bite et très vite, je m’agenouille, le déboutonne et le suce. Mmmh ! Mon cœur palpite d’excitation. Son sexe est beau et je ne peux réfréner mon désir de le sucer vite tout en le masturbant. C’est plus fort que moi ! Il faut pourtant que je me calme, sinon il va exploser direct. Je parviens à le suce plus lentement, m’occupe de ses testicules. Il aime ça apparemment. Je reprends son sexe dans ma bouche et le glisse tout au fond de ma gorge. Ma respiration est bloquée durant quelques instants par la présence de son gros gland dans mon pharynx. Je récidive. Ses yeux sont fous.
Je me relève alors et l’homme s’agenouille à son tour. Oh oui ! Oui ! Non seulement il est le sosie d’Eric mais il est également un bon coup ! Aspire encore mon minou, mon clitoris comme tu viens de le faire ! Le salaud va me faire jouir en quelques secondes… Ooooh…
Prends-moi ! Vite ! Je pose un pied sur un tas de briques et dirige son sexe dans le mien. Face à face. Sa bite est assez longue pour le faire ainsi. Mmmh… Ça y est, il est dedans… Baise-moi ! Baise-moi bien fort ! Il me pelote sans ménagement, lèche, suce et mord mon téton droit. Il me fait mal, le salaud ! Mais c’es si bon !
— Accroche-toi…Il me soulève soudain de terre en me tenant sous les genoux. Quelle force ! Je m’agrippe à sa nuque tandis qu’il plaque son bas ventre contre le mien. Combien de fois ai-je rêvé de me faire prendre ainsi ? Écartelée par des bras forts, empalée que une grosse bite ? Tant Eric que Thierry s’en sont révélés incapables.
Sans être chétif, lui est loin de ressembler à une force de la nature. Il me soulève pourtant avec une facilité déconcertante et commence à me pilonner. Pas d’autres mots. Sa bite me perfore encore et encore. J’étais dans un état second, ai-je basculé dans un rêve ?
Quand il me repose, il ne sait pas qu’il vient de me faire réaliser un fantasme… Je me tourne face au mur en le regardant par dessus mon épaule. Il me pénètre lentement. Un peu de douceur. Mais ça ne dure pas. Il me redresse. Prends mes seins… Oui… Comme ça… Presse fort, pince fort mes tétons… Oh oui… Voilà… Oui, accélère ! C’est bon, encore… Mmmh… Une fessée ? Encore… Ne te gêne pas…
La claque a dû être entendue jusqu’aux manèges. Les picotements glissent sous ma peau. J’ai mal mais c’est incroyablement intense. Il vient de me mettre une fessée d’une violence inouïe et j’ai aimé. Mais j’aime encore plus qu’il me prenne plus vivement. Le salaud en rajoute mais c’est bon ! Je mouille comme un folle et j’ai un orgasme gigantesque en me masturbant. Deux secondes après, il jouit en moi. L’impression de déjà-vu était tellement intense. C’était Eric derrière moi, cela ne faisait aucun doute. Dans un état de trouble, je m’agenouille et aspire ce sexe plein de sperme comme s’il s’agissait de celui de mon ancien partenaire, le seul homme dont je n’ai jamais avalé le foutre.
Je me relève ensuite, hébétée, et m’adosse au mur.— Laisse-moi… — Je ne sais même pas comment tu t’appelles.— Je m’appelle Cathy, c’est la seule chose que tu sauras de moi. Laisses-moi maintenant…Je le regarde partir entre les roseaux. J’ai envie de le rappeler mais je parviens à me retenir. J’attends quelques minutes avant de me rhabiller et retourner vers ma famille.
Je l’aperçois en face, mais il ne faut pas que je le regarde. Je sens mon entrejambe à nouveau mouillée. Déjà. Alors que j’ai encore le goût de son sperme dans la bouche. Il faut que nous partions de là. Dernier tour de carrousel. J’entraine ma petite famille le long du port. Si les feux se dérouleront trop tard pour les enfants, nous leur avons promis d’assister au spectacle de magie qui aura lieu à 22h30.
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