Je déteste quand mon réveil sonne le samedi matin. Il est 9h et j’ai du temps devant moi, car je ne dois être qu’à 11h chez Viviane. Je prends donc le temps de me préparer : petit-déjeuner léger, une bonne douche et un peu de temps pour me raser et m’habiller. Le reflet dans le miroir me plait et à l’heure dite, je suis en bas de chez elle. Viviane et moi nous connaissons depuis de de longues années, nous avons le même âge, 31 ans. Il y a environ deux mois, au terme d’un soirée très agréable, nous avions couché ensemble. Viviane sortait péniblement d’une relation de sept ans. Pendant une dizaine de jours, nous avions été amants avant que Viviane préfère cesser notre relation, certes uniquement sexuelle, mais tout à fait délicieuse. Néanmoins, il y a une semaine, elle m’avait appelé pour me proposer d’être son cavalier à l’anniversaire d’Antonia. Elle tenait à y arriver à mon bras, car elle ne voulait pas s’y rendre non-accompagnée. J’avais évidemment accepté. L’anniversaire a lieu dans une vaste propriété louée pour l’occasion. Une folie. Avec la sublime et chaude journée de juin qui s’annonce, la fête promet d’être grandiose. Viviane sort de chez elle, éblouissante dans une minirobe rouge très décolletée. Elle s’assied dans la voiture, visiblement satisfaite de son effet sur ma personne. Un quart d’heure de route avant d’arriver devant l’immense portail que nous franchissons pour nous garer. Nous arrivons en même temps que d’autres invités. L’élégance est de mise, la fête s’annonce vraiment magnifique. Sortant de la voiture, Viviane prend mon bras et je dois dire que je suis très fier de marcher à mes côtés. Nous ne passons pas inaperçus. Antonia nous accueille, en riant :— Vous êtes le plus beau couple de la journée ! Nous suivons les invités devant la maison. Au bord d’une piscine se tient un grand buffet. La fête se déroulera à cet endroit. Devant, un terrain constellé d’arbres et de buissons, s’étend à perte de vue. Nous saluons de nombreux amis, notamment Samuela, la sœur d’Antonia, qui gère la partie buffet. Elle a à peine le temps de nous dire bonjour. Viviane me quitte quelques minutes pour aller aider Antonia. Je croise d’autres amis. Peu après midi, alors que je contemple l’impressionnante bâtisse, Viviane vient me rejoindre. Elle en sort et me propose d’y entrer. Je lui dis que ce n’est pas permis mais elle m’attire à l’intérieur. Vraiment magnifique, hauts plafonds, moulures, dorures, je suis sous le charme. Antonia descend l’escalier et Viviane lui demande si ça va. Antonia rit et répond que tout va bien. Lorsque nous sommes à nouveau seuls, Viviane me dit :— Tu veux voir depuis en-haut ?— On n’a déjà pas le droit d’être là…Viviane est de toute façon déjà au pied de l’escalier. Je la suis et ne regrette pas : la vue sur la propriété est superbe depuis l’étage. J’aimerais voir côté ouest, mais la porte d’accès à cette aile est fermée. Viviane s’approche, sort une grande clef de son sac à main et ouvre. J’hallucine. — Anto me les a confiées. Viviane entre en prenant soin de refermer derrière nous. Au bout du hall, nous débouchons sur une pièce presque entièrement vitrée dans laquelle se trouve une bibliothèque, des canapés et fauteuils anciens. Je rejoins Viviane près de la fenêtre et, de derrière, l’enlace. Elle gémit un petit "Enfin…". Je l’embrasse dans le cou, sur la nuque, mes mains glissent sur les flancs de son corps, remontent sur sa poitrine. J’écarte les pans de sa robe et sort ses gros seins. Elle a un mouvement de recul mais je la maintiens devant la fenêtre. Elle gémit et rit. Il n’y a de toute façon personne de ce côté-là de la maison. Viviane se tourne et m’embrasse à pleine bouche. Un baiser qui appelle d’autres réjouissances et cela ne tarde pas : elle s’agenouille devant moi, sort rapidement ma bite et commence à me sucer. C’est vif, c’est bon. Elle se relève et m’entraine sur le canapé. Je m’y assieds et devant mes yeux ébahis, elle retire lascivement sa robe, son soutien-gorge et son string. Nue, elle vient à califourchon et s’empale rapidement sur ma queue. Superbe lieu, magnifique partenaire et ses deux énormes mamelles qui sautillent devant moi à la mesure de ses va-et-vient. Paradisiaque ! Je la soulève ensuite et la couche à côté de moi. Je plonge entre ses jambes et il ne lui faut que quelques secondes pour jouir sous mes coups de langue. Un genou sur le canapé, un pied par terre, en appui sur l’accoudoir, Viviane m’offre sa croupe et je me fais un plaisir de la prendre en levrette. Puissant, rapide et profond. Viviane halète plus qu’elle ne gémit et j’explose en elle. Nous prenons soin de ne pas salir le canapé, Viviane distribue les mouchoirs en riant. Après avoir repris notre souffle, nous rajustons nos tenues. Debout derrière la porte, nous allons redescendre quand Viviane dit, malicieuse :— Il y a quelques charmantes demoiselles, non ?— Effectivement. Et avec ce temps, les tenues sont sexy.— Et tu as aussi quelques ex parmi les invitées.— Oui.— Qui ne sont pas toutes en couple.Son sourire narquois pourrait m’agacer. Il m’excite plutôt. Elle ajoute :— Alors si tu as besoin de la clé, tu me dis.Je décide de répondre à sa provocation :— Pas besoin de la clé : je viens de baiser la plus excitante des invitéesElle rit. Nous nous embrassons. Je dis :— Toi, tu as des idées derrière la tête.Elle rougit un peu :— Je me sens très… libre aujourd’hui.— Tu me raconteras ?— Ok, mais toi aussi alors. — Ça me va. Quand ?— Ce soir ou… un autre jour. On verra au fur et à mesure. Un dernier baiser et redescendons nous mêler à la foule autour de la piscine. Chacun de notre côté désormais.
