Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 13 J'aime
  • 1 Commentaire

La Floride

Chapitre 4

Gay
Les jours passaient. Alex avait tenu parole, Andrew et moi avions emménagé ensemble, prétextant une rénovation de nos deux chambres. Alex n’avait plus jamais fait allusion à l’épisode du bateau, même de petits clins d’yeux se perdaient de temps à autres.Dix jours avaient passé. Julia était inquiète car Andrew paraissait un peu fatigué. Je n’osais pas lui dire que son fils me limait quasiment tous les soirs et que pour un débutant, il avait vite appris. Alex avait souri et je me disais que finalement, il était un gars génial.Un soir, il entra dans la chambre. J’étais en train de travailler sur l’historique du resort, aidé par Andrew qui avait été reprendre de vieilles photos ainsi que des vieux registres.
— J’ai un petit service à te demander, demain. Deux clients souhaitent aller faire une partie de pêche. Départ à 8h précises, lança t-il, jovial.— D’accord, répondis-je. Je serai prêt.— Pas trop de folie, il faut être en forme.— Papa ! S’écria Andrew
Alex sourit et ajoutai : "Moi aussi j’ai été jeune les gars".
Le lendemain, comme convenu, J’étais prêt à l’heure. Alex arrivât avec les clients. Il s’agissait de deux mecs de l’équipe de basket qui passaient le week-end. Ils devaient avoir une petite trentaine tous les deux. A côté d’Alex, ils ressemblaient à des géants. Un était roux, aux yeux verts et l’autre était métis. Ils portaient tous deux le survêtement de leur équipe.
Nous furent à la Marina une demi-heure après, et le bateau fut en pleine mer vers 9h15. Ils n’avaient pas été très bavards et nous avions juste échangé quelques banalités sur le championnat semi-professionnel de basket. Alex immobilisa le bateau et décréta que c’était une bonne place. Nous étions aux abords d’une petite crique, et le paysage était bucolique.
Malgré l’heure matinale, Alex sortit des bières du frigo et en proposa. Ils acceptèrent et commencèrent à briser la glace.
— Quel age as-tu, me demanda le roux.— 21 ans, répondis-je. Je suis de Belgique.— Moi d’Irlande. Je suis venu ici voici 14 ans, comme boursier universitaire. J’ai joué en pro mais une blessure m’a obligé à repasser en semi-pro. — Moi je suis de Los Angeles, continua le Métis. Je joue pour le fun...
La fraicheur matinale commençait à laisser place à une chaleur plus lourde, porteuse d’orage. Alex m’appela à l’avant du bateau et m’expliqua la situation.
— Ils ne pêcheront pas de poisson aujourd’hui. Ils m’ont demandé un peu de détente avec un mec, en toute discrétion. Tu me dois un service, n’oublie pas. Je peux casser ton visa quand je veux. Ou raconter aux autorités que tu baises mon fils de 17 ans.

J’étais abasourdi... Mais je n’avais pas le choix. Je pensais à Andrew. Je pensais à ce stage.
— OK, dis-je.— Good boy, lâcha Alex. Je vous laisse. Bon amusement.
Alex s’éloigna avec le zodiac qui devait servir de canot de sauvetage. J’étais seul avec les deux basketteurs. Une fois le zodiac partis, ils me demandèrent :— Tu sais pourquoi on est là... Il nous a donné deux heures...
Sur ces paroles, ils se déshabillèrent. Le roux était une montagne de muscle de 2 m de haut. Le métis était plus fin, mais aussi grand. Le roux était poilu sur les jambes, alors que le métis était parfaitement imberbe. Le roux avait une bite qui ressemblait à un gourdin. Elle devait mesurer plus de 20 cm et avait un diamètre d’au moins 6 cm.
Je me déshabillai aussi et ils tournaient autour de moi. Soudain, le roux m’ordonna de me mettre à quatre pattes. Il se positionna derrière moi tandis que l’autre m’offrit sa bite à sucer. Il ne bandait pas et je commençai à l’astiquer comme il se devait. Je le décalottai et il commença à bander. L’autre, par contre, semblait inspecter mon cul. Il enfonça un doigt sans ménagement. Je tressaillis et il me demanda de rester calme.
Toujours occupé à sucer le métis, je senti que du liquide chaud coulait sur mon cul. Il pissait sur moi ! Ses doigts écartèrent mon anus afin que sa pisse puisse rentrer... Il alla jusqu’à coller son gland, et je sentais que mon ventre se remplissait. Lorsqu’il eu fini, mes muscle recrachèrent l’excès de liquide brutalement. A peine cela fait, il me fit coucher sur le dos et présenta son gland sur mon anus. Le métis, lui, vint s’asseoir sur ma figure pour que je lui lèche la rondelle.
Le roux poussa et fit rentre son gland. Ce n’était pas ma première fois, mais il était si gros que j’avais l’impression qu’il me déchirait. Il me pénétra sur toute sa longueur. Je léchais le cul qui s’offrait à moi frénétiquement pour ne pas hurler.
Après m’avoir complètement pénétré, il commença à faire de grand va et viens. Le métis s’était relevé et s’était mis à uriner sur tout mon corps.
Le roux jouis très vite, après à peine 10 minutes. Il se retira et j’eus presque froid, tant je devais être dilaté. Le métis se plaça derrière moi et m’encula à son tour. Sa bite étant plus petite, j’avais l’impression d’avoir des caresses tant il était doux.
Le roux, quant à lui, se mis à califourchon sur moi. Il ajusta son anus sur ma bite et s’y empala sans ménagement. Les deux se donnaient ainsi du plaisir, et la situation avait fini par m’exciter.
Le métis se retira, suivi par le roux dont la bite avait repris de la vigueur. Ils me demandèrent de m’agenouiller et se masturbèrent jusqu’à ce qu’ils jouissent sur ma figure. Nous sommes restés ainsi, sans rien dire, pendant quelques minutes, jusqu’à ce que le métis propose d’aller prendre une douche. Tout poisseux de sperme, j’acceptai avec plaisir.
Une fois lavé et rhabillé, ils commencèrent à parler avec moi de tout et de rien, jusqu’à ce qu’Alex revienne. Ce dernier leur demanda si tout avait été et les deux répondirent qu’ils avaient passés un très bon moment. Il remit le moteur en marche, et nous furent de retour vers 14h.
Il ne me demanda rien ce jour-là, il agit comme si nous avions simplement été faire un tour en bateau.
Le soir, je prétextai un mal de tête à Andrew pour dormir de suite. Il me fit un baiser puis vint se blottir contre moi. Je l’aimais et il m’aimait, c’est sûr. Et je ne voulais à aucun prix qu’il apprenne que j’étais devenu le cadeau que son père offrait à ses hôtes en manque de sexe. J’espérais juste que cela ne se passerait pas tous les jours...
Diffuse en direct !
Regarder son live